Commentaire de leslivresdecassie

Lewis est clairement « anticopine », célibataire invétéré, il trouve que s'attacher est une perte de temps, et préfère se concentrer à fond sur sa future carrière dans le basket ; il s’occupera de sa future potentielle copine plus tard. Mais voilà que l’année universitaire défile, et il est temps aux Campus Drivers de trouver leur relève, eux qui quittent le campus à la fin de leur année universitaire. Et s’il y a bien un candidat qui fait l’unanimité auprès de ses amis, Lewis ne voit pas d’un bon œil le fait d’accueillir une fille parmi les drivers !

Et c’est parti pour découvrir Lewis ! Ce personnage est celui que je trouvais le plus lourd des quatre, avec son humour particulier, même s’il réussissait toujours à me faire sourire.

Finalement, Lewis n’est pas aussi creux qu’il n’en a l’air… Ce tome a été une vraie découverte. Autant de par la personnalité de la mystérieuse Amy, que par le monde de mécanique dans lequel elle évolue. J’avais un peu peur justement que ce soit « trop » mécanique, mais pas du tout. On reste centré sur la ligne de mire principale de cette série : les relations. Et autant dire que celle-là n’est pas du tout partie sur de bons augures.

Et mine de rien, pour rattraper ce début complétement foireux, l’humour de Lewis est de loin son meilleur atout.

Dans ce tome, les caractères sont affirmés, il n’y a pas de nuance, les personnages battent le chaud et le froid.

Et c’est ainsi que se clôture la trilogie des Campus Drivers. Adam n’aura pas eu son tome à lui, certes, mais il a réussi à trouver l’amour à la fin du tome précédent. C’est tout de même un personnage entier, intègre, que j’aurai aimé découvrir un peu plus en profondeur. Cette série littéraire n’en reste pas moins hyper plaisante à lire, je me suis éclatée, entre leurs réparties, leurs humours, leurs relations. Il n’y a rien à dire, la plume de C. S. Quill est parfaite ! Cette bande de pote va me manquer.