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— Et moi, je suis Bêlit ! s'écria-t-elle, comme elle aurait dit : « Je suis la reine ! » Regarde-moi, Conan ! (Elle écarta ses bras) Je suis Bêlit, reine de la Côte noire. Oh, tigre du Nord, tu es aussi froid que les montagnes enneigées qui t'ont vu naître. Prends-moi et écrase-moi de ton amour ardent ! Accompagne-moi jusqu'aux confins de la terre, jusqu'aux confins de la mer ! Je suis reine par le feu, l'acier et le carnage..., sois mon roi !

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J'ignore [ce qu'il y a au-delà la mort] et cela m'importe peu. Il me suffit de vivre ma vie intensément ; tant que je peux savourer le jus succulent des viandes rouges et le goût des vins capiteux sur mon palais, tant que je peux jouir de l'étreinte ardente de bras à la blancheur d'albâtre et de la folle exultation de la bataille lorsque les lames bleutées s'enflamment et se teintent d'écarlate, je suis satisfait ! Je laisse aux érudits, prêtres et philosophes le soin de méditer sur les questions de la réalité et de l'illusion. Je sais une chose : si la vie est une chimère, alors moi aussi j'en suis une ; par conséquent l'illusion est réelle pour moi. Je vis, je brûle de l'ardeur de vivre, j'aime, je tue et je suis satisfait.

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Il venait de pénétrer dans le quartier réservé aux temples. Sous la clarté lunaire, tout autour de lui, brillaient des colonnes de marbre neigeux, des coupoles dorées et des arches argentées, autant de sanctuaires pour les myriades de divinités étranges qu'abritait Zamora. Il ne se tracassait pas outre mesure à leur sujet ; il savait que la religion de Zamora, comme toutes celles de pays civilisés depuis longtemps, était complexe et déroutante, ayant troqué ce qui faisait son essence primitive au profit d'un dédale de rituels et de formules. Des heures durant, accroupi dans les cours des philosophes, il avait écouté les arguments des théologiens et des professeurs, et en était ressorti désorienté, sûr d'une chose seulement : que leur cerveau ne tournait pas rond.

Ses dieux à lui étaient simples et compréhensibles ; Crom était leur chef et il vivait sur une grande montagne, d'où il envoyait des malédictions et la mort. Il était inutile d'en appeler à Crom, car c'était un dieu sombre et sauvage, qui détestait les faibles. Mais à la naissance il insufflait à tout homme du courage ainsi que la volonté et le pouvoir de tuer ses ennemis, ce qui, selon le Cimmérien, était tout ce qu'un homme pouvait espérer d'un dieu.

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[L]a nuit dernière, dans une taverne, un capitaine de la garde royale a fait violence à la compagne d'un jeune soldat, et naturellement ce dernier a embroché le capitaine. Mais il semble qu'il existe une satanée loi interdisant de tuer des gardes, aussi le garçon et la fille ont-ils pris la fuite. Le bruit s'étant répandu que l'on m'avait vu en leur compagnie, on m'a donc traîné aujourd'hui devant un tribunal. Un juge m'a demandé où avait fui le garçon. J'ai répondu que, comme c'était un ami, il m'était impossible de le trahir. Le juge s'est mis en colère et m'a tenu un grand discours où il était question de mon devoir envers l'État, la société, et d'autres choses auxquelles je n'ai rien compris, et m'a prié de lui dire où mon ami s'était réfugié. À ce moment, je commençais moi aussi à être furieux, car j'avais clairement expliqué ma position.

Mais j'ai ravalé ma colère et j'ai gardé mon calme. Le juge a repris de plus belle, braillant que j'avais fait offense à la cour et que je devais donc être jeté dans un cachot pour y moisir jusqu'à ce que je dénonce mon ami. Comprenant alors qu'ils étaient tous fous, j'ai sorti mon épée et j'ai fendu le crâne du juge en deux.

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Conan s'adossa au mur et leva sa hache. Image de la férocité élémentaire, invincible et irréductible, il se tenait les jambes plantées dans le sol, la tête en avant, une main appuyée contre le mur pour se soutenir, l'autre brandissant la hache haut dans les airs, tous ses muscles tendus à l'extrême, ses traits figés en un masque de fureur mortelle. Ses yeux lançaient des éclairs terribles à travers un voile de sang. Les assassins flanchèrent. Ils avaient beau être des criminels sans foi ni loi, ils restaient néanmoins de purs produits du monde civilisé. En face d'eux se dressait le barbare, le tueur naturel. Ils reculèrent ; le tigre mourant pouvait encore donner la mort.

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Alors qu’ils filaient vers l’entrée de la gorge, trois cavaliers en surgirent, brandissant des tulwars à large lame. Sassan, abandonnant tout effort pour maîtriser sa monture rendue folle par la douleur, pointa sa lance vers le plus proche. Le javelot transperça l’homme et le fit basculer de sa selle

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 Keraspa fait payer aux voyageurs un droit de passage, répondit Sassan dans un souffle. Cet homme ne désire peut-être rien de plus. (Fouillant dans sa ceinture, il dit au guerrier :) Nous sommes d’humbles voyageurs, heureux de payer notre dû à votre valeureux chef. Nous voyageons seuls

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L’aube les trouva s’avançant dans les défilés déchiquetés des montagnes Kezankiennes aux roches nues et brunes. Ces montagnes séparaient les marches extrême-orientales de Koth et de Zamora des steppes turaniennes. Koth autant que Zamora revendiquait cette région ; pourtant, aucun des deux royaumes n’avait jamais été capable de soumettre ses habitants. La ville d’Arenjun, perchée sur une colline aux flancs escarpés, avait soutenu avec succès deux sièges, résistant aux hordes turaniennes venues de l’est. La route bifurqua et devint moins distincte ; un peu plus tard, Sassan reconnaissait qu’il était bien en peine de savoir où ils se trouvaient

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» Les Kezankiens interdisent l’accès de la région aux étrangers, mais un Némédien du nom d’Ostorio découvrit le temple. Il pénétra dans celui-ci et trouva une idole en or, incrustée de gemmes rouges. Il l’a appelée le dieu maculé de sang. Il n’a pas pu l’emporter avec lui, car la statue est plus grande qu’un homme ; aussi dessina-t-il une carte, avec l’intention de revenir en ces lieux. Il parvint à quitter les collines, indemne. Toutefois, à Shadizar, il fut poignardé par un ruffian. Il est mort là-bas. Avant de mourir, il a remis la carte à un homme... à toi, Conan

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Je sais ceci, répondit Sassan. Tu es arrivé à Arenjun, sur la trace des voleurs qui t’ont pris la carte d’un trésor encore plus précieux que celui amassé par Yildiz. Moi aussi, je suis venu ici, à la recherche de quelque chose. J’étais caché à proximité, regardant par un trou dans le mur. Je t’ai vu faire irruption dans la pièce où ils torturaient le Kezankien. Comment as-tu su qu’il s’agissait de tes voleurs 

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