Commentaires sur ses livres

Touchant a souhait, on aimerait une suite sur tous ces personnages triste, heureux... J'ai adoré

Une histoire plutôt mignonne qui se lit bien facilement .. mais alors .. quelle fin .. une déception... je rêve d'une suite .. les protagonistes nous donnent quand même envie d'en savoir plus

J'avais découvert cette auteure avec un feel-good. J'avais beaucoup aimé sa touche humoristique, sa manière d'écrire, parfois maladroite, parfois attendrissante.
L'écriture de ce livre n'est pas mise en jeu. Disons que ce roman n'a pas réussi à éveiller mon intérêt. J'avais l'impression de rester en dehors de l'histoire. De temps à autre, on avait droit aux réflexions d'un autre auteur, réflexions souvent copiées de panneaux humoristiques qui trainent sur FB.
J'aurais aimé un peu plus d'originalité et pas d'un suivi psy.
J'ai encore un roman de l'auteure principale dans ma bibliothèque, je pense que je retrouverai l'engouement de mes débuts avec elle.

Voilà le genre de titre qui m’attire et me donne envie de découvrir l’histoire. Comment savoir ce qui se cache derrière ? Je m’attendais à quelque chose de léger, mais en fait ce roman ne l’est pas tant que ça.

J’ai donc fait la connaissance d’Estelle, qui a la cinquantaine. Une personne tellement imbuvable qu’elle se fait licencier. Plus personne ne la supporte. Et je les comprends ! Ça doit être impossible de travailler avec elle tellement elle est insupportable. Pas franchement méprisante, mais sarcastique, à faire sans arrêt des remarques plutôt acides.

Pourtant, elle a quelque chose d’assez attachant. Comme si elle se cachait derrière une carapace, un bouclier, pour que personne ne l’atteigne.

C’est sans doute ce qu’a décelé Margot, la jeune DRH responsable du renvoi d’Estelle. Soulagée par son départ (au moins elle n’aura plus de plaintes !) mais aussi gênée de la mettre dans cette situation. Je ne sais pas si j’aurais réagi comme Margot face à Estelle. Vous comprendrez pourquoi je dis ça lorsque vous lirez l’entretien de licenciement...

Toujours est-il que Margot lui donne l’opportunité d’un travail de la dernière chance. Et là, je me suis dit que l’entretien d’embauche ne serait pas triste à lire…Estelle va travailler dans une mairie, au contact des élus et des usagers parfois agressifs…

Dès ce moment, on voit une grosse faille dans la carapace d’Estelle. Mais voudra-t-elle l’entretenir et la faire grandir ? Elle est par moments assez énervante dans ses réparties, à d’autres elle fait sourire ou encore nous touche. Elle est plus fragile qu’il n’y parait.

L’auteure a su rendre ses personnages proches de nous. Elle arrive à faire ressortir les caractères de chacun, leurs émotions, avec douceur et sensibilité. Elle nous offre un récit très vivant, avec toute une palette de sentiments. On sourit, on grince des dents, on est touché, parfois un peu agacé. En bref, une histoire très humaine.

tres sympa livre, histoire qui fait rever ..

Une idée de départ très originale. Le texte est truffé d'humour et de bons sentiments. Un roman qui fait du bien au moral et aux jours pluvieux.

Un joli roman avec une note d'humour et des proverbes humoristiques comme je le fait régulièrement.
Un moment dans le monde des dépressifs et des proches..
Merciiii pour ce bon moment

Après un premier essai réussi avec Et ton silence commence à raconter, j'étais très heureuse que Virginie Sarah-Lou me contacte à nouveau pour la chronique de Et si on oubliait l'avenir, un autre de ses romans feel good.

Tout aussi haut en couleurs, il m'a transportée dans une histoire originale que j'ai pris plaisir à découvrir.

Le feel-good est un genre que j'affectionne beaucoup et, en toute logique, j'ai lu un grand nombre d'ouvrage de ce genre. En revanche, me retrouver face à une fausse médium, ça, c'est une première.

Fabienne Montara, comme beaucoup d'héroïnes, cache une blessure qui peine à cicatriser. Entourée de sa meilleure amie, Rose, aussi brutalement franche que pétillante, et de son père, qu'elle aime, mais peine à comprendre, elle tente de reprendre sa vie en main. Difficile, lorsqu'on ne communique pas plus avec les esprits qu'on est acrobate au cirque du soleil ! Et pourtant, Fabienne n'a de cesse d'apporter son aide aux âmes égarées qui viennent la consulter.

J'ai bien retrouvé la "patte" de l'autrice et son goût pour les personnages plus profonds qu'il n'y paraît. Fabienne possède ce côté émouvant de ceux qui veulent bien faire sans y parvenir, mais qui s'accrochent, malgré tout. On peut la blâmer et pourtant, on s'aperçoit que l'empathie reste une qualité capable de déplacer des montagnes, même lorsque le monde des esprits nous reste fermé.

Ce roman respecte les critères du genre. Des protagonistes secondaires crédibles dont l'apparence peut s'avérer trompeuse, des situations rocambolesques et des twists inattendus. Beaucoup de douceur et de tendresse dans cette histoire d'escroqueuse au grand cœur, si dévouée aux autres qu'elle en oublie d'interroger ses propres démons.

Cependant, malgré ses nombreuses qualités et les promesses tenues, je n'ai que frôlé le coup de cœur, cette fois-ci. Le style m'est apparu moins précis, moins incisif que dans l'histoire précédente. Comparer deux œuvres peut parfois se révéler au détriment de l'une ou de l'autre. J'avais été remuée par Marcel et Pauline, il est donc normal qu'il ait été difficile de les égaler.

Pour autant, je vous recommande la lecture de ce feel good, finaliste au concours de romance de l'été Fyctia-Télé-loisirs 2019 (la marraine était Virginie Grimaldi!!!) Pour le thème original, les nombreux sujets de société qu'il aborde et les émotions qui émanent des pages pour vous toucher en plein cœur. Un bel essai transformé de Virginie Sarah-Lou.

Fabienne n'a de médium que le nom. Mais si elle s'ingénue à mentir à sa clientèle, elle n'en est pas moins une oreille attentive et une habile et persuasive conseillère. Dommage qu'elle ne sache pas exercer ses talents sur elle-même pour y voir plus clair et avancer dans sa vie...

L'auteur nous offre un Feel-Good tendre et drôle avec des personnages sympathiques et attachants. Fabienne nous invite à voir la vie sous un angle différent au détour de situations aussi cocasses qu'irrésistibles.

Elle cultive avec sa meilleure amie Rose, l'art de la répartie, et on se régale de leurs joutes verbales caustiques, à travers lesquelles elles cachent leurs blessures respectives. On aborde ici les thèmes du deuil et de la reconstruction, mais aussi le déni et les barrières mentales responsables de nombreux échecs.

L'écriture est fluide avec des références qui prêtent à sourire. Sarah Lou nous prend par la main pour nous faire réfléchir et réagir à un éventail d'émotions. Les bons sentiments sont que trop souvent ourlés de pudeur et de discrétion dans le cercle proche de la famille et des intimes.

On suit les aventures et les difficultés de Fabienne avec attention. On s'accroche à ses rêves et à ses espoirs qui se déploient à travers une belle et surprenante synchronicité. On nous dit avec amour, un soupçon de maladresse et une forte lucidité, le poids des secrets et l'importance du lâcher prise. Par petites touches, les caractères s'unissent dans une voix commune qui est celle de l'accueil et du mieux-être.

On est ému de voir les progrès réalisés, et les maillons d'une chaîne humaine complémentaire et si soudée. J'ai passé un excellent moment de lecture qui avec une infinie et délicate conviction nous donne à allier indulgence à une nécessaire détermination.

Un récit qui finalement sous des accents anodins pourrait bien vous amener à grandir un peu.

Beaucoup d'humour, des personnages attachants et une jolie fin... Un très bon moment passé à la lecture de ce livre !

J’ai découvert la plume de Virginie Sarah-Lou grâce à son précédent roman, « Et tu m’as offert ton Soleil ». Conquise par la plume de Virginie Sarah-Lou, je n’ai pas hésité longtemps avant d’acheter ce nouveau roman. J’y ai retrouvé tout ce qui m’avait plu dans « Et tu m’as offert ton Soleil » : des personnages attachants avec des histoires personnelles fortes, des parcours singuliers qui se dévoilent peu à peu, de belles réflexions sur la vie. J’ai adoré le personnage de Marcel, ce grand-père est tellement adorable… et quelle belle histoire d’amour avec Jeanne ! J’ai eu plusieurs fois les larmes aux yeux. J’ai également adoré les liens qui se tissent entre Marcel et Pauline, leurs dialogues, leurs petites piques, l’humour décapant qu’ils ont tous deux. Un très beau roman que je vous recommande mille fois !!

Je ne pensais pas que ce livre allait être aussi intense en émotion.
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On suit ici l’histoire de Marcel, un papy nonagénaire, drôle, qui pratique beaucoup le second degré, vif et ouvert d’esprit et plein de sagesse.
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A ses côtés il y a Pauline, une infirmière douce et patiente, qui exerce son métier avec dévotion.
Marcel va lui raconter son histoire.
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A travers des chapitres qui alterne le passé et le présent m, on découvre en même temps que Pauline, la vie de Marcel et la puissance de son amour pour SA Jeanne.
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J’ai été happée par l’histoire et les épreuves que ces amoureux on vécu au fil des ans.
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C’est un récit riche et intense en émotions qui m’a attendrit, qui m’a fait rire et qui m’a fait pleurer.
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C’est magnifique leçon de vie et en amour que nous offre @virginie_sarah_lou_auteure à travers ce papy qu’on ne peut qu’aimer.
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C’est une histoire d’amour, d’amitié, de tendresse et de valeur que je ne peux que vous conseiller.

Belle histoire d'amitié entre cette infirmière et ce vieux monsieur, jolie histoire d'amour aussi, chouette moment de lecture.

Si je ne devais écrire qu'un seul mot à propos de Et demain, l'éternité, ce serait prometteur.
Voilà, voilà.
Tom Larret.

Non, développons un peu, le roman, malgré d'énormes faiblesses heureusement rattrapées par des points forts supérieurs en terme d'importance, mérite qu'on s'y attarde un peu plus longuement. On débute hélas par un prologue pire que bêtifiant, mais qui invalide toute la tension (pourtant merveilleusement bien ficelée si l'on arrive à faire abstraction de ce foutu prologue niais) pour conclure sur un épilogue des plus mièvres qui vient cacher une fin spectaculaire et fichtrement bien imaginée. Ça commence mal, ça finit encore pire, et c'est un pur gâchis que ces pages-là car le reste du texte porte en lui d'excellentes choses. Mais comme le passage au laminoir intervient avant le regonflage d'ego, je m'en vais d'abord vous toucher un mot ou deux de ce qui pique.

D'abord le style d'écriture, dont l'inexistence absolue permet au moins une facilité de lecture et une fluidité crémeuse dans les transitions. C'est terne, c'est plat, c'est fade, comme une soupe d'endives dans laquelle surnagent quelques croûtons aux herbes qui seraient une ou deux scènes assez visuelles et une poignée de vermicelles comme autant de rares traits bien trouvés. Ensuite, les dialogues, tellement artificiels qu'ils ne prenaient tout leur sens que lus à voix haute avec la voix de Daffy Duck, et encore, c'est parce que je fais très bien Daffy Duck. Et enfin, dernier point, les personnages, qui dans un roman qui proteste violemment contre le manichéisme, sont une collection d'archétypes improbables. Vous avez déjà croisé, vous, un type tellement bien foutu et sensuel qu'il fait augmenter la température des corps à 192° au plus petit bisounet ? Le mec avec, du coup, les lèvres cramées et de la cendre plein la chemisette...

Ils sont tous comme ça, sauf un, et je félicite l'autrice pour ce portrait là, c'est celui du Créateur, qui, s'ils ne méritent pas plus que les autres de lignes de dialogue un tant soit peu crédibles, a quand même de l'originalité et de la personnalité. Contrairement à l'héroïne, qui, bien que supposée en avoir deux, se réduit à pas trop belle, futée, peu confiance en elle, les plus grosses ficelles au monde pour déclencher l'identification du lecteur. Et qu'elle passe de fille banale à Archange sans s'y attarder plus longtemps qu'à un changement de chaussettes. Et même avec l'utilisation de l'écriture subjective (à la première personne du singulier), on ne distingue aucun changement entre ce que pense ou dit Juliette ou son double archangélique Héri, sauf à passer de la voix de Daffy Duck à celle de Donald (je fais très bien tous les canards en général). Et enfin, les parents de Juliette, qui ne sont apparemment ni des êtres humains, ni des Anges, mais des Furbys. Crrrrrr... Ze t'aime... Crrsssh... Fais-moi un câlin...Crrssh... Tu es super ! Bon allez on enlève les piles, ils servent plus à rien dans l'histoire.

Et pourtant.

Pourtant. J'ai beaucoup aimé cette lecture. Le roman fourmille de créativité et d'idées formidables. Il suscite, que l'on adhère à une forme de Foi ou pas, des réflexions d'ordre spirituelles et/ou philosophiques sans forcer le lecteur et sans rentrer dans d'ennuyeuses dissertations. L'histoire en elle-même est ultra créative et palpitante, j'ai fait abstraction de tout le reste (même des canards et des chaussettes) pour me plonger dedans, le développement du scénario vous happe, on ne s'ennuie pas une seule seconde, et les enjeux narratifs réussissent complètement le pari d'emporter l'intérêt et la totale adhésion du lecteur. On a une belle grosse surprise que je serais bien malhonnête de vous gâcher, une tension qui vous écarquille les paupières du début (prologue excepté) jusqu'à la fin (épilogue excepté). Il y a dans ce texte une force de l'imagination et une intelligence puissante qui en fait, malgré ces défauts, un excellent moment à passer.
Je crois donc très sincèrement que l'autrice peut continuer à créer de telles histoires en améliorant tout le reste, et je souhaite les lire très rapidement.

Tom Larret.

Un beau roman feel-good qui donne la pêche, le sourire ! L'auteure a su donner une dynamique tout le long, notamment avec l'apparition d'autres points de vue et l'humour. On évolue avec l'héroïne qui apprend à faire face à son passé et sa souffrance, pour que tout se débloque. Le spirituel est aussi très présent.
À lire !