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Liste des commentaires

Argent

La lecture comporte quelques passages à vide. Après un début prometteur et entraînant qui nous fait découvrir une Chine vers 1350 avec des touches de fantastique, le milieu du livre est plus compliqué à suivre et il faut s'accrocher, notamment au niveau des différents personnages et de leurs actions. On retrouve une bonne dynamique vers la fin qui donne envie de lire la suite.

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Diamant

La violence des premiers chapitres m'a profondément marquée tout au long des deux premières parties du livre. La souffrance de la protagoniste m'a considérablement émue, tout comme son désir de vivre qui contrastait avec la résignation affichée tout autour d'elle. Cette soif de vie brillait comme le soleil, sa détermination m'a mis des étoiles dans les yeux, à tel point que je n'ai pas douté un instant qu'elle deviendrait le soleil. Malheureusement ce sentiment qui m'a transportée au cours des deux premières parties est un peu retombé comme un soufflé ensuite.

Je ne sais pas si c'est parce que le doute n'était pas de mise et qu'à force l'atmosphère perd en tension, si c'est l'évolution de la protagoniste qui me convenait moins, ou le changement d'ambiance par rapport au début, mais il m'a manqué un petit quelque chose.

Je ne suis pas passée bien loin du coup de cœur, j'ai passé un très bon moment et j'ai hâte de découvrir ce que vaut la suite

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Argent

Celle qui devint le soleil est une lecture en demi-teinte pour ma part.

La première partie – la découverte de cet enfant qu’on ne nommera jamais, à la volonté inébranlable, ses déboires lorsqu’elle rejoint le monastère et doit à tout prix cacher sa véritable nature – furent un vrai plaisir à parcourir. Une très légère dimension fantasy apparaît sous la forme de Spoiler(cliquez pour révéler)fantômes perceptibles par elle seule mais qui me laissera un peu dubitative, surtout par le manque d’explication. Il y a une certaine dimension « mystique » lorsqu’est évoqué le Ciel mais je n’ai pas réussi à déterminer si cela faisait partie de l’univers ou de croyances des personnages. Un flou qui m’aura un peu déstabilisé.

La deuxième partie – adulte, la voilà contrainte de quitter le monastère et on se mettra à suivre également le général Ouyang – m’aura un peu perdu en revanche. Les événements qui arrivent semblent parfois bien trop providentiels, on enchaîne les points de vue et les personnages plus ou moins secondaires et je me suis parfois arrêter pour me demander si untel était avec les mongols ou les Turbans rouges, ou ayant du mal à me souvenir des événements précédents. Cela m’a fait un peu sortir de ma lecture par moments.

Le développement des personnages ne m’aura pas toujours convaincue non plus. J’ai parfois eu le sentiment qu’on enchaînait les scènes, sans avoir le temps d’aller creuser les sentiments, ou encore que certains personnages restaient toujours dans le même état d’esprit – je pense notamment Spoiler(cliquez pour révéler)au général Ouyang, à la dualité intéressante mais où il semble en permanence n’être qu’à deux doigts d’avouer son amour pour Esen, sans jamais y parvenir et étant donc sans cesse à « se lamenter » de cette situation qu’il désire autant qu’elle le répugne.

Au final, c’est une découverte intéressante même si je n’ai pas accroché à tout. Je continuerai avec le deuxième tome pour connaître le dénouement.

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Lu aussi

J'ai beaucoup aimé le début du livre, dans l'enfance et la vie au monastère, puis j'ai décroché du livre.. j'ai persisté pour le finir et ne pas l'abandonner, les différents passages entre les différents camps étaient parfois compliqué à suivre. J'ai réussi à reprendre la lecture et à me raccroché non sans mal.

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Diamant

Un roman magnifique. L'histoire est terriblement bien écrite, l'ampleur de leurs émotions, de leurs sentiments est d'une justesse folle, et on ne peut que vouloir en savoir plus!

J'ai aimé la façon dont on suivait les personnages tout au long de leur vie, leur évolution, la justesse mise dans leur écriture...

Si je puis me permettre, la subtile dose de fantastique dans l'histoire est parfaite, elle coule avec cohérence au creux des chapitres. De plus, j'ai aimé comment les scènes de violences, surtout de guerre dans le contexte de ce roman, sont écrites. Étant donné ce que l'autrice veut nous raconter, il est bien plus cohérent que ce ne soit pas le cas, ça renforce l'importance même de la morale.

Bref, ce roman est parfait, et je suis impatient de lire sa suite et fin.

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Bronze

Idée originale sur une fille qui veut aller contre son destin mais je n'ai pas aimé le personnage principal ou même la fin. Je ressors donc déçue

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Lu aussi

Dur d'arriver jusqu'au bout de ce livre alors que le résumé m'intéressait tellement... Déçue de l'écriture, du plot et surtout des personnages que j'ai trouvé dérangeants par bien des manières.

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Bronze

Ma lecture de « Celle qui devint le soleil » a été une légère déception. Bien que passionnée par le contexte historique, je n’ai pas réussi à accrocher à l’histoire.

La première partie était indéniablement captivante. J’ai particulièrement apprécié la présentation de la protagoniste, cette fille dont on ne prononce jamais le nom, menacée par sa propre famille et qui finit par prendre le destin de son frère. Le passage au monastère était vraiment intéressant au niveau de la psychologie de Zhu. Ensuite, la deuxième partie introduit le personnage du général Ouyang : marqué par des traumatismes et animé d’une vengeance, il apporte un réel dynamisme au récit, laissant présager une confrontation palpitante. Sauf que j’ai été déçue. Déjà, j’ai rencontré un problème avec la narration. Malgré des évènements marquants/ choquants tout au long du récit ; trahisons, complots, meurtres, l’autrice n’a pas réussi à me faire ressentir une tension palpable. Cela est dû, à mon avis, à une narration plate et trop rapide, qui passe d’un incident à un autre sans s’attarder.

Aussi, le personnage de Zhu m’a semblé incohérent dans la deuxième partie par rapport à ce qu’elle était auparavant. Il n’y avait pas non plus de réel challenge entre sa volonté de s’emparer de son destin glorieux à tout prix et un quelconque dilemme moral. Je n’ai pas eu l’impression qu’elle ait rencontré de véritable obstacle car toutes ses stratégies se sont avérées réussies, reposant souvent sur une franchement chance insolente, presque trop facile. Ce qui rend la fin tout de suite moins crédible.

Facilités scénaristiques, manque de clarté, absence d’obstacles et relations entre personnages inconsistantes auront rendu ma lecture finalement assez ennuyeuse. Je laisse toutefois une chance à la suite de cette saga, car il faut lui reconnaître un potentiel réel.

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Bronze

Une lecture très inégale. La première partie a été dégustée avec plaisir, les débuts, avec la présentation de "la fille", dont le prénom n'est jamais prononcé, dont le prénom reste inconnu, la dernière fille du village, quantité négligeable - pas assez jolie pour avoir une valeur marchande, suffisamment débrouillarde pour n'être pas un poids mort, et menacée par sa propre famille. Dans ce premier contact et les chapitres suivants au monastère, l'aspect "fantasy" reste léger avec ses fantômes. La deuxième partie ouvre les perspectives avec le général Ouyang, dont l'histoire et les sentiments vont prendre le relais dans un jeu de miroir avec le "destin" de Zhu, avant qu'ils ne s'affrontent.

Malheureusement, le développement ne m'a pas convaincue. Si l'arrivée de Zhu à Anfeng m'a plu, avec ses taquineries envers Ma et son comportement enjoué, les relations entre les personnages manquent de texture, sauf à la limite entre Ouyang et Esen. Les stratagèmes de Zhu font plaisir à lire, mais arrivent au débotté, ne sont pas franchement construits, et supposent une chance invraisemblable ou l'intervention du Ciel à tout bout de chapitre. Là où j'ai bien failli décrocher, c'est avec le "mandat du ciel" en technicolor. Spoiler(cliquez pour révéler)Tout sauf subtil, et la phrase de la première partie qui décrit un mandat du grand khan dont la lumière s'amenuise prend un sens horriblement littéral.

J'ai été bien davantage attirée par le contexte historique, ce qui m'a motivée pour assimiler les noms de lieux malgré une carte succincte, dans ce par ailleurs somptueux livre (je n'ai pas arrêté de presser les pages pour admirer la tranche avec ses nuages rouges). Dadu, aussi nommée Khanbalik dans le récit, est par exemple la future Pékin, Bianliang deviendra Kaifeng, et Jiankang, Nankin. Il faut se concentrer aussi pour les personnages, en l'absence de "dramatis personae". D'autant que les noms de famille font généralement une seule syllabe ; ne pas mélanger les Zhang, Fang, Wang et Chang. Personnages qui au long du récit peuvent être nommés tantôt par leur nom de famille, tantôt par leur prénom, ou alors leur titre - mais ce n'est pas pire que la littérature russe, où l'on a en plus les diminutifs.

La romance ne m'a pas emballée non plus, Spoiler(cliquez pour révéler)ayant trouvé l'ambiguïté entre Ouyang et son prince beaucoup mieux traitée que l'idylle entre Zhu et sa future. J'ai davantage envie d'enchainer sur le livre de l'historien Wu Han consacré à Hongwu (alias Zhu Yuanzhang) que sur la suite...

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Bronze

J'ai été assez déçu par ce roman qui, pourtant, commençait bien.

La première partie dans le monastère est très intéressante. Le style d'écriture un peu surprenant m'a beaucoup plu et je me suis fort attaché au personnage principal.

Mais dès la deuxième partie, l'histoire prend un autre tournant et ralentit drastiquement. C'est simple : je me suis ennuyé, au point de lire certains chapitres en diagonale dans l'espoir d'en voir le bout rapidement. Les intrigues politiques trainent en longueur et, surtout, le personnage principal (qui n'était plus tant principal que cela puisque son histoire semblait reléguée au second plan) devient tellement détestable que je ne parviens plus à le supporter. Le tout au cours des deux tiers de ce (très) long roman.

Je suis au final bien content de le refermer pour ne plus avoir affaire à ces personnages que je n'ai pas réussi à apprécier.

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