Descrip­tions

Revenue malade de sa dernière expédition, Chi doit porter une collerette. Pire! Sa famille décide de ne plus la laisser sortir, de peur qu'elle ait un accident.

Que va devenir son rendez-vous avec Minou?!

Décidément, la vie de chat n'est pas de tout repos!

La petite Chi doit subir les conséquences de ses mésaventures que l'on a pu lire dans le huitième tome. La première est le fait de porter une collerette. Cet objet placé autour de son cou gêne la petite chatte dans sa vie quotidienne. Elle va devoir s'adapter afin de pouvoir manger normalement ou encore d'être capable de monter des marches. La seconde conséquence est que Chi est privée de sortie. La famille Yamada juge le monde extérieur trop dangereux pour leur animal de compagnie, alors ils décident de la laisser enfermer dans l'appartement. Mais ce n'est pas du goût de Chi, qui attend avec impatience de retrouver son ami Minou.

Au bout de neuf tomes, Konami Kanata n'est toujours pas à bout de situations à faire vivre à son innocente héroïne. La mangaka les enchaîne de manière linaire. Cela permet de faciliter la lecture et la compréhension aux plus jeunes lecteurs. Mais ce n'est pas pour autant que les lecteurs plus âgés seront en reste. En effet, Chi – une vie de chat reste avant tout un manga destiné à un public très large. Il n'est pas restreint à un genre ou à une classe d'âge, il s'adresse tout simplement aux amoureux des chats. Ainsi, quelque soit le lecteur, tant qu'il aime les chats, il ne pourra s'empêcher de sourire tout au long de ce neuvième volume.

En marge de l'aspect tendre et humoristique de son manga, Konami Kanata fait avancer le fil rouge de son histoire. La mère de Chi et ses enfants sont présents dans ce volume. Ils entrent en action avec Minou ainsi qu'avec les maîtres de Chi. Notre héroïne n'a jamais été aussi proche de sa mère, et il ne fait nul doute que l'auteure continue dans cette direction.