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Commençons par le positif. Un signe d'elle se dévore à la vitesse grand V. Je n'ai pu le lâcher qu'une fois la dernière page tournée. Les chapitres, présentés sous forme de documents extraits des archives du Cercle spirite Margaret Hamilton sont très courts.
Et puis on s'attache au principal protagoniste, très souvent le narrateur, donc on veut savoir. Qui le persécute ? fantôme, pas fantôme ? that's the question. On s'attache aussi au gamin de l'histoire, le petit Oscar.
Tous les autres, parce qu'il y a une tripotée de personnages, vivants ou morts, m'ont laissée indifférente. Pourtant, on passe parfois dans leur tête aussi... mais un ressenti, c'est personnel, et aucun ne m'a touchée.
J'en viens à l'histoire. La première moitié du roman est cohérente, on s'immerge facilement, elle m'a passionnée. Mais ensuite, c'est devenu du grand n'importe quoi, et plus j'avançais, pire c'était. La multiplication des personnages n'a pas aidé.
Pourtant, il y a un sacré suspense, du rythme, de l'action, mais je ne peux pas dire que j'aie aimé. D'ailleurs, aux passages les plus dramatiques, j'étais plus fréquemment gagnée par le fou rire qu'étreinte par l'angoisse ou submergée d'empathie.
Et là vous vous dites que forcément, avec du paranormal à toutes les sauces, il peut difficilement en être autrement. Sauf que j'y croyais un peu quand même.
Voilà pour le fond, je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler. Juste un truc qui tombait comme un cheveu sur la soupe, dont je me demande encore l'intérêt. On apprend à un moment que l'un des personnages est homosexuel. L'auteur nous présente l'information comme si elle avait une importance capitale... et au final pas du tout. C'est juste posé là, comme par inadvertance...
Il faut dire que l'auteur a abordé de nombreux sujets, le rejet au lycée, la maltraitance sur femmes et enfants, la pédophilie, la manipulation, l'alcoolisme, les problèmes psychiatriques, le dysfonctionnement du système pénal, un ou deux mots sur le racisme (vraiment un ou deux, qui m'ont stupéfaite également) et d'autres que j'oublie. Alors à ce moment, je me suis dit qu'il avait voulu glisser deux mots sur l'homosexualité.
Passons au style. De beaux passages très fluides entre des étendues marécageuses que j'ai peiné à traverser à cause d'une nette baisse de niveau que je ne m'explique pas.
Et puis des fautes, plus ou moins marquantes, comme cette "route à cinq voix". Je sais, je suis pénible, à bondir sans arrêt pour un rien. Et encore une fois, des renvois inutiles. Quand un terme existe en français, autant le mettre en français, plutôt qu'utiliser l'anglais et mettre un renvoi, surtout si le terme est connu, même dans sa version originale. Tout comme expliquer ce qu'est le 911 ou spécifier que l'Eludril est un bain de bouche.
Pour résumer, niveau frissons : un chouia au début, disons, puis on tombe dans le ridicule.
Mais ce n'est que mon avis, je vous invite à vous faire le vôtre, parce que force est de constater que je me suis quand même amusée.
Un signe d'elle
Mais finalement, j'ai un peu été déçue.
Déjà, sujet de base : les agressions sexuelles/viols et conditions des femmes. D'accord, mais là on part avec aucune nuance ni subtilité. Tous les hommes décrits semblent être des misogynes violeurs en puissance, et on part parfois (trop souvent ?) dans le trash gratuit. Pas la moindre ambiguïté, et à vouloir défendre le droit des femmes, on part juste dans la victimisation, et la diabolisation de l'homme qui est montré comme le mal incarné. Bref, c'est caricatural et la réflexion pas du tout intéressante tant elle est dans l'excès et peu vraisemblable.
Bon, en plus de ça, je ne suis que rarement convaincue par le mélange polar-fantastique. Et une fois encore, je trouve qu'il aurait mieux valu choisir, que de nous offrir cet entre-deux peu convaincant. Le fantastique n'apporte pas grand-chose au propos à mon sens...
Ms Alvarez et Wilfried Bosco, Tome 1 : Les Ombres de Salem
Je devais à contre cœur fermer le bouquin pour dormir ou vivre mdrrr ! ( me doucher aussi, mais je ne voulais pas le dire )
Ms Alvarez et Wilfried Bosco, Tome 2 : Metamorphosis
J'ai adoré Un signe d'elle. Métamorphosis est tout aussi captivant. Le surnaturel est parfaitement dosé. L'enquête est passionnante. L'auteur a le don de captiver de la première à la dernière ligne.
L'angoisse est bien pesante. L'immersion au cœur de La Révélation m'a glacé le sang. J'adore! C'est exactement ce que je recherche avec ce genre de lecture.
Ce roman dénonce autant qu'il divertit. Le sujet traité est encore d'actualité, malheureusement.
Bosco me fascine par son réalisme. Stéphane Galas crée des personnages profonds auxquels nous pouvons facilement nous identifier. Ms Alvarez est ma préférée. Une femme détonante, originale. Très attachante.
Ce thriller fantastique est addictif et très différent de ceux que j'ai lus dernièrement. Aucune perte de temps. Pas de superflus. Les rebondissements s'enchaînent. Je l'ai lu en apnée.
Hâte de découvrir Les Ombres de Salem.
Ms Alvarez et Wilfried Bosco, Tome 2 : Metamorphosis
Je me dis : "Reste cool, ce n'est qu'un livre".
Oui, mais, Stephane s'est quand même inspiré de pièces à conviction d'une enquête qui se situe entre 2003 et 2018.
Mais après avoir discuté 2-3 mots avec lui, en lui disant que les esprits et moi ça fait deux. Je me suis sentie rassurée, de savoir que pour lui aussi, c'est compliqué.
A savoir lequel de nous deux est le plus sadique dans l'histoire? lol
Bon, après avoir dépassée ma crainte et terminé ma lecture, je vous annonce "Qu'un signe d'elle" est mon premier coup de coeur 2024.
Vous l'aurez compris, dans cette lecture nous jonglons entre le normal et le paranormal.
Et je dois avouer que j'ai assez kiffé. Surtout que les personnages sont très attachants. Même si je me suis sentie, à certains moments témoin direct des événements et de leurs tourments.
L'écriture est dynamique.
On enchaine les rebondissements , mais sans révéler.
C'est très addictif, car l'envie de connaitre le fin mot de cette histoire est omniprésente.
Stephane manipule parfaitement son lecteur en jouant avec (mes) nos peurs et le psychologique .
Un thriller, où les codes du genre littéraire sont réunis. Un auteur qui vous manipule. Une lecture addictive.
Êtes-vous prêt à découvrir si Stella à tenue sa promesse?
Un signe d'elle
Le roman est composé de chapitres courts qui retracent les événements qui se sont déroulés en 2003 et 2018. Les allers-retours entre passé et présent sont bien équilibrés et permettent de divulguer au compte goutte des révélations importantes. Cela donne du rythme et de la tension à l'intrigue. Les phrases concises rendent le tout agréable et fluide.
Cette construction instaure une atmosphère dérangeante et angoissante. J'ai ressenti de l'oppression à la lecture. Je me sentais comme la témoin directe de ces événements racontés sous forme de témoignages. Cela donnait de la force au propos et le rendait véridique.
Les cent premières pages contextualisent les événements et les personnages. Puis, les rebondissements s'enchaînent et le roman ne laisse pas de temps morts. On va de révélations en révélations mais sans jamais réellement savoir comment ça va terminer.
Le personnage central de Niels a une envergure psychologique très réussie. Son sentiment de culpabilité est tellement fort que la paranoïa, la peur et la panique l'ont accompagné toute sa vie. La dégradation de son état fragile atteint son paroxysme à la date anniversaire du suicide de Stella alors que Niels est lui-même à un tournant de sa vie. Il va fêter ses 30 ans.
Tous les codes du genre littéraire fantastique sont réunis. On est dans le cœur même de sa définition à savoir "l'intrusion du surnaturel dans le cadre réaliste d'un récit". Tout au long de la lecture on hésite, entre la croyance du retour du fantôme de Stella et l'explication rationnellle du trouble psychologique de Niels suite au traumatisme. Niels est convaincu que Stella le hante et sa femme Gabrielle psychologue y voit la manifestation d'un black-out de son mari qui ne se souvient plus de ce qu'il a réellement fait.
Les fantômes existent-ils ? Ou bien l'idée menaçante prononcée par Stella avant de se suicider s'est-elle si profondément ancrée dans la conscience de Niels par culpabilité qu'il imagine des phénomènes paranormaux.
L'auteur a su brillamment jouer avec notre esprit et nos peurs.
Un thriller efficace mêlant psychologie, spiritisme et enquête. Une lecture addictive que je conseille vivement.
Un signe d'elle
***
✒️𝑺'𝒊𝒍𝒔 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒖... 𝑱𝒆 𝒎'𝒆𝒏 𝒇𝒐𝒖𝒕𝒂𝒊𝒔 𝒒𝒖'𝒊𝒍𝒔 𝒎𝒆 𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒇𝒆𝒎𝒎𝒆. 𝑴𝒂 𝒎𝒆𝒓𝒆 𝒏'𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒓𝒊𝒆𝒏 𝒅'𝒖𝒏𝒆 𝒊𝒏𝒇𝒆𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓𝒆. « 𝑭𝒆𝒎𝒎𝒆 » 𝒏'𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒖𝒏𝒆 𝒊𝒏𝒋𝒖𝒓𝒆. 𝑳𝒆𝒖𝒓 𝒄𝒐𝒏𝒏𝒆𝒓𝒊𝒆 𝒆𝒏 𝒆𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒖𝒏𝒆. 𝑼𝒏𝒆 𝒊𝒏𝒋𝒖𝒓𝒆 à 𝒍’𝑯𝒖𝒎𝒂𝒏𝒊𝒕𝒆.
👿Toi qui juges. Toi qui crois détenir la vérité. Toi qui penses que tu détiens toutes les clés de la vérité. Ou toi, toi qui te caches dans le fond de la classe. Toi qui as honte de qui tu es. Toi qui penses que tu as tort. Toi qui as peur de relever la tête et d’assumer pleinement qui tu es. Toi qui crois encore en l’Humanité…
📜Stéphane Galas assoit encore un peu plus sa place parmi mon panthéon des écrivains sans pareil. A travers une enquête qui mettra à rude épreuve Bosco, l’auteur dépeint une société où la différence est difficilement acceptable. De par sa plume, il nous touche, nous prend aux tripes et on en redemande.
Je suis sortie très difficilement de ce livre qui laissera très certainement une trace indélébile dans mon cerveau et dans mon coeur 🖤
Ms Alvarez et Wilfried Bosco, Tome 2 : Metamorphosis
Un coup de coeur !
Un signe d'elle
Ok mais 𝔱𝔬𝔬 𝔪𝔲𝔠𝔥
🦦🦦
Pas de chance, une mère qui s’en va, un père qui est vachement strict pour pas dire tyrannique.
Dwen, la fille du milieu a trouvé une petite porte de sortie maiis, elle va prendre cher … Heureusement, sa petite sœur est là, et sa grande sœur aussi. Par contre, la petite elle a des comportements chelous parfois ! 😬
🦦🦦
Aloors ! commençons !
J’ai pris ce roman pour le mot « Salem », je suis facilement influencable (mdr) et parce que le résumé me semblait pas mal (tu le trouveras en commentaire, petit curieux). J’ai rapidement trouvé l’intrigue intéressante. Une jeune qui questionne son corps, qui ne sait pas trop trop comment l’appréhender et qui veut braver l’interdit (bah oui à 16ans … voilà)
Dès que l’intrigue « polar » est arrivée, j’ai trouvé ca vachement sympa. Sauf que finalement, j’ai eu un petit frein en me disant : alors ok, mais par contre faut pas abuser non plus en fait. Sur le fait à la base de l’intrigue, je suis d’accord, sur les éléments rajoutés au fur et à mesure pour faire du trash, bof hein. Les explications étaient cohérentes mais toujours too much à mon gout. C’était cohérent dans le too much 𝗺𝗱𝗿
Puis les nombreux thèmes : féminisme, santé mentale, éducation parentale, opinions radicales, fratrie, ...
🦦🦦
Forcément, si on cite Salem, j’espère fortement que vous pensez sorcière, sinon je serais déçue. Je ne sais pas trop quoi vous dire de plus sur ce point sans vous spoil, mais en tout cas c’est assez recherché
J’ai moins apprécié le fait que l’auteur fasse X fois référence à son ancien roman et que donc on ne comprenne pas certaines références sans l’avoir lu. Oui, je n’ai pas tout compris, vous avez compris (trop de compréhension ici). Quelques mots d’explication n’aurait pas été du luxe😮
Quand j’ai vu que les chapitres étaient en fait des pièces (oui comme des pièces à conviction), j’ai trouvé ca trop bien ! Je m’attendais à un livre super original. Mais simplement le titre des chapitres est comme tel … Ce sont des simples chapitres racontés comme dans un livre normal mais nommé « pièces »
🦦🦦🦦
J’ai quand même levé au ciel plusieurs fois.. Déçue
Ms Alvarez et Wilfried Bosco, Tome 1 : Les Ombres de Salem
Un signe d'elle
✨Une intrigue très bien menée, qui monte en pression petit à petit. Des rebondissements, des découvertes que l’on n’attend pas… Un mélange de violence, de paranormal, d’enquête mais également un roman qui raconte la force de l’amour d’une famille.
✨Une belle plume, agréable, addictive. Cela a été une très bonne lecture pour ma part.
✨Le récit est amené de façon à voir le point de vue de chaque personnage. Il aborde également des thèmes comme le viol (place très importante dans l’histoire avec ce qui arrive à Dwen), la condition des femmes, le point de vue que peut avoir certains hommes à leur égard.
✨En conclusion, j’ai passé un agréable moment dans cette lecture.
Ms Alvarez et Wilfried Bosco, Tome 1 : Les Ombres de Salem
Petite chose à savoir : Les ombres de Salem est construit comme une suite de témoignages extraits d’archives. Ainsi, on suivra tout d’abord Dwen, 16 ans, victime d’un viol alors qu’elle espèrait rencontrer un admirateur de Dakota Secrecy (son alter ego Instagram, où elle dévoile ses formes). L’occasion pour Stéphane Galas de dépeindre avec brio une famille dysfonctionnelle, amputée d’une mère partie refaire sa vie avec un serveur en Californie, le tout avec une (trop ?) discrète ambiance de maison hantée en arrière-plan et une petite sœur pas comme les autres cachant un curieux don surnaturel.
S’en suivront ensuite les témoignages de Diane (l’aînée), d’Alvarez (une médium rencontrée à la bibliothèque), de Bosco (détective) et… pépin pour moi.
Les narrateurs défilent oui, mais en en plus d’amputer le récit de son écoulement naturel (ce choix de découpage nuit au suspense dans le cas des ombres de Salem), j’ai également trouvé que leur voix restait la même. Pas de différence notable entre tel et tel protagoniste, peu de subtilités.
Cela se ressent d’autant plus qu’il s’agit d’un roman militant, parfaitement dans l’air du temps, dont il coche chaque petite cage avec assiduité.
Le souci étant ici que les personnages vocaux, en dépit de leur genre, de leur sexe, ou de leur âge, ne possèdent pas de maniérisme qui leur est propre. En dehors de Ms Alvarez (qui parle un mot sur quatre dans sa langue maternelle comme n’importe quel personnage de roman estampillé comme issu de l’immigration), j’aurais bien dû mal à différencier Dwen (16 ans), de Bosco (flic endurci), sur un paragraphe isolé.
Il règne ce je-ne-sais-quoi de flou, le même qui fait de ce roman ni vraiment un polar, ni vraiment un bouquin horrifique, ni vraiment une tranche de vie.
Ms Alvarez et Wilfried Bosco, Tome 1 : Les Ombres de Salem
Difficile de décrocher !
Ce roman mélange savamment le thriller, le surnaturel, le suspense, le psychologique... D'ailleurs, mon cœur était à deux doigts de lâcher à plusieurs reprises !!
Une remise en question constante durant cette lecture ! Délires psychotiques ? Revenants ? Complots ?
L'auteur nous happe dès les premières lignes !
Je me suis attaché au personnage principal. Un homme brisé, qui se refuse et s'interdit beaucoup de choses, qui se veut distant,...
Ce personnage est Niels Edwards, que nous rencontrons adolescent. Niels était fou d'amour pour Stella. Une ado populaire. Niels, tout le contraire. Mais un soir de décembre va briser ces deux êtres, la mort va les séparer.. Et nous retrouvons Niels adulte..
Il m'est difficile de vous le résumé sans vous le spolier !
L'été est là, je vous conseille donc de vous procurer ce roman, le lire étendu sur la place, au bord d'un lac ou sur votre chaise longue dans votre jardin !! 😊 Je vous assure que vous allez vous régaler !! 👌📖
Un signe d'elle