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Critique de cinéma pour Libération dès les années 1980, Gérard Lefort fait trembler les plus grands réalisateurs en signant des papiers au ton acerbe. En tant que rédacteur en chef adjoint de la rubrique culture du quotidien, il suit une ligne éditoriale axée sur l'humour. Le style familier et satirique de ses écrits leur donne d'ailleurs des allures de pamphlets. Passionné par le 7e art, le journaliste se glisse dans les coulisses du Festival de Cannes pour proposer 'La Minute à Gérard', une vision décalée de l'événement et diffusée sur Arte. Le regard particulier qu'il porte sur les images s'exprime également dans sa chronique hebdomadaire 'Regarder voir' : tous les samedis, les lecteurs de Libé découvrent une nouvelle photographie analysée par le critique. Cette manière singulière d'appréhender les événements a toujours fait partie du personnage. De 1990 à 1996, c'est sur les ondes de France Inter que l'homme décrypte l'actualité à sa sauce dans 'Passé les bornes, y'a pas de limites'. La droite au pouvoir et la Mairie de Paris en prennent alors pour leur grade. A l'arrêt de l'émission, il présente 'A toute allure' aux côtés de Marie Colmant et devient dans le même temps chroniqueur sur Canal + dans 'La Grande Famille' puis 'Nulle part ailleurs'. Prêt à relever tous les défis, l'auteur écrit son premier roman en 2001, 'Vomi soit qui malle y pense', dans la série du Poulpe. Fidèle à lui-même, le journaliste y multiplie les références cinématographiques ou encore les répliques cinglantes et entraîne le héros créé par Jean-Bernard Pouy dans une aventure gay. D'une plume toujours acérée, Gérard Lefort ne s'encombre pas des conventions et livre sa vision du monde sans se soucier des qu'en-dira-t-on.
Biographie
Critique de cinéma pour Libération dès les années 1980, Gérard Lefort fait trembler les plus grands réalisateurs en signant des papiers au ton acerbe. En tant que rédacteur en chef adjoint de la rubrique culture du quotidien, il suit une ligne éditoriale axée sur l'humour. Le style familier et satirique de ses écrits leur donne d'ailleurs des allures de pamphlets. Passionné par le 7e art, le journaliste se glisse dans les coulisses du Festival de Cannes pour proposer 'La Minute à Gérard', une vision décalée de l'événement et diffusée sur Arte. Le regard particulier qu'il porte sur les images s'exprime également dans sa chronique hebdomadaire 'Regarder voir' : tous les samedis, les lecteurs de Libé découvrent une nouvelle photographie analysée par le critique. Cette manière singulière d'appréhender les événements a toujours fait partie du personnage. De 1990 à 1996, c'est sur les ondes de France Inter que l'homme décrypte l'actualité à sa sauce dans 'Passé les bornes, y'a pas de limites'. La droite au pouvoir et la Mairie de Paris en prennent alors pour leur grade. A l'arrêt de l'émission, il présente 'A toute allure' aux côtés de Marie Colmant et devient dans le même temps chroniqueur sur Canal + dans 'La Grande Famille' puis 'Nulle part ailleurs'. Prêt à relever tous les défis, l'auteur écrit son premier roman en 2001, 'Vomi soit qui malle y pense', dans la série du Poulpe. Fidèle à lui-même, le journaliste y multiplie les références cinématographiques ou encore les répliques cinglantes et entraîne le héros créé par Jean-Bernard Pouy dans une aventure gay. D'une plume toujours acérée, Gérard Lefort ne s'encombre pas des conventions et livre sa vision du monde sans se soucier des qu'en-dira-t-on.
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