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-Si franc et si sûr de toi, dit Tyler en se léchant les lèvres. Plus je te connais et plus je te trouve sexy, mon chou.

-Hmm, toussotais-je en lançant un regard insistant au fleuriste. Il est à moi tu te rappelles ?

Tyler secoua la main.

-Oui, oui...

Mais je sens que je vais faire de très beaux rêves cette nuit, finit-il mentalement.

Je levai les yeux au ciel et Bones ricanna.

-Tu n'iras pas te coucher avant d'en avoir fini avec nous, alors au boulot.

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Mais comme Ian et ma mère n'avaient certainement pas fait tout ce chemin parce-que nous leur manquions, je compris qu'il se passait quelque chose.

-Descendons à la cave, nous y serons un peu plus...tranquilles.

Le sourire qu'Ian m'adressa exhibait des dents blanches et saines qui faisaient plaisir à voir après celles de l'inquisiteur, mais j'aurais tout de même dû remarquer qu'il était plein de malice.

-Ce ne serait pas ma première partie de jambes en l'air avec une mère et sa fille, mais comme tu es la femme de Crispin, tu me vois au regret de devoir refuser.

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"Your dear mum tried to eat one of the women you're attempting to save."

"Ta chère mère a essayé de manger une des femmes que tu a l'intention de sauver."

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-Et moi ? demanda ma mère depuis la banquette arrière.

-Tu restes dans la voiture, lui expliquai-je alors que je sortais, la caisse du chat à la main. Sans vouloir te vexer, maman, tu ne sais pas du tout t'y prendre avec les gens.

Elle pouffa d'indignation. Sans qu'elle le voie, Bones m'adressa un sourire appréciateur.

-Laissez tourner le moteur, Justina. Vous devrez peut-être venir nous récupérer en catastrophe, lui dit-il sur un ton parfaitement innocent.

Cette explication l'amadoua le temps qu'elle y réfléchisse. Lorsqu'elle comprit enfin l'astuce, nous étions déjà bien engagés dans l'escalier de l'immeuble.

-Vous pouvez courir plus vite que la voiture ! nous cria-t-elle depuis le parking.

La réponse de Spade se noya dans les bruits de l'immeuble, mais je captai un soupçon d'éclat de rire, ce qui voulait dire qu'il n'avait pas retenu son hilarité.

-Elle doit être furax, déclairai-je, amusée.

Bones me répondit avec un sourire effronté.

-Tu m'en vois navré.

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Nous nous rendîmes directement chez nos meilleurs amis, Spade et Denise, qui habitaient à Saint Louis. Non, nous n’emmenâmes pas tout le monde par la voie des airs. Depuis qu’il avait lié sa lignée à celle d’un vampire vieux de plusieurs millénaires, Bones avait des subalternes aux quatre coins du monde. Il lui suffisait de passer un coup de fil à Mencheres, son Maître associé, et de lui dire que nous avions besoin d’une voiture dans l’heure. C’était d’autant plus pratique que nous ne pouvions pas en louer une. Nous avions laissé nos cartes de crédit et nos papiers dans l’un des camping-cars.

Nous n’avions pas envisagé que Madigan s’emparerait de nos véhicules et qu’il nous attendrait l’arme au poing à l’entrée de la grotte. Mais si le consultant espérait nous retrouver grâce à nos noms d’emprunt ou à nos adresses factices, il risquait d’être déçu. Bones avait si bien brouillé les pistes que Madigan ne réussirait qu’à tourner en rond. J’espérais toutefois qu’il essaierait, car je prenais un plaisir très mesquin à imaginer sa frustration.

Lorsque nous arrivâmes chez nos amis, je vis tout de suite que nous n’étions pas les seuls invités. La Maserati très voyante, agrémentée de sa plaque customisée « PR3D4T0R », me confirma l’identité du visiteur.

— Ah, Ian est là, dit Bones, qui ne semblait pas partager mon désarroi.

— Je vois ça, répondis-je.

Je m’abstins d’exprimer mon opinion, car Ian l’aurait entendue, et ça n’aurait fait que l’amuser. Certaines personnes n’aimaient pas qu’on les considère comme des casse-pieds. Ian, lui, prenait ça comme un compliment.

Pire encore, il s’en régalait. S’il n’avait pas été le géniteur de Bones, je lui aurais probablement planté un pieu dans le coeur « par inadvertance » depuis longtemps.

— Cat ! s’exclama Denise en ouvrant la porte à toute volée avant de se précipiter vers moi. Dieu merci, te voilà ! « Il va me rendre folle ! » murmura-t-elle en me serrant dans ses bras.

J’étouffai un éclat de rire, car je savais qu’elle ne parlait pas de Spade. J’étais soulagée de constater que je n’étais pas la seule qui trouvait Ian agaçant. Je n’arrivais pas à comprendre comment Bones et Spade avaient réussi à le supporter pendant des siècles.

— Cat, Justina, Crispin, nous salua Spade en appelant Bones par son nom humain. Comment cela s’est-il passé ?

— Pas aussi bien que nous le souhaitions, Charles, répondit Bones.

Il avait lui aussi donné à notre hôte son nom de naissance, et non le surnom qu’il s’était choisi en souvenir de l’outil qu’on lui avait assigné lors de son séjour dans une colonie pénitentiaire australienne.

Tyler descendit de la voiture avec Dexter dans les bras, puis le posa par terre. En apercevant la porte ouverte, le chien se précipita dans la maison. Ma mère le suivit après avoir salué Denise et Spade, qui lui indiquèrent où se trouvait sa chambre. L’aube approchait, et comme tout jeune vampire, ma mère ne tenait plus debout. J’étais sûre que Spade avait de quoi tous nous loger. Notre ami était issu de la noblesse du XVIII e siècle, et l’opulence de ses nombreuses résidences reflétait ses origines.

Tyler se plaça à côté de moi en regardant Spade avec gourmandise.

— C’est qui, ce grand et succulent ténébreux ?

— Son mari, répondis-je en réprimant un sourire. Tyler, je te présente Denise et Spade.

Le médium serra la main de Denise avec un soupir à fendre le coeur.

— Tous les beaux partis sont soit hétéros, soit mariés, mais je ne te tiens pas rigueur qu’il cumule ces deux handicaps.

Denise éclata de rire.

— Ravie de faire ta connaissance. Cat m’a beaucoup parlé de toi.

— En mal, j’espère, la taquina-t-il.

Son attention se fixa ensuite sur la personne qui apparut alors derrière Denise, et son regard se fit ouvertement lubrique. Les pensées qui lui traversèrent alors l’esprit étaient si explicites que j’aurais voulu pouvoir m’assommer pour bloquer mes capacités télépathiques.

— Tyler, je te présente Ian, dis-je sans même me retourner.

— Miam miam, souffla Tyler.

Il redressa les épaules, adopta son sourire le plus engageant et me poussa quasiment de son chemin. Le choc me retourna suffisamment pour que j’aperçoive le nouveau venu. Ian était appuyé contre le chambranle, ses cheveux auburn soulevés par la brise et ses yeux turquoise aussi espiègles et alertes que d’habitude.

— Je pensais que Bones était un avant-goût du paradis, mais toi, tu dois être envoyé par saint Pierre en personne, non, mon chou ? demanda Tyler en tendant la main.

Ian accepta le compliment avec grâce, et le sourire qu’il adressa au médium manqua de faire trébucher ce dernier.

Lorsque le vampire lui serra la main, Tyler poussa un soupir que n’aurait pas renié une adolescente à un concert de Justin Bieber.

Ce visage, ce corps… et on voit qu’il est monté comme un âne, regardez-moi cette belle bosse ! entendis-je avant de me mettre à chanter mentalement pour couvrir ces obscénités.

— Notre fantôme tueur est toujours dans la nature, annonçai-je pour penser à autre chose qu’à l’extase enamourée de Tyler.

— Le piège n’a pas fonctionné ? demanda Spade en fronçant les sourcils.

— Un fantôme tueur ? l’interrompit Ian avant de se débarrasser gentiment de Tyler avec un : « Oui, oui, je suis magnifique, mais cette histoire m’intéresse. »

— Je vous raconterai tout ça à l’intérieur, répondis-je en faisant un signe de tête à Fabian et à Elisabeth, qui attendaient presque timidement à côté de la voiture. Vous aussi, les amis. Nous sommes tous dans le même bateau.

Source: le blog chapitre 32 http://chapitre32.over-blog.com/m/

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"Is it possible... up here?" I asked, tearing my mouth away from his.

"Yes." A fervent hiss that spiked my desire.

"C'est possible...là-haut?" je demande, arrachant ma bouche de la sienne.

"Oui." Un fervent sifflement hérissant mon désire.

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La réponse de Madigan fut plus mal à l'aise que cinglante.

— Lever la main sur moi revient à...

—... à agresser les Etats-Unis, termina Bones sans se départir de son calme mortel. J'avais compris la première fois... et je m'en fichais déjà complètement.

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Fabian s'éclaircit la voix, ce qui, pour un fantôme, était un signe on ne peut plus évident.

-Je pourrais peut-être, euh, t'aider à trouver, bégaya-t-il.

C'était impossible, mais je crus même le voir rougir. Elisabeth, qui avait compris où il voulait en venir, resta bouche bée. Elle inclina ensuite la tête en un geste contemplatif éminemment féminin, et un sourire se dessina sur ses lèvres.

-Eh bien, répondit-elle enfin, pourquoi pas ?

Bones se retourna pour leur cacher son sourire.

-Allez, laissons-les à leur surveillance, déclara-t-il en insistant légèrement sur le dernier mot.

-Non, je veux rester pour voir ça, protesta Ian.

Spade lui posa lourdement la main dans le dos.

-Monte dans la voiture, mon pote.

Ian se leva avec un dernier regard plein de regrets en direction d'Elisabeth et de Fabian, qui flottaient déjà bien plus près l'un de l'autre.

-J'essaie simplement de profiter de chaque occasion pour enrichir mes connaissances, maugréa-t-il.

-Je suis sûre qu'elles sont déjà très étendues, répondis-je sèchement en acceptant la main que Bones me tendait. Maintenant viens avec nous.

La voiture n'avait que cinq places, et nous étions six, mais nous réussîmes à nous arranger. Spade insista pour conduire, et Denise se glissa donc entre lui et ma mère. Bones suggéra que cette dernière serait parfaitement à son aise dans le coffre pour dormir, et le regard lourd de sommeil et de menace qu'elle lui lança le fit éclater de rire.

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Je croisai le regard de Bones. S'il était inquiet, rien n'en transparaissait ni sur son visage, ni dans son aura. Cette dernière exsudait la confiance, et ses yeux noirs scintillaient d'impatience. Avec sa chemise à manches longues bien ajustée et son pantalon assorti, il se fondait presque dans le paysage, si l'on exceptait ses mains et son visage, dont la pâleur contrastait délicieusement avec l'obscurité environnante. C'était d'ailleurs le but recherché, car Kramer n'était censé le voir qu'une fois qu'il serait trop tard.

— On y va, mon cœur ? demanda-t-il.

— Une seconde, mon chou, répondit Tyler avec un clin d'oeil effronté.

Je levai les yeux au ciel.

(Bones qui s'adresse a Cat mais c'est Tyler qui repond )

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- Bon sang, Faucheuse, avec ton crâne d'oeuf et toute cette suie, tu ressembles à un mannequin qu'on aurait attaqué au chalumeau.

- Ian, si je n'avais pas les mains prises, je t'aurais déjà fichu par terre, répliqua sèchement Bones.

- Mes mains sont libres, intervint Spade, qui frappa Ian si fort que ce dernier tituba.

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