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Liste des commentaires

Diamant

Je crois que ça pourrait se passer de mots en fait. J'ai vraiment adoré ce deuxième roman, qui suit la même logique du premier : atmosphère lourde, intrigante et inquiétante ; méli-mélo de personnages plus intéressants et complexes les uns que les autres ; crimes sanglants à faire froid dans le dos ; enquête personnelle qui prend au tripes. Non, vraiment, rien à dire si ce n'est chapeau bas ! Le seul bémol serait que Mr Minier s'arrête là et ne nous offre pas un troisième livre (ce qui, j'espère, n'arrivera pas!)

On retrouve donc Servaz dans une nouvelle enquête avec la même petite équipe que j'adore et un Pujol qui paraît peut être un peu moins con, quoique. Et quand, dans le résumé, on vous dit que ça va être l'enquête la plus personnelle de sa vie, c'est pas du baratin. Cette histoire prend vraiment aux tripes. Mais je suis resté sur ma faim, mon estomac est encore noué, comme s'il manquait quelque chose (et ce quelque chose, ce n'est pas un défaut du livre, c'est plutôt un manque que seul un troisième livre pourra combler, je pense que vous comprendrez).

Bref, c'est avec un vrai délice que j'ai retrouvé les personnages de Glacé (bon peut-être un peu déçue de l'absence de l'un d'eux malgré tout), le style d'écriture de Minier et son rythme effréné avec ses intrigues de malade.

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Pas apprécié

A 75% du livre (sur liseuse, on parle en pourcent et pas en pages), j’ai soudain été happée par l’histoire, au point que – enfin, je n’ai plus eu le loisir de prêter attention à autre chose qu’à l’action. Est-ce que Servaz allait s’en sortir ? Est-ce qu’on allait connaître le fin mot de l’histoire ? Est-ce qu’on allait savoir qui avait tué ? Non, ça, ça fait un moment que j’avais ma petite idée sur le qui et le pourquoi. Le suspense a bien duré jusqu’à… 95%. Ensuite, retour à la réalité, j’étais de nouveau assise dans mon salon, dans l’hémisphère sud, en plein hiver.

Ce qui est problématique, dans un sens, parce que Le Cercle se déroule dans le Sud Ouest de la France, en plein été.

Suivant la suggestion de mes amis Céline et Guillaume, j’ai entamé la lecture de la série dans l’ordre. J’avais passé un plutôt bon moment avec M, Le bord de l’abîme (un one-shot qui n’a rien à voir avec Servaz) et un moins bon avec Glacé. Comme j’avais le livre sous la main, je me suis entêtée avec Le cercle. Pour te la faire courte : je vais arrêter la série pendant quelques temps, histoire de lire des polars ou des thrillers qui me conviennent. Manifestement, Servaz et moi, nous ne sommes pas partis pour devenir grands copains.

Commençons par le positif :

Encore une fois, l’histoire est plutôt bonne et bien orchestrée – même si le prologue, très excitant, n’a à mon avis pas grand chose à voir avec l’intrigue principale et sert à exciter l’appétit des lecteurs.

Il y a une ambiance, c’est clairement le point fort de cet auteur. Que ce soit le village universitaire fictif ou l’ambiance de coupe du monde, on s’y voit.

Pour autant, Le cercle m’est complètement passé à côté, je n’ai pas réussi à y rentrer sauf entre 75 et 90% – ce qui, tu me l’accorderas, est un peu juste.

Pourquoi ?

J’ai été gênée par l’enchaînement des événements qui m’ont semblé manquer de logique. Des étapes cruciales sont expédiées alors qu’on nous noie sous les descriptions.

J’ai trouvé les trois premiers quarts extrêmement pédants. L’idée d’une cité universitaire fictive à l’image d’Oxford est intéressante – même je la trouve trop éloignée de la culture française pour y croire -. Par contre, elle n’est pas cohérente : on a d’une part l’action concentrée sur deux classes de khâgne et hypokhâgne qui se situent dans un lycée. Mais il n’y a pas de lycéens. C’est une cité universitaire mais il n’y a pas vraiment d’étudiant. En fait, j’ai eu l’impression que cette Oxford française tournait autour de deux classes de prépa, classes qui ont certainement leur prestige mais qui ne sont pas non plus des classes d’élites sur le plan universitaire dès lors qu’on a dépassé la licence.

“La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale”, disait-on quand j’étais au collège. Cette petite phrase m’a poursuivie pendant la quasi totalité de la lecture du livre. J’ai ressenti un grand mépris (déjà affirmé dans Glacé) pour tout ce qui est entreprise, encadrement, politiques. Bon point pour l’auteur, j’ai parfaitement retrouvé l’idée “nous sommes de purs esprits, l’élite de la nation” qui infuse les premières années d’études universitaires et qui corrompt inévitablement une partie des niveaux ultérieurs. Mais il arrive un moment dans les études et le développement de la connaissance où on arrête de se croire plus intelligent que tout le monde. On dirait qu’aucun des protagonistes du Cercle n’a dépassé le master, ce qui est un peu limité pour une élite. Quelle est cette idée de citer en permanence en latin ? Est-ce que ça existe réellement ? Je croyais qu’on arrêtait ça en seconde ou en première…

Je n’ai pas réussi à adhérer à l’idée de ce village uniquement peuplé d’étudiant et de villas secondaires de grands bourgeois. L’un ou l’autre, ok, mais les deux ensemble, non.

Aucun de ces détails n’est vraiment important pris individuellement. Aucun livre n’est parfaitement cohérent, aucun personnage n’adhère à 100% à sa propre psychologie, il y a toujours des trucs bizarres ou qui ne collent pas trop ou qui font froncer les yeux. La magie de l’écrivain, c’est d’entraîner le lecteur dans un tel tourbillon qu’il ne fait pas trop attention à tout ça, qu’il ne se pose pas toutes ces questions.

Avec Le Cercle, l’auteur n’a pas réussi à créer pour moi ce tourbillon ; je m’entendais lire dans ma tête (j’ai d’ailleurs trouvé le style assez laborieux), je relevais en permanence les yeux pour me demander si j’avais bien lu, j’étais agacée par la puérilité de Servaz dans son histoire sentimentale, agacée par sa pédanterie avec ces phrases en latin complètement indigestes qu’aucun latiniste ne se permettrait d’employer à un autre moment que devant un auditoire qui les comprenne, par cette hiérarchie établie entre les esprits supérieurs qui étudieraient en khâgne et les ratés qui finiraient flics, les pourris qui deviendraient politiques, les arnaqueurs qui deviendraient chefs d’entreprise ou encore par des coïncidences juste invraisemblables … La gaule de Servaz le matin, je n’en peux plus ; les goûts musicaux de son adjoint, c’est pareil ; les événements climatiques providentiels, ça commence à être lassant (mais si j’en juge avec M, le bord de l’abîme, ce n’est pas prêt d’être terminé).

Bref. Je n’ai pas été dedans sauf quelques brèves pages et j’ai été soulagée d’arriver au bout. L’ensemble m’a donné l’impression d’un assemblage de bric et de broc, comme une latiniste trop sérieuse qu’on essaierait de rendre sexy à grands renforts de rouge à lèvres (la fille séquestrée) et de jupe découpée (le retour d’un certain tueur en série).

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Or

Bernard minier persiste et signe avec ce second polar! Une pure merveille! On s'attache de plus en plus au Commandant Servaz et à son entourage d'autant plus qu'il risque sa vie plus d'une fois au cours de cette nouvelle enquête! L'ombre de Julian Hirtman est toujours là pour nous faire frissonner et la fin nous promet de prochaines aventures alléchantes! Je verrais bien une adaptation cinématographique aux histoires de Bernard Minier tant les détails sont riches notamment sur les décors!

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Or

Avec ce second thriller, Bernard Minier nous plonge dans une enquête complexe, mais intelligente et passionnante de bout en bout tant les rebondissements sont multiples. Encore une fois, l’auteur crée immédiatement une ambiance glauque et oppressante avec son premier chapitre. Le ton est donné, ce sera noir, très noir… http://lemondedesylvie.over-blog.com/article-le-cercle-de-bernard-minier-119982589.html

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Diamant

encore une fois merci à Bernard Minier pour ce thriller d'exception. Une histoire prenante, un suspense incroyable et toujours se beau Martin Servaz, un personnage à qui on s'attache.

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Diamant

Ce livre fait près de 800 et pourtant quand on le fini on n'a clairement pas envie que ça s' arrête ,je remercie encore mon frère pour m'avoir offert se livre pour Noël.Tous les lecteurs de thriller se doivent de lire se livre qui est juste une puissance de lecture,on ne décroche à aucun moment ,on se laisse promenée par ce livre du début à la fin ,pour anedocte au millieu du livre je suis aller m acheter <glace> et< n'eteins pas la lumiere>qui sont les livres precedant et suivant se livre ,je m'efforce encore a chercher des défauts à se livre mais il n'y a rien ,si juste un truc <le cercle>et la suite de <glace> et je vous conseil vivement de lire <glace> avant ,car dans <le cercle >on nous révèle beaucoup trop de chose du 1er,après cette un point de vue je n'ai pas encore lu <glace> mais j en ai appris trop à mon goût.Je vais un peus attendre avant de le lire et je vous comfirmerez sa après

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Diamant

Dans la ligné du premier, un livre de 800 pages et pourtant on ne s'en lasse pas... Une fois terminé on a juste envie de continuer.

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Diamant

Bernard minier signe avec ce second polar un vrai bon bouquin ! On s'attache de plus en plus au Commandant Servaz et à son équipe. Suspense, rebondissements, tout y est ! La fin nous promet une suite fantastique ! Vivement le prochain roman de cet auteur !

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Diamant

J'ai adoré ce livre encore plus que le premier qui était déjà énorme.

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Pas apprécié

C'est d'un loooooooong !! Arrivé à la page 600 il ne s'est toujours rien passé de plus que dans les trente premières pages, du coup j'ai abandonné.

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