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Toutes les séries de Yves Theriault

48 livres
237 lecteurs

LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS

Jules Verne

1828 - 1905

Faire le tour du globe en 1 920 heures, ou 15 200 minutes, c'est le pari fou que le gentleman anglais Phileas Fogg relève en 1872 contre les membres du Reform Club de Londres. Il entraîne Passepartout, son valet, dans une course effrénée. Il est poursuivi, de steamboat en railroad, par les polices anglaises qui voient en lui le cambrioleur qui vient de dévaliser la banque d'Angleterre ! Une grande aventure où l'on croise une belle Indienne à sauver du bûcher, où les ponts s'effondrent, les navires flambent...et où un gentleman dépense et se dépense pour atteindre son but à l'heure exacte !

Tous les livres de Yves Theriault

La fille était courte, trapue. Elle avait un visage rond et lisse où brillaient des yeux de laque, bridés, impassibles. Quand elle souriait, elle était belle car ses dents ne s'étaient pas encore usées à mâcher les peaux.

Pllus large qu'elle, Agaguk était même balourd. Il semblait plus vieux que ses dix-huit ans. Dans son visage ravagé par le vent et le froid brillait un regard accoutumé à supporter les terribles reflets de la neige sous le soleil. Il voyait aussi loin qu'un épervier et plus loin encore. Il pointait le doigt vers une belette bougeant à cent mètres, une bête grosse comme le poing, brune comme la toundra: c'était de la sorcellerie.

Présentation de l'éditeur :

Ashini compte parmi les œuvres maîtresses du grand écrivain Yves Thériault. L'un des premiers romans québécois d'inspiration amérindienne, il a marqué la critique et le public lors de sa publication en 1960. Ashini a connu maintes rééditions et a reçu le prestigieux Prix du Gouverneur général du Canada et le Prix France-Canada.

Ashini met en scène la forêt de l'Ungava, dans le Grand Nord québécois, évocation d'un Paradis perdu, avec ses montagnes, ses arbres et ses lacs, lieux sacrés loin des espaces profanes que constituent la réserve et le territoire des Blancs et témoigne de la fin d'une race, celle des Montagnais. Ashini, personnage emblématique de son peuple, mourra d'avoir crié en vain son message au Grand Chef Blanc.

Comment faire, quand on est amies d’enfance et que l’on s’est juré que rien ni personne ne viendrait ébranler cette relation privilégiée, pour ne pas manquer à ses promesses à cause de l’arrivée d’une tierce personne : un garçon?

Justine et Clara parviendront-elles à résister à la tempête qui s’apprête à balayer leur amitié? L’amour que les deux amies portent à David sera-t-il plus fort que les liens qui les unissent depuis toujours? L’amitié est-elle un sentiment durable? C’est ce que découvrira ce trio vibrant d’émotions.

Le Grand Nord canadien, plus précisément celui du Québec, ce vaste territoire au climat rude que seulsles Inuit, opiniâtres par nature, ont réussi à apprivoiser, est le théâtre de cette très belleet rare épopée que nous a léguée Yves Thériault.L'action se situe vers les années 1940, alors qu'Agaguk, dont le père est le chef de sa tribu, décide de prendrefemme et d'aller vivre en solitaire sur la toundra; cette nouvelle vie, qu'il souhaitait calme et loin des rivalitéstribales, sera toutefois rapidement perturbée par la perfidie d'un trafiquant sans scrupule.La suite des événements verra, sur fond de neige et de sang, s'accomplir la vengeance des uns et la fourberiedes autres sous l'œil inquisiteur de la Gendarmerie royale du Canada.Le roman d'Yves Thériault, un des fleurons incontestés de la littérature québécoise, est ici magnifiquementservi par l'adaptation de Djian et les illustrations d'Yvon Roy.

description :

"Chaque foulée était lente, bien posée, la piste était entière, l'empreinte très visible. L'ourse ne courait pas, elle marchait d'un pas régulier, selon une ligne presque droite montant au nord. Parfois- les pistes le disaient -elle s'arrêtait un moment, probablement pour regarder derrière, humer la venue d'Antoine. Puis elle repartait vers le nord. Et c'était bien, cette direction, le chemin menant au pays de l'ourse, au lac Kinounish, à quatre jours de marche de la maison d'Antoine."

À propos de la quête de l'ourse, Yves Thériault a dit : " c'est le roman où j'approfondit le plus ma vision de la forêt. Mais c'est surtout et avant tout un roman tendre."

description

Edith, une fille de la plaine, traîne un lourd passé de maltraitances et d’humiliations. Elle est venue à la triste conclusion qu’elle est trop laide pour aimer et être aimée. Elle fuit donc les siens en se réfugiant dans un village de la montagne. Dès son arrivée, Edith se fait offrir du travail par la belle Bernadette. En même temps, celle-ci engage Fabien, un jeune homme du village, pour les travaux de la ferme. Cette belle veuve aimerait bien voir le beau Fabien dans son lit. Malheureusement, celui-ci n’a d’yeux que pour la fille laide. Bernadette, extrêmement jalouse, essaie d’empêcher à tout prix les liens qui naissent entre Fabien et Edith.

Refoulant ses larmes, Aurore resta là, immobile, les yeux au loin, ne sachant plus vers que horizon regarde. Oh, si le bras vengeur de sa mère pouvait soudain apparaître! Mais à quoi bon espérer un miracle? La vie avait amené Mélanie dans la maison, et que pouvait maintenant Aurore contre son destin?

Ce roman raconte le périple du fils d'Agaguk à la recherche de ses origines et des valeurs ancestrales. Tayaout va chasser très au Nord où il affronte de grandes épreuves. A son tour, comme son père, il doit se battre contre un animal mythique, l'ours blanc. Il est récompensé par la découverte de la pierre merveilleuse dans laquelle il peut sculpter, tout comme ses ancêtres, des figures de dieux protecteurs. Agaguk, son père, interfère d'une façon inattendue dans la démarche de son fils Tayaout.

C'est le premier roman urbain de Thériault. Il y campe le personnage d'un jeune juif qui n'hésite pas à renier ses origines et les siens pour réussir comme homme d'affaires. Moishe, le grand-père d'Aaron, en a pris soin depuis sa petite enfance, et il a essayé de lui inculquer les principes et les valeurs de la Tradition juive orthodoxe. Il compte lui enseigner son métier de tailleur, perpétué de père en fils depuis des générations. Aaron ne veut pas vivre pauvrement et modestement, il veut devenir riche, échapper aux exigences de cette vie humble et besogneuse. Devant ses attitudes de rébellion et d'affirmation de ses nouvelles aspirations, Moishe chasse son petit-fils, geste qu'il regrette ensuite amèrement, mais il est trop tard. Ce roman illustre bien un problème encore très actuel : la rupture ou, tout au moins, le fossé qui se creuse entre les générations dans les familles émigrantes. Les parents veulent sauvegarder les valeurs et les coutumes de leur pays d'origine face aux enfants qui veulent s'adapter à leur nouvelle patrie et s'y faire accepter pleinement.

Trois parties, vingt contes, narrateur omniscient, absence de merveilleux, infimes traces de fantastique. Phrases sèches et vieillottes au service de personnages simples et rudes. La québécitude de l'auteur est masquée dans les deux premières parties, mais évidente dans la troisième. L'action se passe dans un village montagneux, pour la majorité des deux premières parties, dans un village côtier pour le reste (si ce n'est d'un conte qui se passe sur le quai d'un port international). Et toujours ces mots que n'emploie que Thériault : «miquelon» (on comprend, en contexte, qu'il s'agit d'alcool, mais le Robert est muet sur le mot), «[avoir un] rempire» (se porter physiquement plus mal) et «ribaudages», pour ne nommer que ceux-ci (ces quelques mots ne nuisent pas à la lecture, ils la colorent).

Ikoué, le dernier fils du sage Algonquin Atik, se laisse charmer par un ruisseau mystérieux. L’adolescent assoiffé de connaissances espère que « son eau » pourra lui révéler tous les secrets de la forêt qu’il envie à son père. Mais il lui faudra d’abord apprendre la patience, l’écoute et le respect. Yves Thériault a composé un récit initiatique empreint d’une poésie et d’une sagesse oubliées – celles des cultures autochtones dont l’auteur d’Agaguk s’est fait le porte-parole et qu’il a contribué à faire connaître partout à travers le monde grâce à ses récits.Tout commence par la découverte d’un ruisseau ignoré de tous. Fidèle aux enseignements de son père, Ikoué se met à l’écoute de l’eau. L’adolescent assoiffé de connaissance s’approprie le doux fluide dont il espère apprendre tous les secrets de la forêt. Mais le ru lui enseigne d’abord la patience. Il lui faut observer, écouter et tenter de comprendre les bêtes de la forêt et l’ordre de la nature. Ikoué se heurte à l’ouvrage d’une colonie de castors qui ont interrompu la course de « son eau ». Il doit affronter seul les dangers de la rude saison des chasses hivernales. Il découvre aussi les ravages impitoyables du feu. Ikoué sort grandi de chaque expérience douloureuse. L’eau, sa fidèle amie, est toujours là pour le guider vers plus de sagesse, pour lui apprendre le respect et l’amour de ce pays sauvage auquel il appartient, comme les siens avant lui.

Un roman où s'opposent instincts et passions en toute liberté. Il y avait un village tranquille, un peu endormi, complice de ses secrets et de ses habitudes. Mais survient un homme, un étranger qui prétend se battre avec les ours et qui apporte une autre morale… Tout changera dans le village.

Cycle : Volpek vol. 5

Illustration de André L'ARCHEVÊQUE

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 5

Dépôt légal : octobre 1966

Cycle : Volpek vol. 1

Illustration de André L'ARCHEVÊQUE

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 1

Dépôt légal : novembre 1965 catégorie / prix : nd

Genre : Science Fiction

Cycle : Volpek vol. 2

Illustration de André L'ARCHEVÊQUE

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 2

Dépôt légal : novembre 1965 catégorie / prix : nd

Cycle : Volpek vol. 3

Illustration de André L'ARCHEVÊQUE

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 3

Dépôt légal : janvier 1966

Cycle : Volpek vol. 4

Illustration de André L'ARCHEVÊQUE

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 4

Dépôt légal : 1966

Cycle : Volpek vol. 6

Illustration de André L'ARCHEVÊQUE

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 6

Dépôt légal : 1967

Cycle : Volpek vol. 7

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 7

Dépôt légal : 1967

Cycle : Volpek vol. 8

Illustration de André L'ARCHEVÊQUE

LIDEC, coll. Lidec-Aventures n° 8

Dépôt légal : 1968

Dans le roman «Le dernier havre», Yves Thériault raconte l'histoire d'un pêcheur octogénaire, relégué à l'oubli par la société, qui caresse le projet de remettre à flot une barque échouée.

Un vieil homme vivant dans la péninsule gaspésienne s'insurge contre un ordre social qui tend progressivement à l'exclure, à le mettre au rancart. Sans en informer qui que ce soit, il renfloue tant bien que mal une barque qui s'était échouée dans l'anse à la Vieille, non loin du village. Cette initiative se terminera par un naufrage, entraînant le vieil homme dans la mort.

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