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D'un seul geste, je laissai tomber mon manteau et mon sac sur une chaise, remontai le chauffage et marchai d'un air dégagé -quoique un peu rigide- vers la cafetière pour ma dose du matin. Ce fut à ce moment-là que le monde se déroba sous mes pieds. Etait-ce le karma? Mon attitude plus que désinvolte vis-à-vis de Taft me revenait-elle en pleine figure, aussi jolie soit-elle? Je vérifiai, une fois, deux fois, pour être sûre. Je cherchai, je priai, mais en vain. Il n'y avait plus un seul grain de café en vue.

Comment était-ce possible ? Comment l'univers pouvait-il être cruel à ce point-là?

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(Charley et Bob, alias Obie)

- Je n'arrive toujours pas à croire que tu aies fait ca, me dit-il.( Il ôta la bande autour de ma cheville en secouant la tête.) Tu survis à une brute ivre morte qui veut te refaire le portrait, à une chute de trois mètres à travers une lucarne et à non pas une mais deux tentatives de meurtre, tout ca pour te faire avoir par un talon aiguille. Je savais bien que c'était dangereux, ces trucs-là.

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– Toutes les filles du lycée étaient amoureuses de lui, mais il était si taciturne, si… renfermé.

– Il était vraiment malin, vous savez ? ajouta Chrystal. Je l’ai toujours pris pour un rebelle. Il portait toujours plein de couches de vêtements.

– Des sweats à capuche, renchérit Louise. Il en portait toujours, avec la capuche relevée. Il s’attirait constamment des ennuis à cause de ça, mais il continuait.

– Tous les jours, en classe, reprit Chrystal, il essayait de garder sa capuche relevée et, tous les jours, le prof lui disait de la baisser.

Louise se pencha vers moi, une étincelle au fond de ses yeux bruns.

– Il faut savoir que, même s’il n’est pas resté longtemps à Yuca, c’est devenu un rituel. Pas pour lui, pas pour les profs, mais pour les filles.

– Comment ça ? demandai-je.

– Oh que oui, approuva Chrystal en hochant la tête d’un air rêveur. Chaque jour, à ce moment-là, on aurait pu entendre une mouche voler. Il levait les mains, baissait sa capuche, et c’était comme si le paradis lui-même se dévoilait.

Je n’avais aucun mal à l’imaginer. Son beau visage se dévoilant de telle façon que les cœurs se mettaient à battre plus vite, le sang se précipitait dans les veines et des jeunes filles soupiraient à l’unisson.

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-Tu te souviens de la fois où tu m'as avoué ce que tu es ?

Je réfléchis quelques instants.

-A peine. Rapelle-toi, j'en étais à ma torisième margarita.

-Tu te souviens de ce que tu m'as dit ?

-Euh... troisième margarita.

-Tu m'as dit, je cite: "Cookie, je suis la Faucheuse."

-Et tu m'as crue ? demandai-je, incrédule, en haussant les sourcils.

-Oui, répondit-elle en s'animant. Sans l'ombre d'un doute. A ce stade, j'en avais déjà trop vu pour ne pas te croire. Alors, que pourras-tu bien me dire de pire aujourd'hui ?

-Tu pourrais être surprise, rétorquai-je.

Nouveau froncement de sourcils.

-C'est si terrible que ça ?

-Non, c'est peut-être juste un petit peu mons crédible, expliquai-je en essayant de préserver une petite partie de son innocence et de sa santé mentale.

-Ben voyons, parcequ'il y a une faucheuse à tout les coins de rue, maintenant, c'est bien connu.

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«-Bordel de merde, Charley ! S'exclama oncle Bob d'une voix sifflante qui semblait plus inquiète que furieuse. (Peut être que cet élastique à son poignet était vraiment efficace, après tout.) Qu'est ce qui s'est passé ?

-Je suis tombée.

-Sans déconner !

-Quelqu'un m'a frappée.

-Encore ? Je ne m'étais pas rendu compte que c'était la semaine nationale de «Tuons Charley Davidson».

-Est ce qu'on a droit à un jour férié pour l'occasion, s'enquit Garrett. »

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Je me sentis coupable de ne pas montrer... je ne saispas, d'un plus grand soutiens. Peut etre que j'avais besoin de cours de sensibilite. Un jour, je m'etais inscrite a un cours de gestion de la colere , mais le prof m'avait foutue en rogne.

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-Est-ce que j'ai l'air maléfique, d'après toi? demanda-t-il d'une voix profonde comme une caresse de velours.

Il était occupé à regarder battre ma jugulaire et la testait du bout des doigts comme si la vie humaine le fascinait.

-Tu as quand même tendance à sectionner les moelles épinières.

-Uniquement pour toi.

Dérangeant, mais étrangement romantique.

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je savais que sortir avec le fils de satan finirait mal.

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Page 175:

Garett dut sentir que j'étais réveillée.

- Hé, lieutenant, dit-il à l'oncle Bob qui traversait le palier métallique d'un pas lourd pour nous rejoindre, je crois qu'on est en train de la perdre. Je n'ai pas le choix, je dois lui faire du bouche-à-bouche.

- Essaie pour voir, répondis-je, les paupières toujours verrouillées.

Il pouffa.

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Je portais un maillot de hockey des Scorpions, que j'avais piqué à un gardien de but, et un short à carreaux - même équipe, autre joueur. Chihuahuas, tequila et strip-poker. Une nuit restée gravée dans ma mémoire et qui figure tout en haut de ma liste de "Choses à ne jamais refaire".

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