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Mieux vaut voir les morts qu'être morte.

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Faire semblant de boire du café, c'était comme simuler un orgasme. Où était le plaisir là-dedans, je vous le demande ?

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Peut-être que si je continuais à regarder la cafetière de haut, elle développerait un complexe d'infériorité et me ferait mon café plus vite, juste pour prouver qu'elle en était capable.

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Nous nous tournâmes tous les trois vers Barber, pensant qu’il avait lui aussi quelqu’un à qui laisser un message.

— Je n’ai que ma mère, et elle sait ce que je ressens pour elle, expliqua-t-il.

Je me demandai si je devais m’en réjouir, ou m’attrister du fait qu’il n’y avait que sa mère dans sa vie.

— Je m’en réjouis, lui dis-je. Si seulement plus de gens prenaient la peine d’exprimer leurs sentiments.

— Ouais. Je la déteste depuis que j’ai dix ans. Il n’y a vraiment pas grand-chose d’autre à mettre dans une lettre.

J’essayai de masquer le choc que me causa sa réponse. Mais il le vit quand même.

— Oh, faites-moi confiance, c’est réciproque.

— D’accord, on s’en tient à deux lettres.

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Nous nous tournâmes tous les trois vers Barber, pensant qu’il avait lui aussi quelqu’un à qui laisser un message.

— Je n’ai que ma mère, et elle sait ce que je ressens pour elle, expliqua-t-il.

Je me demandai si je devais m’en réjouir, ou m’attrister du fait qu’il n’y avait que sa mère dans sa vie.

— Je m’en réjouis, lui dis-je. Si seulement plus de gens prenaient la peine d’exprimer leurs sentiments.

— Ouais. Je la déteste depuis que j’ai dix ans. Il n’y a vraiment pas grand-chose d’autre à mettre dans une lettre.

J’essayai de masquer le choc que me causa sa réponse. Mais il le vit quand même.

— Oh, faites-moi confiance, c’est réciproque.

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— Tu te souviens d'un détail avant lui ? demanda-t-elle en prenant un autre pop-corn, uniquement pour le laisser en suspens devant sa bouche, lui aussi.

J'essayai de ne pas rire pour ne pas rompre le charme.

— Pas tellement. Je veux dire, je ne me rappelle pas l'accouchement, heureusement, parce que ça serait juste dégueu. Non, je me souviens de ce qui s'est passé après. Et c'est très confus. Sauf en ce qui le concerne lui. Et ma maman.

— Attends, fit-elle en levant le doigt. Ta maman ? Mais elle est morte pendant l'accouchement. Tu te souviens d'elle ?

Un lent sourire apparut sur mon visage.

— Elle était si belle, Cookie. Elle a été ma première... euh, cliente.

— Tu veux dire...

— Oui. Elle est passée à travers moi. Elle était légère, chaleureuse et pleine d'amour inconditionnel. Je ne l'ai pas compris à ce moment-là, mais elle m'a dit qu'elle était heureuse d'avoir donné sa vie pour moi. Elle m'a apaisée et m'a donné le sentiment d'être aimée, ce qui était une bonne chose, parce que Méchant me foutait vraiment les jetons.

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Sans me soucier de la colère qui crépita dans la pièce comme de l'électricité statique, je couvris mes nibards d'un bras protecteur.

- Certainement pas, répondis-je en donnant une petite tape sur la main dans laquelle passait l'aguille de la perf.

Garrett gloussa de nouveau, puis se tint les côtés en grimaçant de douleur. Il mit un moment à s'en remettre.

- Est-ce que tu as donné un nom à d'autres parties de ton corps, en plus de tes seins et de tes ovaires ?

La semaine précédente, je lui avais présenté Danger, Will Robinson, Téléportation et, enfin surtout, mon ovaire droit, Scotty.

- Il se trouve que mes orteils ont été récemment baptisés au cours d'une étrange partie de jeu de la bouteille et à cause d'une margarita de trop.

- Tu me les présentes ?

Je me redressai et enlevai mes chaussettes avec mes pieds, faisant légèrement bouger le lit au passage, assez pour arracher de doux gémissements de douleur à Garrett.

- Tu es vraiment une mauviette, lui reprochai-je. Ok, donc, en partant de la gauche, on a Simplet, Prof, Grincheux, Joyeux, Timide, Atchoum, Dormeur, la reine Elizabeth III, Bootylicious le saint patron des beaux culs, et Pinkie Floyd.

- Pinkie Floyd ? répéta-t-il au bout d'un instant de réflexion.

- Oui, comme le groupe, mais pas tout à fait.

- D'accord. Tu as baptisé tes doigts, aussi ?

Je le regardai d'un air incrédule. J'étais super douée à ce jeu-là.

- C'est la chose la plus ridicule que j'ai jamais entendue !

- Quoi ? se récria-t-il d'un air tout vexé.

-Pourquoi diable irais-je donner un nom à mes doigts ?

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- Qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-il d'une voix rocailleuse à cause de la fatigue et des médocs.

- Je mange ta glace, répondis-je à travers une énorme cuillerée de délice vanillé.

- Pourquoi tu manges ma glace ?

Vraiment, il posait des questions stupides.

- Parce que j'ai déjà mangé la mienne, tiens !

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- Neil, si je t'en dis plus, ça t'aidera pas à retrouver le sens du réel, bien au contraire.

- Peut-on se mettre d'accord sur le fait qu'on n'est pas d'accord ?

- Non.

- Donc, on n'est pas d'accord là-dessus.

- Non.

- Donc on est sur la même longueur d'ondes ?

- Non.

- Alors, laisse-moi reformuler les choses. (Il se pencha en avant avec un sourire parfaitement diabolique.) Si tu veux jeter un coup d'œil au registre des visites, je veux tout savoir.

Il me faisait le coup du chantage ?

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Toujours multitâche, elle me tira la langue en mettant sa ceinture. Furieuse, je vis une ouverture et me précipitai sur Central. Tout était dans le timing. Les dossiers s'envolèrent des genoux de Cookie. Elle les rattrapa, puis s'écria :

- Aïe, je me suis coupée avec le papier !

- Ça t'apprendra à me tirer la langue.

Elle me lança un regard furibond tout en suçant le côté de son doigt. Puis elle éloigna sa main pour mieux regarder sa blessure.

- Est-ce que l'assurance couvre les coupures dues au papier ?

- Est-ce que les poules pondent des boules de neige ?

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