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Commentaire de vampiredelivres

Crazy Rich à Singapour


Commentaire ajouté par vampiredelivres 2021-10-25T14:05:16+02:00

Je ne m’attendais pas à grand-chose de ce roman, et je n’ai été ni déçue ni totalement transportée. CRA nous transporte dans l’univers absurde de la jet-set Singapourienne, dont les traditions et la culture sont à des milliers de kilomètres de ce que nous connaissons en occident. En outre, cette lecture tombe à pic étant donné que ça fait deux mois que je suis à Seoul, et que je commence effectivement à voir la totale différence culturelle qu’on a avec l’orient.

On suit donc Rachel, Chinoise d’origine mais expatriée depuis son enfance aux USA, tandis qu’elle débarque dans le monde sauvage des familles les plus riches et les plus influentes de Singapour aux côtés de son copain, Nick / Nicholas Young. Nick voulait emmener sa copine rencontrer sa famille, mais a malencontreusement « oublié » de lui préciser qu’il est l’héritier de l’une des plus immenses fortunes de tout le continent asiatique.

Globalement, CRA est une lecture sympa, assez éloignée (de ce que j’ai pu voir) de son adaptation cinématographique. Le livre ne se focalise pas tant sur la romance que sur les différents personnages influents de la famille proche ou éloignée de Nick, et parfois de quelques autres personnes gravitant autour. On plonge beaucoup plus profondément dans les enjeux financiers et sociaux de chacun des personnages, on voit énormément d’histoires entremêlées et l’impact des actions de chacun sur l’ensemble de la famille.

La partie que j’ai le plus appréciée, certainement, était l’importance des traditions et des mariages pour préserver l’héritage. D’ailleurs, pendant un moment, je me suis demandée si c’était exagéré, puis en posant des questions autour de moi, j’ai constaté que, en vérité, c’est terriblement proche de la réalité.

Je pense que, de tous les personnages, j’ai préféré Astrid et son histoire avec Michael et Charlie. J’ai haï Eddie, j’ai à peu près bien aimé les autres, mais Astrid était certainement la plus humaine et la plus vraie de tous.

Par contre, j’ai eu deux gros problèmes dans ce roman. D’une part, puisque je parle d’Astrid, le comportement des femmes. À quelques exceptions près, ce sont toutes des vipères vénales et opportunistes, atroces charognards capables de tout, méprisantes et agressives au possible. Toutes autant qu’elles sont. Et elles composent 70 % de la population du roman. Au bout d’un moment c’est lourd.

Et en parlant de lourd, les descriptions de richesses sont… ouais, lourdes c’est le bon mot. J’apprécie d’avoir un aperçu de l’absurde maison dans laquelle une personne vit, mais quand ça prend cinq pages… au bout d’un moment, j’ai compris l’idée. C’est pas en me décrivant le sixième vase chinois de la dynastie Ming que je vais avoir une soudaine révélation.

Mais à part ces deux points, c’était une lecture plutôt fluide et agréable. Et j’ai particulièrement apprécié la fin, qui n’est pas tout résolutoire et laissée totalement ouverte. C’est particulièrement intéressant vu tous les enjeux qui avaient été posés de tout laisser en suspens, sans réponse.

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