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Extrait ajouté par FungiLumini 2018-10-18T11:36:07+02:00

Adriel. Ton baiser. C’est par ton baiser que la nuit est venue en moi. Ton baiser me protège du néant de leurs bouches.

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Extrait ajouté par FungiLumini 2018-10-18T11:35:33+02:00

C’était plus beau, pensait Rachel, d’être fragile dans un monde où il fallait être fort. Plus beau d’être la lune plutôt que le soleil. Préférer la chlorose à l’éclat, aimer les fleurs qui s’effritent dans un vase où il n’y a plus d’eau, la langueur des sonates, les rideaux fermés.

Renier le corps. Aller contre lui. L’anémier.

Et dans le cœur, intérieur nuit.

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Extrait ajouté par Elfy_rose 2020-11-13T23:15:20+01:00

— Tu aimerais que je te libère, n’est-ce pas ? lui chuchota t-elle en se penchant à son oreille. Je suis désolée, je ne peux pas. Ta peau est si blanche. On dirait une page vide, une page où je pourrais écrire une histoire, une histoire folle, et oublier mon ennui.

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Extrait ajouté par Odlag 2019-04-05T14:20:28+02:00

On tombe amoureux de quelqu'un comme lui quand on est amoureux de quelqu'un qui est mort.

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Extrait ajouté par FungiLumini 2018-10-18T11:35:50+02:00

Et tout le temps rêver de celui qu’il avait perdu.

Lui, lui, lui, toujours lui dans les rêves, les songes, toujours lui quand il regardait le ciel, la nuit, toujours lui, lui dont il avait oublié le visage, son visage il le réinventait chaque fois, il se souvenait juste de ses cheveux, de ses cheveux impossibles, et de sa pâleur, c’était ce qui restait de lui , ses cheveux, sa pâleur, et il rêvait de lui, et quand il ne rêvait pas de lui c’était tout comme, c’était rêver de lui aussi, de l’oublier, un seul instant, c’était encore envahir sa mémoire de sa présence, oui, c’était pour ça qu’il continuait à vivre, qu’il n’allait pas au soleil, alors qu’il n’avait jamais rien fait, rien, de tout ce temps qu’il avait, c’était pour ça qu’il restait, pour cette grâce immense que c’était, rêver de lui, ce gouffre de désir.

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Extrait ajouté par FungiLumini 2018-10-18T11:35:15+02:00

Mourir? Et si Léopold n’était plus là, dans la mort ? Et si tout était fini ? La mort le terrorisait. Il fallait vivre, même une vie à chercher des fleurs dans un ravin brûlé, une vie à creuser le bois noir, à creuser la cendre, pour y trouver des bourgeons fragiles, des instants avec Léopold ; il fallait vivre, absent à tout ce qui n’était pas lui, le cœur serré toujours, il fallait vivre.

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Extrait ajouté par MaudeElyther 2018-10-02T12:30:55+02:00

Pardonne-moi, Athalie. Je vivrai ainsi. Dans l'illusion, peut-être. Je m'inventerai des histoires, c'est vrai ; je ne pourrai pas m'en empêcher. Parfois j'imaginerai que je suis un personnage de roman. Qu'une ligne claire guide mes pas. Je me souviendrai du voile de tristesse dans tes yeux, dans les yeux de Rachel, je me souviendrai de ta couronne de silence, de tes enfants disparus, des longs cheveux d'Adriel, et ce sera comme une musique triste au fond de mon cœur, un conte de fées.

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Extrait ajouté par Elfy_rose 2020-11-18T21:44:28+01:00

Nous étions polies et froides, épanouies avec nos vagues à l’âme. Nous brodions des fleurs pastels sur le vide. Mourir, qu’est-ce que c’était ? Nous étions invincibles. La mort, c’était juste une belle grande dame avec des ailes sombres, une amie imaginaire qui flattait nos désirs d’ailleurs, nos rêveries romantiques de cimetières.

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Extrait ajouté par Odlag 2019-04-05T14:21:29+02:00

Offrez le baiser de la nuit, mais sans amour aucun, à quelqu'un qui vous indiffère. Vous ferez de ce quelqu'un votre objet.

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Extrait ajouté par MaudeElyther 2018-10-02T12:29:34+02:00

Mélancolie rose.

Son rêve, à Athalie. Répandre la nuit silencieuse de ses baisers. Nous serions des pantins diaphanes, des fleurs sans voix, pâles fantômes dans des romans d'amour.

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