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Tous les livres de Sébastien Lapaque

Tu vas mourir, aujourd'hui, et tu ne le sais pas encore.” Dès la première phrase de cette chronique d'une mort annoncée – dès la première minute de cette journée particulière où se reflète la brièveté de toute existence –, un homme fait à la fois figure de héros et de victime. Et c'est lui, inconscient, égotiste et jouisseur, que le roman interpelle et tutoie comme s'il tendait à notre insouciante finitude un miroir. Plaisir de se croire si beau, privilège d'aimer, hélas fort mal, une exquise petite marchande de jouets, délice de convoiter une banquière aux yeux de biche, de se couler dans l'hédonisme d'une vie simplifiée. Mais en secret, une vierge froide et un tueur prédestiné trament le scénario de la vengeance familiale. Sur cette inexorable partition qui emprunte son tempo au roman policier, ses arpèges au catalogue de la consommation courante, ses harmoniques à la liberté de parole et son andante aux mirages des satisfactions éphémères, Sébastien Lapaque chante la vie derrière soi et salue, non sans ironie, le passage du temps.

Douze nouvelles, tantôt ironiques, tantôt lyriques, mettent en scène quelques singuliers dissidents épris de grandeur dans le monde d'aujourd' hui. Des personnages qui, comme leurs illustres prédécesseurs Antigone, Ariane, Médée, etc ., tentent de faire preuve d'héroïsme.

Apprenant que les autorités municipales avaient interdit la mendicité aux abords des églises d'Assise en avril 2008, saint François est revenu dans sa ville pour constater par lui-même l'étendue du désastre. Ne trouvant nul homme et nulle femme disposés à entendre sa parole, le Poverello s'est adressé aux oiseaux et aux fusées.

« Je n’aime pas les communistes parce qu’ils sont communistes ; je n’aime pas les socialistes parce qu’ils ne sont pas socialistes ; et je n’aime pas les miens parce qu’ils aiment trop l’argent. »

Charles de Gaulle

C’est un nouveau discours de la servitude volontaire. Mais pas un Contre’un comme celui qu’écrivit La Boétie : le tableau d’une époque et un réquisitoire contre une bourgeoisie française aussi bête et borgne qu’en 1830 et en 1851.

Que se passe-t-il dans ce cher et vieux pays pour qu’on accuse les pauvres d’être coupables de leur sort, pour que le travail, ce mal nécessaire, soit tenu pour une valeur, pour que le serpent de Mai 68 se morde la queue et que la culture soit rangée au rayon des biens de consommation ?

Un homme à la tête de l’État incarne aujourd’hui le nihilisme d’une hyperclasse sans attaches et sans territoire qui voudrait oublier que l’homme est un animal social et que le lien compte plus que le bien. Il ne sera pas nommé dans cet exercice de style dont la violence vise d’abord les idées : le poisson pourrit toujours par la tête. Il faut qu’il parte ne révélera aucun petit secret caché : il fera entendre le hurlement de bouledogue vivisectionné d’un écrivain non-conformiste.

Au hasard et souvent est d'abord un journal d'écrivain : un de ces livres qui en contiennent, suggèrent ou laissent entrevoir beaucoup d'autres. Mais c'est aussi un contre-journal conçu dans l'actualité de l'année 2009, enrichi de réflexions, voyages, lectures, digressions, conversations et sautes d'humeur. Au fil des thèmes - qui sont multiples, de la crise financière à Facebook, du rugby à l'identité nationale, de La Princesse de Clèves à de Gaulle, etc. - se dessinent peu à peu un fleuve souterrain, un arrière-pays façonné comme une oeuvre, irrigué par une pensée anticapitaliste, une foi et un engagement d'anarchiste chrétien. Une volonté de témoigner publiquement, aussi, du présent et de notre "étrange défaite". Parce que "dans le monde qu'on nous prépare, écrit Sébastien Lapaque, un monde de cinquantenaires à Rolex au poignet et à jolie fille au bras, nous allons mourir d'ennui. Et nous aurons perdu la seule chose qui donne un prix à la vie : l'absolu."

Clara et Philoctète n'ont rien de commun. Quand Philoctète n'aime que la beauté, les livres, la lenteur, l'histoire et... l'amour, quand il revendique son identité de Grec ancien, Clara traverse son époque comme en apesanteur. Harnachée pour la guérilla urbaine, elle est allée au bout de toutes les expériences. Par curiosité, ou par désoeuvrement. Ces deux-là pourtant se sont vus, et se sont reconnus. Sous le masque insupportable du dandy, malgré son intarissable logorrhée et ses grands airs, Clara a su découvrir l'homme et sa sensibilité. Voilà les deux amants en cavale, loin de Paris, loin de ce milieu littéraire des années quatre-vingt-dix qui sert de toile de fond au roman et que Sébastien Lapaque dépeint avec une clairvoyance que n'altère pas la férocité. L'enjeu de ce roman toutefois est ailleurs : maniant avec brio un style affirmé et voyageant en humaniste sur les sentiers d'une éblouissante culture classique, l'écrivain qui a su rester attentif aux intermittences du coeur dit ici avec force que roman et romantisme ne sont pas morts.

Curieux de vastes ailleurs, attentif à l'Histoire comme aux anecdotes, Sébastien Lapaque nous entraîne au cœur d'une Amazonie à la fois réelle et rêvée, d'autrefois et d'aujourd'hui. Tout en poursuivant, jusqu'à Salvador de Bahia, le fantôme du père Vieira, défenseur des droits des Indiens, il s'intéresse à l'élection de Luis Inacio Lula da Silva ou à la déforestation, et se laisse bercer par le chant des toucans. Dans ce carnet de voyage très personnel, où voisinent bagnards de Guyane et grandes figures du Brésil, se mêlent paysages, rencontres et souvenirs.

Georges Bernanos a vécu au Brésil de 1938 à 1945. Sept longues années d'exil traversées avec sa femme et ses six enfants, partagées entre la mélancolie et l'apaisement, où l'écrivain à cheval, le vagabond évangélique regarde l'Europe se consumer dans la guerre et en rend compte, jour après jour, dans ses articles. Dans cet essai en sympathie, à la fois enquête voyageuse et exercice d'admiration, Sébastien Lapaque nous révèle un Bernanos que nous ne connaissions pas. Que cherche-t-il au Brésil, loin d'une France qu'il a quittée à la veille des accords de Munich ? Quelle est la mission de ce royaliste sans roi dans un Brésil amoureux de la France révolutionnaire ? Au pays des tatous joueurs et des perroquets colorés, l'auteur du Journal d'un curé de campagne réinvente la liberté. C'est un prophète errant sous les tropiques. C'est un fermier assagi qui tend la main à un autre exilé, Stefan Zweig, venu lui rendre visite dans sa maison de la Croix-des-Ames à la veille de son suicide. C'est un homme changé par le Brésil qui dit adieu à Rio de Janeiro, le 2 juin 1945.

Cette seconde édition du Petit Lapaque des tins de copains reprend le principe de la première, publiée à la fin de l'été 2006, en accentuant les travers qui lui ont valu quelques blâmes dans un quotidien spécialisé dans l'analyse financière et la spéculation immobilière : elle ne retient aucun château propriété d'un grand patron bucolique, elle laisse de côté les jus produits par les amateurs de saveurs artificielles, elle ne se soucie pas des vins dont les mérites sont habituellement vantés sur de larges pages de publicité. Ainsi, elle accorde l'avantage aux hommes et aux femmes qui, un peu partout en France et désormais dans le monde, ont laissé de côté les produits phytosanitaires et les engrais de synthèse afin de récolter un raisin qui n'a pas besoin d'être bricolé à la cave.

" J'aurais voulu rendre l'ambiance électrique et folle de ces moments de camaraderie. J'aurais voulu mieux faire comprendre que le vin est à la fois objet de nature et sujet de culture, en parler comme d'une fenêtre ouverte sur l'infini. J'aurais voulu dire le poids d'humanité que pèse un vin bien fait. J'aurais voulu tant de choses... "

A l'équateur, où se rencontrent les vents des deux hémisphères, la convergence des alizés provoque des turbulences atmosphériques variées en poussant l'air à s’élever. Étudiante en géographie à l'université de Bélem, Héléna Bohlmann est fascinée par ce phénomène auquel elle a consacré des pages et des pages. Mais c'est par quelques mots seulement, je t'aime, je t'aime, je t'aime, qu'elle a signé sa disparition soudaine, laissant Zé, son amant, dans l'attente, l'anxiété, puis l'impérieux besoin de la revoir. Forçant son naturel mélancolique, Zé quitte l'Amazonie pour Rio de Janeiro, l'ancienne capitale brésilienne, qu'il ne connaît pas. Guidé par son intuition et par des signes mystérieux, il est persuadé de retrouver Héléna.

la convergence des alizés est un jeu de pistes trompeur dans lequel une quarantaine de personnages incarnent tous les visages du Brésil sur un enivrant manège romanesque. histoire, musique, politique, football, paysages : le pays entier se livre au lecteur comme un nouvel amour.....

En prolongement de son journal de l'année 2009 (Au hasard et souvent), Sébastien Lapaque poursuit son oeuvre de salubrité intellectuelle publique en tenant ici la chronique littéraire et politique des années 2010 à 2012. Dans un constant aller-retour entre le réel et les livres, Autrement et encore, faux journal d'un vrai écrivain, est un viatique contre les attaques de la médiocrité ambiante et les laideurs collatérales du capitalisme triomphant.

Qui sinon Sébastien Lapaque pour exalter l’usage de la carte postale comme geste poétique autant que comme art de vivre et d’être au monde ! Sa Théorie offre une brillante et irrésistible promenade sensible dans l’esprit, l’histoire et la pratique de correspondances électives dont le charme agit toujours sur notre ère électro-numérique.

Ville blessée, désordonnée, (é)mouvante, Alger est pour Sébastien Lapaque ville amie, généreuse et pudique, familière et mystérieuse à la fois. Où l’écrivain ne cesse de revenir, émerveillement et curiosité intacts, comme renouvelant une éternelle première fois.

Dans la respiration alternée de ses déambulations, le flâneur nous offre pêle-mêle l’émotion du petit matin et la douce ivresse des conversations spontanées, la mélancolie des cimetières et la mélodie des oiseaux. Ici, le football chatouille l’histoire, la musique transporte la mémoire, le passé guette à chaque coin de rue.

Sans jamais ignorer qu’il y est étranger mais porté par un élan tendre et inépuisable, l’auteur veut “une « Théorie d’Alger », pour que l’intelligence joue sa partie, assumant sa vocation d’un côté et de l’autre de la Méditerranée : distinguer pour unir”.

On lui emboîte le pas, on emprunte ses chemins, ses paysages et ses lectures – et ses espoirs têtus. Et peut-être ici plus encore qu’ailleurs, on adopte sa philosophie du voyageur : “Bien dormir, beaucoup rêver.”

" Poésie : expression de loi beauté, par l'intermédiaire de mots combinés avec art. " A cette définition que proposait Borges, tout en la jugeant plutôt faible, la présente anthologie apporte une illustration spontanée et joyeuse. Puisque la poésie est parole, elle inclut des vers premiers, des poètes récités par cœur depuis l'enfance : Du Bellay, La Fontaine, Apollinaire. Puisqu'elle est en quête d'une autre manière d'être et de dire, elle retient les artisans du verbe qui ont poussé le plus loin les pouvoirs du langage : Scève, Racine, Baudelaire. Puisqu'elle est passion, joie, flânerie, on y trouve des auteurs moins connus Jean-Baptiste Chassignet, Antoinette Deshoulières, Jean-Marc Bernard. Et puisque toute poésie est épique, on y croise quelques grandes figures, Antigone chantée par Robert Garnier ; Médée par Pierre Corneille, Charlemagne par Victor Hugo. De la fin du Moyen Age au début du XXe siècle, cinquante poètes et cinquante poèmes pour renouer avec la beauté...

Les Sept Péchés Capitaux Coffret 7 Volumes :

- Orgueil

- Envie

- Avarice

- Paresse

- Colère

- Luxure

- Gourmandise.

Auteur(s) : Collectif - Sébastien Lapaque

Editeur : J'ai Lu

Collection : LIBRIO

Parution : 19/10/2001

Nombre de pages : 804

Nombre de livres : 7

C'est une charge. Un sermon de combat que propose Sébastien Lapaque. Journaliste, auteur, il affûte ici ses talents de polémiste et de théologien pour démonter le projet transhumaniste. Il imagine avec irrévérence le frère homas parmi les invités d'une émission télévisée et convoque avec lui la puissance et l'intelligence de sa Somme de théologie. Décapant !

Neubourg reçoit en pleine nuit la visité inopinée de son ami Maranges, qui lui confie une grosse somme d’argent… et disparaît. Voyant qu’il ne se présente pas le lendemain au journal où tous deux travaillent, Neubourg se lance à la recherche d’un collègue qu’il connaît finalement peu. Le chroniqueur hippique de Paris-Matin est-il un maquereau, comme le prétend la rumeur ? un indic mouillé avec des ripoux ? un turfiste endetté ?

Fort de ses idéaux de justice, de son goût romanesque pour l’aventure et de son envie de prouver sa bravoure à la belle Mao mariée à un autre, Neubourg plonge sans le savoir dans un univers à la violence glaçante.

Polar littéraire élégant, hommage aux grands films noirs et à des auteurs comme Michel Audiard, Les Barricades mystérieuses compose aussi un singulier roman de formation à l’ironie amère, qui accompagne son héros vers le naufrage des illusions, et l’apprentissage de l’échec.

Vingt auteurs, écrivains, historiens, universitaires, auteur pour la jeunesse, critiques littéraires, en hommage à Samuel Paty, racontent celui ou celle qui a contribué à faire d'eux ce qu'ils sont aujourd'hui.

Vingt témoignages saisissants et émouvants qui disent les grandeurs et les servitudes de l'enseignement.

Ce recueil se veut un hommage à ces professeurs, ces "éveilleurs" sans lesquels, nous ne serions pas devenus ce que nous sommes. À travers des histoires personnelles, c'est toute une profession qui est célébrée par ces 20 personnalités qui sont tout autant des "éveilleurs".

Mohammed Aïssaoui, Claude Aziza, Françoise Bourdon, Michel Bussi, Laure Buisson, Kamel Daoud, Marie-Laure Delorme, Franz-Olivier Giesbert, Marie-Rose Guarniéri, Christian Laborie, Philippe Labro, Sébastien Lapaque, Susie Morgenstern, Martine Marie Muller, Anthony Palou, Josyane Savigneau, Jean-Guy Soumy, Yves Viollier, Michel Winock, Sylvie Yvert.

Et Héloïse d'Ormesson a offert un extrait magnifique de Jean d'Ormesson, de son livre Qu'ai-je donc fait.

Les bénéfices de ce livre iront à la Fondation Egalité des chances – Institut de France dont le président d'honneur est Edgar Morin : "Enseigner la compréhension entre les personnes comme condition nécessaire de la solidarité de l'humanité.'

Sous notre blafard ciel contemporain, dans un monde qui a vendu son âme au ricanement, un professeur de lycée qui a apprivoisé ses désillusions trouve peu à peu la forme de sa propre résistance à cette dégringolade spirituelle. Sébastien Lapaque transcende la mélancolie et la lucidité du constat pour nous offrir une épiphanie douce, et son roman le plus lumineux, le plus intimement universel.

Le grand voyage des écrivains à l'abbaye de Lagrasse

« Les écrivains ont aimé Lagrasse. Là-bas, ils ont trouvé des amis, des conseillers, des guides, des hommes simples surtout. Personne n’était là pour convaincre l’autre. Mais le pari n’était pas gagné d’avance », écrit Nicolas Diat dans sa préface.

Que s’est-il passé dans cette abbaye des Corbières, entre Carcassonne et Narbonne ? À l’ombre de bâtiments immenses dont la fondation remonte au VIIIe siècle, quarante-deux jeunes chanoines mènent une vie de prière placée sous l’égide de la Règle de saint Augustin. Pendant trois jours et trois nuits, quinze écrivains les ont rejoints pour partager leur quotidien. Office, étude, travail manuel, promenade, repas, ils ont eu le privilège d’être sans cesse avec eux.

Voici les beaux récits de ces expériences inoubliables, pleines de péripéties et de surprises…

Que ce soit pour s'en défier ou pour s'en délecter, très tôt en Occident apparut une manière spontanée de se référer aux sept péchés capitaux.

Orgueil, envie, avarice, paresse, colère, luxure et gourmandise ont structuré nos imaginaires, et inspiré nos écrivains.

Dans une série de sept anthologies, Sébastien Lapaque, écrivain et critique, a pris un - malin - plaisir à revisiter la littérature en s'y reportant.

Où l'on convoque quatre-vingt-dix écrivains - un seul texte par auteur dans toute la série - pour l'absolution du vice impuni.

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