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Tous les livres de Sébastien Joanniez

Je veux être grande

Ma grande sœur, elle fait trop sa belle. Elle fait rien que bouder devant la télé avec ses copines... Et puis elle rigole quand je pleure. La vie des petites, c'est pas toujours drôle, mais moi je sais faire plein de choses que ma sœur elle ose pas faire! J'ai pas besoin qu'elle s'occupe de moi...

J'aime pas ma petite sœur

Quand on est la grande, il faut toujours céder à la petite. On attend de nous qu'on fasse des efforts et qu'on soit sage... alors que ma petite sœur, quand elle fait des bêtises, elle n'est jamais punie! Je sais que je ne devrais pas le dire, mais je déteste ma petite sœur.

Dans ces deux textes pleins d'humour et de vie, Sébastien Joanniez déroule les pensées de deux sœurs, la grande et la petite. Portés par des voix et des écritures très différentes, ces textes dessinent en creux les portraits de deux personnalités pleines de vitalité. "Je la déteste" disent-elles toutes les deux, et on entend "je l'aime"! Avec ces deux monologues qui se lisent d'un trait, Sébastien Joanniez aborde avec justesse la question des rapports entre sœurs.

«et c'est Justine qui ouvre la porte et mes yeux happés par ses seins comme si devant moi il y avait qu'une poitrine et ni son visage ni ses jambes ni elle qui me dit bonjour ni son bras qui me signifie d'entrer rien que des seins»

C'est clair, le héros de Treizième avenir a besoin de changer d'air. D'échapper aux déjeuners de famille, aux voisins crétins et aux moments d'ennui passés à traîner avec les copains sous le réverbère... Mais où trouver un peu d'évasion ? Ou plutôt, comment ?

Source : http://www.ricochet-jeunes.org/livres/livre/33580-treizieme-avenir

Dans sa Famille Magique, il y a son père et sa mère qui n'ont qu'à claquer des doigts pour tout avoir. Il y a aussi les squelettes, les vampires, les ogresses et tous les êtres merveilleux. Lui, il va à l'école pour apprendre comme les autres enfants. Mais qu'est-ce qui pourrait bien, un jour, lui donner envie d'utiliser ses pouvoirs magiques ?

Il est fils de sorcier mais il refuse d'utiliser ses pouvoirs magiques. Lui, il a décidé de dire «oui» à la vie. Et parfois, la vie est tellement belle, qu'elle est magique !

Un claquement de doigts et tout lui obéit ! Pas besoin d'aller à l'école, quand on est fils de sorciers et que la magie s'occupe de tout. Pourtant, il n'a pas envie de dormir toute la journée comme ses parents, pas envie de louper le spectacle de la vie. Lui, il veut apprendre à faire les choses, aller à l'école, jouer, compter, lire et écrire... «Pourquoi se fatiguer ?» se demandent ses parents, «pourquoi refuser ses pouvoirs magiques ? !» Ses parents ne voient pas l'intérêt de se tuer à lire, à calculer, à penser. Ils l'appellent le Non, parce qu'il refuse la magie et qu'il préfère aller à l'école !

Il y apprend à jouer et à compter, il apprend le corps humain, il apprend le nom des choses... et surtout il apprend la poésie. Pour l'anniversaire de sa mère, il invente un poème qui l'émeut et lui fait monter les larmes aux yeux... c'est incroyable, c'est presque magique ! Sur le chemin de l'école, il apprend aussi la vraie vie : il rencontre un vieil homme, un cheval, des pompiers, une rivière... et surtout cette fille dont il ne connaît pas le prénom et qui fait battre son coeur. Pour elle, pour elle seulement, il ne réfléchit pas et utilise ses pouvoirs. Pour la première fois, il veut bien dire «oui» à la magie.

Dans une langue libre et rebelle, Sébastien Joanniez convoque une multitude d'êtres magiques et imaginaires. Sorte d'anti Harry Potter, il propose un roman poético-gothique unique où la vie terrestre est magnifiée par la magie.

Clément a dit non à son beau-père en pleine figure, et puis il est resté là un bon moment.

La neige tombait. Un bus est arrivé, il est monté dedans, il a traversé la ville, les guirlandes clignotaient, les enfants tiraient leurs parents vers les jouets. Il s'est dit que les fêtes, c'était pour les familles, et que sa famille à lui, elle n'existait plus depuis longtemps. Un clochard s'est assis à côté de lui, avec ses sacs en plastique. Au terminus, ils se sont retrouvés tous les deux sur le trottoir.

Alors Clément l'a suivi. C'était Noël. Il n'allait pas rentrer chez lui.

Quatre jeunes sont enfermés avec un adulte dans un lieu sans nom. Au dehors le bruit du monde, et sa violence.

Casse-Tête, Nuit blanche, Pas plus, Res’pire doivent répondre à une question, lancinante, cruciale, qui leur est posée par Amiral. Leur survie en dépend. Est-ce un jeu, un leurre, une fantaisie cruelle ?

Jetant le trouble, Sébastien Joanniez capte, par la langue de chaque personnage, l’essence de leur être, de leurs doutes, de leurs failles. Il parle du monde d’aujourd’hui, de nos peurs, des lendemains incertains, dans un huis clos ponctué d’échappées poétiques.

Source : http://www.editions-espaces34.fr/spip.php?page=espaces34_livre&id_article=284

Après un mauvais coup donné par un copain. Mathieu s'est retrouvé dans un monde étrange, où des types aux grands manteaux noirs se baladent sans but comme des fantômes. Au milieu de nulle part, il rencontre Anna, une fille bouleversante, qui pleure derrière un mur. Elle se souvient juste qu'elle a sauté par une fenêtre, et puis plus rien... Sont-ils morts ? Rêvent-ils ? Quoi qu'il en soit, Mathieu n'a pas l'intention de moisir dans cette sorte d'au-delà, ni de croire à toutes les balivernes qu'on essaie de lui fourrer dans la tête. Accompagné d'Anna, il se met en route. Mais c'est toujours loin d'aller quelque part quand on ne sait pas où. Un voyage aux frontières du réel, entre poésie et rage de vivre.

« Alors voilà : mon père et ma mère et moi, on est là. Sous la pluie. On a oublié quelque chose... »

Un enfant égrène, page après page, l'essentiel de sa vie et organise son monde : il y a l'amour, le sourire, le chemin, les autres... tout le monde est là, et TOI aussi, bien sûr !

Un livre tout simple, comme une ritournelle, magnifiquement illustré par Joanna Concejo, pour se faire une place dans le fatras du monde.

Écrits au cours de voyages entre la France et l'Algérie, issus de rencontres ou totalement inventés, les textes de Chouf sont des pépites du passé, des bribes d'aujourd'hui, les éléments d'un pont qui se jette par-dessus la Méditerranée. Ici, la poésie tente de dire le silence et l'espoir. La page presque blanche allume des feux dans la nuit. Car l'Histoire n'a pas encore éteint nos souvenirs, ni coulé nos bateaux, ni entamé nos appétits.

Dans le petit village où il habite, un jeune garçon à la peau noire, ça ne va pas trop dans le paysage. Pas facile d’être un enfant adopté, même si on aime ses parents. Heureusement, il y a la nature qui le prend comme il est, et l’amour de ses parents qui le rend fort.

on est un troupeau déchiré poursuivi par des gravats et des corps et la terre dispersée ils essuyaient des larmes sur les pierres on est une barque étoilée un jourils berçaient les ombres des mères un jour ils marchaient le désert est un océan et les tempêtes sur la mer brassent des vagues d'encre salée on croit voir d'anciennes chevelures blanchies par l'effroi dans les paquets d'écume effilochés par le vent on écrit en noir outremer les noms de ceux qui sont effacés ils sont le temps écoulé (...)

« Il faut que je ressemble à l’image collée sur l’écran de ma génération. »

Au fil des pages du roman de Sébastien Joanniez, la voix de Rosa raconte. Les cours, les potes, la famille et les amours. La jeune fille se fraie un chemin à travers les méandres de l’adolescence. Dans ce carnet intime, le ton emprunte à la prose et l’adolescente jalonne ses propos de tentatives poétiques. Pour donner une note moins blues à son quotidien, Rosa monte un groupe de musique avec ses amis et explore ses talents de parolière. Le succès sera, peut-être, au rendez-vous… Mais Rosa tombe aussi amoureuse. Le trouble des premiers émois, et surtout la découverte de ses préférences, son amour pour son amie Lila. Quand cette dernière disparaît subitement, la narration devient celle d’un véritable road-movie. À la place de Thelma et Louise, Rosa et sa mère. L’espace clôt de la voiture permet à la mère et à la fille de nouer le dialogue, de mieux se comprendre.

Avec On a supermarché sur la lune, Sébastien Joanniez livre un récit fin et sensible sur ce troublant moment de bascule qu’est l’adolescence. Il nous offre également un superbe portrait d’héroïne.

Aujourd’hui, j’ai appris que le soleil était une étoile : c’est le shérif du ciel. Aujourd’hui, j’ai appris à boire à la bouteille : je me suis rafraichi les chaussettes. Aujourd’hui, j’ai appris que mes parents s’aimaient avant ma naissance : c’est un peu ma préhistoire. Et toi qu’as-tu appris aujourd’hui ?

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