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"Je t’aime tellement que je veux te voir en rentrant à la maison, me réveiller à tes côtés et passer une vie entière à te vénérer. Je veux la maison dont tu as parlé et la famille de tes rêves. Je ne veux pas seulement être l’homme dont tu as besoin, mais celui que tu désires. Celui sans lequel tu ne peux pas vivre. Je veux t’aimer pour toute une vie, et encore après.

Mais plus que tout, je veux juste avoir la chance de te faire mienne à nouveau.

Parce que je suis à toi. Pour toujours.

Quoi qu’il arrive."

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Extrait ajouté par Diae748 2023-05-11T21:55:07+02:00

Ce n’était peut-être qu’une vingtaine de minutes à la fois, sauf les jours où elle était trop anxieuse et me renvoyait rapidement auprès d’Ari, mais c’était la seule chose qui me permettait de rester sain d’esprit.

Or maintenant, je ne me sens plus sain d’esprit.

Ma mère me serre légèrement la main et je ramène mon menton sur ma poitrine, prenant une grande inspiration.

– Elle ne se souvient pas de moi, maman.

Je lève les yeux vers elle, son visage flou à cause des larmes qui menacent de s’échapper de mes yeux.

– Elle s’est réveillée, mais dans un monde dont je ne faisais pas partie.

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— Embrasse-moi, expiré-je.

S’il te plaît.

— Putain, fait-il en fermant les yeux, posant son front sur le mien. Tu es en train de me tuer.

— Mais quelle belle façon de partir.

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Extrait ajouté par Naerys 2023-10-02T23:47:10+02:00

Comment peux-tu être aussi… Noah ? Tu es un étudiant de vingt et un ans qui joue au football comme un dieu. Tu devrais être un vrai petit con arrogant et égoïste.

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L'océan est à l'image de la vie, changeant et imprévisible.

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Extrait ajouté par Diae748 2023-05-11T21:59:08+02:00

C’est étrange comme une personne piégée dans son propre esprit peut avancer sans peur.

La peur est le seul sentiment que je crois bien n’avoir pas éprouvé pendant tout ce temps.

J’ai été nerveuse, anxieuse, incertaine, fébrile, mais jamais effrayée.

Pourtant, en ce moment même, j’ai peur.

Je suis terrifiée.

Parce que je suis sur le point de briser quelqu’un.

On dit qu’aimer de tout son être est la chose la plus désintéressée que l’on puisse faire, mais je trouve que c’est le contraire.

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Extrait ajouté par Diae748 2023-05-11T21:57:26+02:00

– Tu as la chambre entière pour toi, ils ne te dérangeront pas.

Elle me fait un signe de la main, sa veste pendant sur son bras.

– D’ailleurs, je ne suis pas en service, je voulais juste passer et te dire au revoir au cas où je ne te verrais pas demain avant ton départ.

– Merci pour tout ce que vous avez fait pour moi.

– Ça m’a fait plaisir. C’était agréable de voir une famille si aimante, dommage que ce soit si rare.

Elle soupire, puis sourit en regardant Noah.

– Et cet homme, il n’a pas quitté ton chevet.

Quelque chose se tord en moi.

– Vraiment ?

Elle secoue la tête, le couvant d’un regard maternel.

– Le pauvre n’a fermé l’œil qu’une heure ou deux par jour pendant tout le temps où tu étais inconsciente, et surtout ces deux derniers jours, quand il se cachait dans la salle d’attente au bout du couloir. S’il n’était pas sous la douche, il était juste là, dans ce fauteuil, aussi impatient qu’un enfant la veille de Noël.

Je sens mes sourcils se froncer.

– On dirait qu’il dort bien, ajoute-t-elle.

Elle lève les yeux vers les miens, une faible lueur dans ses pupilles.

– Bon, je vais y aller avant de le réveiller.

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Extrait ajouté par Mxllx 2023-05-09T14:02:18+02:00

Je continue à danser, me déhanchant en rythme et profitant de chaque minute de liberté que m’offre la musique.

Lorsque la chanson s’achève et que le DJ change de morceau, je me réjouis et laisse mon corps me guider vers des mouvements plus aguicheurs en reconnaissant Dangerous Women d’Ariana Grande.

Après deux couplets, quelqu’un me rejoint par derrière. Son ombre s’agrandit, m’enveloppant complètement. La chaleur corporelle de mon nouveau partenaire de danse est particulièrement intense, mais il ne se rapproche pas, restant légèrement à l’écart. Tout à coup, c’est comme si un interrupteur s’était actionné en moi.

Mon rythme cardiaque s’accélère, mon corps se réchauffe. Je souris dans la pénombre et continue de bouger au rythme de la musique, mes mains glissant le long de mes côtes tandis que je chante en même temps les paroles.

C’est à ce moment-là que ses mains viennent recouvrir les miennes. Il ne touche pas vraiment mon corps, mais utilise la position de ma propre main pour appuyer juste sous mon nombril, me rapprochant ainsi de lui.

Je le laisse faire, sentant le rythme provocateur du morceau me traverser. Quand ses doigts se déploient sur ma main, je les entremêle avec les siens.

Pour tester mon partenaire de danse, je me déhanche tout en faisant se trémousser mes épaules, dessinant une forme de S avec le dos. Ma tête se balance légèrement au gré de mes mouvements et il assure, suivant la cadence, adaptant au sien chaque torsion et chaque tour de mon corps. Pas une seule fois il n’a besoin de faire une pause, de se retirer ou de se réajuster. Nous sommes en symbiose parfaite.

C’est enivrant. Libérateur.

C’est exactement ce dont j’avais besoin, une façon saine de libérer toutes mes émotions refoulées sans m’effondrer et pleurer à chaudes larmes.

Simultanément, mon menton se soulève tandis que le sien s’abaisse ‒ mais seulement un peu. Son souffle chaud effleure maintenant ma nuque en sueur. C’est comme si le feu rencontrait la glace et me coupait le souffle. Je jurerais que sa poitrine s’est gonflée.

Il retire nos mains jointes de mon corps et les soulève au-dessus de ma tête sans que ses doigts ne quittent ma peau un seul instant. Il les fait ensuite glisser avec une lenteur délicieuse le long de mon corps, jusqu’à mes hanches. Abandonnées en l’air, mes mains savent curieusement quoi faire, savent ce qu’il veut qu’elles fassent.

Elles dansent au rythme des basses, le bout de mes doigts rencontrant alors la pointe de ses cheveux courts et doux. Tandis que ma main droite glisse dans son cou, s’y accrochant, ma main gauche descend et se referme sur ses articulations puissantes.

Sa poigne sur mes hanches se crispe en réaction et mon corps décide de se laisser aller contre le sien. Ma tête, soudain trop lourde, retombe en arrière.

Comme s’il pressentait mon prochain mouvement, il lève la main droite, m’empêchant habilement de regarder dans sa direction.

Il ne peut pas voir mon visage, et pourtant, il semble percevoir ma moue. Son gloussement le trahit et je ferme les yeux, m’imprégnant de ce son profond et rauque.

Son sourire est évident dans sa manière de respirer, tout comme je devine à ses gestes qu’il prend plaisir à danser avec moi. C’est comme si son exaltation coulait dans mes propres veines, et lorsqu’il détache sa main de la mienne pour ouvrir les doigts sur mes côtes, sa curiosité transparaît parmi les battements de son cœur, éveillant ainsi la mienne.

Je veux te voir.

Il sait que j’en ai envie, et quand la chanson passe à une autre, c’est sans surprise que nous arrêtons tous les deux de bouger.

Mes orteils se recroquevillent dans mes escarpins alors que je commence à me dégager de son étreinte, mais je m’immobilise, la seconde suivante, lorsque ses lèvres se posent doucement au creux de mon oreille.

– Tu peux te retourner maintenant, ma belle.

Sa voix est un murmure grave et une sensation lumineuse se met à tourbillonner en moi.

J’inspire une bouffée d’air, me mordant la lèvre au moment de pivoter, mais je ne le dévisage pas directement pour ne pas me gâcher le plaisir. D’abord, mes yeux baissés entrevoient un cou puissant et musclé, une peau hâlée et le col d’un tee-shirt gris simple.

Au ieu de lever la tête, je laisse mon regard descendre autant que ma position me le permet, pour découvrir un début de tatouage sous sa manche droite.

Au même moment, il lève le bras et j’admire ses muscles soudain plus saillants. Il rit à nouveau et je ferme les yeux, prête au contact que je sens venir ‒ et qui arrive.

Des doigts forts, rugueux au toucher, se posent sous mon menton. Il l’incline légèrement, réclamant mon attention sans un mot, et mes paupières s’ouvrent enfin.

Sa mâchoire est ferme, avec des lignes parfaites, et ses lèvres ébauchent un sourire en coin, mais pas du genre imbu de lui-même. Celui-ci est doux, charmant.

Familier ?

Sa poitrine se soulève alors qu’il prend une grande inspiration, puis sa main libre remue à côté de moi, et enfin, je le regarde franchement.

Quand je croise ses yeux bleu métallique chaleureux, mon souffle reste suspendu.

Au début, il me fixe sans un mot, sans réaction, mais lorsque ses fossettes se creusent, je me laisse aller à sourire.

Sa main retombe alors.

– Salut, Juliette, dit-il en riant.

– Noah.

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Extrait ajouté par amekaki 2024-02-22T16:23:07+01:00

Je sais. Mais pas assez...........

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I'll always leap if the jump leads me to you, Noah Riley.

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