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Premièrement: Comment ?

Deuxièmement: Pourquoi ?

Et troisièmement : Hein ?!

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Charlotte aux fraises croisa les bras.

— Il ne peut pas.

— Pourquoi pas ?

Je m’attendais à ce qu’elle m’explique qu’il n’arrivait pas à tourner les pages avec ses doigts fantomatiques, mais au lieu de ça elle déclara :

— Parce qu’il ne sait pas lire.

Cette réponse réveilla mon intérêt – un peu.

— Qu’est-ce que tu racontes ? Il écrit les noms des morts à longueur de journée.

C’était son occupation principale. Rocket gravait des milliers de noms sur les murs de l’asile abandonné, jour après jour, sans relâche. C’était fascinant de le regarder faire. Enfin, c’était fascinant cinq minutes. Après, ma nature hyperactive reprenait le dessus et je me rappelais que j’avais d’autres trucs à faire.

La petite leva les yeux au ciel.

— Évidemment ! C’est son boulot, mais ça ne veut pas dire qu’il sait lire !

Son explication était aussi pertinente qu’un épisode de télé-réalité.

— De toute façon, ce n’est pas pour lui qu’il les écrit, ajouta-t-elle en tirant sur la manche de mon tee-shirt, celui qui affichait : « Mon cerveau a trop d’onglets ouverts en même temps ». C’est pour elle.

Ça aurait dû m’intriguer, sauf que les intrigues ne sont pas franchement intrigantes à 6 heures du matin, surtout quand on a bossé toute la nuit. Je bus une nouvelle gorgée de café en observant d’un œil attendri les volutes de buée qui s’élevaient à la surface. Je n’arrivais pas à décider si je voulais user de mes pouvoirs pour le bien ou le mal ce jour-là. Le mal, c’était toujours plus marrant.

Enfin, avec la patience d’une sainte sous antidépresseurs, je demandai :

— C’est pour qui, ma puce ?

Elle écarquilla ses grands yeux.

— C’est pour qui quoi ?

Je me tournai vers elle.

— Quoi ?

— Hein ?

— Qu’est-ce que tu as dit ?

— C’est pour qui quoi ?

Je me forçai à décrisper la mâchoire avant que mes dents ne se fissurent sous la pression.

— Si ce n’est pas pour Rocket, alors c’est pour qui ?

Elle entreprit d’enrouler une mèche de mes cheveux autour de ses petits doigts avec une moue boudeuse.

— C’est pour qui que quoi ?

Et merde ! Je l’avais perdue. J’éprouvai l’envie subite de la vendre sur le marché noir. Ça ne me rapporterait pas grand-chose, en même temps. La pauvre s’était noyée quand elle avait neuf ans et n’était visible que de très peu de gens sur cette Terre. Avec ma chance habituelle, je me retrouverais obligée de la reprendre et de rembourser l’acquéreur. Puis je serais forcée de marquer l’âme du pervers en question et de le vouer aux enfers pour avoir acheté une enfant au marché noir. Il ne faut pas déconner, non plus.

Je bus une gorgée de café pour me donner du courage avant de lui expliquer le plus simplement possible :

— Les noms que Rocket écrit sur les murs de l’asile. S’il ne peut pas les lire, alors ils sont pour qui ?

— Ah ! Ça ! s’écria-t-elle, tout excitée.

Dans sa hâte de retirer ses doigts de mes cheveux, elle emporta la moitié de mon scalp. Puis elle ouvrit les bras comme si c’étaient des ailes et se mit à tourner en rond dans l’appartement en imitant le bruit d’un moteur. Ne me demandez pas pourquoi.

— C’est pour Pépin.

Je cessai de me frotter le crâne et m’immobilisai, parcourue d’un picotement étrange.

— Pépin ? Ma Pépin ?

Elle s’arrêta le temps de me jeter regard exaspérée, puis se remit à voler à travers la pièce. Enfin, pas au sens propre du terme.

— Tu en connais d’autres, toi, des Pépin ?

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— Tu vois, il y a deux sortes d’individus dans le monde.

Cookie interrompit ses recherches et se redressa pour me consacrer toute son attention.

— Vas-y, je t’écoute. Ça devrait en valoir la peine.

Elle était toujours à genoux, ce qui me donnait l’impression d’être vénérée

— Il y a ceux qui, quand ils se lèvent la nuit pour aller faire pipi, ont besoin d’allumer la lumière. Et puis il y a ceux qui font dans le noir.

Je la gratifiai de mon expression la plus déterminée – épaules bien droites, mâchoires serrées, poings sur les hanches et yeux légèrement plissés.

— Moi, je pisse dans le noir, poupée.

— Ah. Je comprends mieux pourquoi tu n’arrêtes pas de te cogner le petit orteil.

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" Entre Highway to Hell, l'autoroute pour l'Enfer et Stairway to Heaven, l'escalier du paradis, on voit bien qu'ils n'ont pas prévu d'avoir le même nombre de visiteurs."

Mème Internet

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Il aurait du être chef étoilé. Ou strip-teaseur. Reyes à la crème. Je le dégusterais jusqu'à la dernière bouchée, puis je lécherais l'assiette.

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« L’argent ne fait peut-être pas le bonheur, mais c’est quand même plus confortable de pleurer sur le siège d’une Mercedes que sur la selle d’un vélo.

Mème Internet »

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“Let me get this straight. You have no intention of telling me what's wrong. You don't want to talk about whatever is wrong. And you're going to let me continue to believe I've done something horrible before you'll open up. Even if, say, I restrain you? Force it out of you?"

"The only thing you are going to force out of me under the confinement of restraints is an orgasm."

Finally! "So, you'd be open to my restraining you for my own sexual pleasure?"

"Wide open."

"And, it would be something you'd enjoy?"

"Who wouldn't?”

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" - Une mission qui concerne l'un des secrets dont je ne peux pas te parler. ( Il attendit un petit moment .) Vas-y, je sais que tu en meurs d'envie.

- OK. Sérieusement, tu ne peux pas m'en dire juste un ? Ce sera un peu comme si j'ouvrais un cadeau de Noël à l'avance. Comme ça j'arriverai à dormir, une fois que je serai certaine que ton secret, ce n'est pas que tu aimes porter des sous-vêtements en dentelle, que tu es fan de Howard Stern ou que tu as déjà regardé un snuff movie. Déjà, si on pouvait écarter ces trois là... "

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Je luttai contre les larmes qui tentaient de se frayer un chemin entre mes cils.

— Reyes, mon Reyes, paie une pension alimentaire. J’ai vu la facture, l’autre jour.

— OK, dit Cookie, très lentement. Admettons, pour l’instant, que ce soit pire que tout le reste.

— Je ne vois pas où tu veux en venir.

— À qui est-ce qu’il verse cet argent ? À une de ses ex ?

— Tu crois qu’il a des ex ? dis-je en reniflant.

— Charley… Tu en as plein, toi, des ex. Pas vrai ?

— Oui, mais… je n’ai pas passé dix ans en prison, moi. Et puis, il ne devait pas être super fertile avant d’y être enfermé. Il avait quoi ? Vingt ans ?

— C’est assez vieux pour mettre une fille enceinte. Crois-moi.

— Peut-être, mais qu’est-ce qui te fait croire qu’il avait des copines ?

— Tu l’as bien regardé ?

— Il était super timide, à l’époque !

— C’est bien connu, les grands timides, ça ne plaît pas du tout aux filles.

Et merde.

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Charley à Reyes

-[...] J’ai une idée pour récupérer notre fille.

— Bref, mon idée… Pour que ça marche, on va devoir se procurer une dizaine de seringues, une cuve de protoxyde d’azote, un tueur en série… et un blindé.

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