Carole Geneix

L'histoire est vraiment prenante et on se laisse emmené dans l'intrigue de ce paris de 1912. Avec des personnages attachants et très charismatique. Une belle lecture.

Une lecture bien agréable. Le rythme, l'époque, les personnages, tout est juste. Un bon moment que je recommande à tous ceux qui, comme moi, sont fans de la Belle Époque.

Paris avec un esprit russe en pleine année folle, un récit entre festivité et tristesse, le roman dégage une étrange atmosphère qui révèle un petit quelque chose d’envoutant. Je m’attendais à une intrigue policière mais au final l’auteur navigue dans la vie se ses personnages (historique ou pas ?) dont elle livre des petits bouts au lecteur. Si elle finit par livrer au lecteur le motif, les conditions et le responsable du crime, la fin reste inattendue et livrer à ses propres conditions, sans réel justice.

C'est la couverture qui m'a attirée en premier lieu et ensuite le sujet, une enquête dans les Années Folles.

La lecture est agréable, divertissante. Les personnages - la comtesse russe et son secrétaire - sont sympathiques. L'intrigue est bien menée.

Les personnages évoluent dans la société bourgeoise parisienne et dans l'entourage de Paul Poiret, le grand couturier du moment.

Par contre, des questions sont restées sans réponse à propos de :

- Igor, le fils de la comtesse, disparu pendant la Première Guerre Mondiale, réapparaît en 1938. Que s'est-il passé ? On sait qu'il a déserté mais j'aurais souhaité savoir comment et pourquoi ? Est-ce que ce sont ses idées antisémites, le fait que sa mère l'ait déshérité, qui l'ont poussé à rejoindre les rangs des fanatiques d'Hitler ?

- Oriane, qui se fait appeler maintenant Clarisse Wellington, rescapée du naufrage du Titanic. Qu'est-elle devenue pendant ces années ? L'auteur fait aussi allusion à sa fille (24 ans) qui d'après la description porte à croire qu'elle est née des moments passés avec Dimia.