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- Je suis Jéricho Barrons. Répète mon nom.

J'essaie de détourner le visage mais il retiens mon crâne dans l'étau de ses mains et l'immobilise, m'interdisant de regarder ailleurs.

Je ferme les ueyx.

Il me secoue.

- Dis mon nom.

- Non.

- Bon sang, tu ne pourrais pas te montrer un peu plus coopérative?

- "Coopérative"? Je ne connais pas ce mot.

- En effet, gronde-t-il.

- Je crois que tu inventes des mots.

- Je n'invente aucun mot.

- Si.

- Non.

- Si.

- Non!

J'éclate de rire.

- Tu me rendras fou, marmonne-t-il.

Cela nous arrive souvent. Nous nous disputons comme eds enfants. C'est qu'il est têtu, mon fauve!

- Ouvre les yeux et dis mon nom.

Je ferme les paupières de toutes mes forces.

- Ca me ferait bander si tu disais mon nom.

Aussitôt, j'ouvre grand mes yeux.

- Jéricho Barrons, dis-je d'une voix enjôleuse.

Il laisse échapper un soupir douloureux.

- Nom de nom, je crois qu'une partie de moi aimerait bien que tu restes toujours comme cela.

Je lui caresse la joue.

- J'aime être comme ça. J'aime aussi que tu sois comme ça? Quand tu te montres... Quel est le mot déjà? Coopératif.

- Demande-moi de te faire l'amour.

Dans un sourir, j'obtempère. Nous voilà de nouveau en territoire connu.

- Tu n'as pas dit mon nom. Dis mon nom quand tu me demande de te faire l'amour.

- Fais-moi l'amour, Jéricho Barrons.

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-Ne me quitte pas.

Je m'agite entre les draps.

-Je ne m'en vais pas, Mac.

Puis je sais que je rêve, car les songes sont le royaume de l'absurde, et ce qu'il me dit est plus qu'absurde.

-C'est toi qui me quittes, ma poupée arc-en-ciel.

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J'étais devenue insensible au charme érotique du prince faë de volupté fatale. À présent, ma drogue, c'était Jéricho Barrons.

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"_Vous n'avez aucune raison d'être grossier.rétorquais-je

_Moi, j'en vois d'innombrables.

_Gardez-les pour vous.

_Vous avez changé de chanson.

_On dirait que vous êtes fâché, Barrons. Frustré. Qu'est-ce qui ne va pas? Auriez-vous développé une certaine addiction à ma personne?"

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- ... Elle était juste sous mon nez, dans ma librairie, depuis tout ce temps!

- Votre librairie? ricana-t-il.

Puis il éclata de rire et poursuivit:

- Sortez vivante de ce piège avec vos parents, les pierres et le cadavre de Darroc, Mademoiselle Lane, et je vous en fait cadeau.

Je le regardai, le souffle coupé.

- Vous parlez au propre ou au figuré?

- Au propre. Je vous offre tout.

- Une donation en bonne et due forme?

Mon coeur battait la chamade. J'adorais Barrons - Bouquins & Bibelots.

- Cela s'arrête au magasin. Cela n'inclut pas mon garage ni ma collection de voitures.

- En d'autres termes, je vous aurai toujours sur le dos, maugréai-je.

Il me décocha un sourire carnassier.

- N'en doutez pas un instant.

- Vous ajoutez la Viper?

- Et la Lamborghini.

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" - Trouve-toi ton style personnel, bougonna Barrons.

- Peut-être ai-je décidé que j'aimais bien te tien ?

- Peut-être t'imagines-tu que si tu me copies, elle te laissera la sauter ? rétorqua Barrons. "

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-Je voudrais que ce soit toujours comme ça, lui dis-je.

Ses narines frémissent tandis qu'une lueur amusée passe dans son regard d'obsidienne.

-Essaie de t'en souvenir.

-Je n'ai pas besoin d'essayer. Je ne changerai jamais d'avis.

-Ah, Mac! s'écrie-t-il avec un rire aussi froid et sombre que l'endroit dont je rêve. Un jour, tu te demanderas s'il est possible de me détester plus.

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-Je vous donne quarante-huit heures. Contrôler la gamine et tenez-la hors de mon chemin. Il y a de nouvelles règles. Un : Vous restez à l'écart de Chez Chester. Cela veut dire une dizaine de rues à la ronde. Deux : Vous partagez avec moi toutes vos informations pertinentes sans que j'aie à le demander. Trois : Vous empêcher la petite de s'approcher de mon garage. Quatre : Si vous vous invitez sous mon crâne, je m'invite entre vos jambes.

-Oh ! Épargnez-moi ce genre de réflexions!

-Et vous, épargnez-moi ce genre de provocations, répliqua-t-il en posant les yeux sur ma poitrine.

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-Nos étreintes ne vous manquent-elles pas? ronronna-t-il à mon oreille.

La voix résonna dans mon crâne, me forçant à parler. [...]

-Vous aimeriez bien le savoir, hein? ripostai-je sur le même ton. Vous voudriez encore m'avoir, Barrons? Vous m'avez dans la peau. J'espère que vous êtes accro. J'étais un bon cou, pas vrai? Je parie que vous n'avez jamais baisé comme cela de toute votre vie. N'est ce pas, ô, l'Ancien? Je parie que j'ai chamboulé votre petit monde parfaitement organisé. J'espère que vous avez tellement envie de moi que vous en avez mal!!!

Ses mains m'étranglèrent violemment la taille.

-Il n'y a qu'une seul question qui compte, Mademoiselle Lane, et c'est précisément celle que vous ne posez jamais. Les gens sont capables d'atteindre différents degrés de vérité. La majorité passent leur vie entière à tisser tout un écheveau de mensonges, à s'immerger dans la mauvaises foi, à faire tout ce qu'il faut pour se croire en sécurité. Celui qui vit vraiment connaît de rare et précieux moments de sécurité et apprend à s'épanouir dans toutes les tempêtes. Ce sont les vérités que vous pouvez froidement regarder dans les yeux qui font de vous ce que vous êtes. Faible ou fort. Vivant ou mort. Révélez-vous! Quelle dose de vérité pouvez-vous supporter, Mademoiselle Lane?

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- Vous me détestiez en arc-en-ciel, repris-je, et maintenant, vous ne m'aimez pas en cuir. Y a-t-il quoi que ce soit qui vous plaise, sur moi ?

- Le HS comme vous l'appelez, a envoyé ses princes vous violer et il l'a peut-être fait lui-même, et vous m'annoncez d'un ton léger qu'il vous a... comment dites-vous ? rendu visite ? Vous a-t-il apporté des fleurs ? Et la réponse est : votre peau et rien d'autre, Mademoiselle Lane.

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