Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 466
Membres
1 017 338

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par BibHLM 2010-10-17T15:02:14+02:00

Le type désigné comme le pire des cinglés par une majorité des cinglés, c'est peut-être le seul esprit sain qui traîne.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2011-03-04T17:08:11+01:00

Le cerveau et le coeur sont des organes passés de mode. Espérons pour les générations à venir, qu'on s'en débarassera comme d'une pilosité superflue.

Afficher en entier
Extrait ajouté par BibHLM 2010-10-17T15:02:14+02:00

Engloutir assez pour tromper, à défaut de combler, le vide qui grandissait à l'intérieur de lui.

Afficher en entier
Extrait ajouté par BibHLM 2010-10-17T15:02:14+02:00

La mort n'était pas ce qu'on croyait. Ce n'était pas une fin. C'était une condamnation à perpetuité, un aller sans retour pour une éternité de torture immobils.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2018-07-23T08:51:26+02:00

Tout le monde a droit à la jeunesse, tout le monde a droit à la beauté.

C pour Confessionnal, dites nous votre présent, nous vous dirons le futur.

Banque de la Cité, faites la sieste, votre argent travaille.

Urbaine des jeux, ici on fabrique des milliardaires.

Cokatril, nourrissez-vous par le nez.

Panhôtel, le bout du monde au coin de la rue.

Préventive-Routière, roulez vite, mourrez vieux.

Préventive-Agression, sortez nue.

Immo écrans, vous êtes nos invités.

Whisky light, la boisson qui manquait aux filles.

Lexo Junior, les moins de six ans ont enfin trouvé leur marchand de sable.

Préventive-Suicide, sautez dans le filet.

H comme Hologramme, le héros, c'est vous.

Clair-News, la vérité, rien que la vérité, toute la vérité.

S pour Sentimental, avec Clair-Monde l'amour est à quelques mètres.

Avec Clair-Monde, votre bonheur n'est plus une utopie.

Afficher en entier
Extrait ajouté par tiboudne62 2013-12-06T22:54:19+01:00

"Elle avait l'âge des amours non-partagés en guise de raison de vivre."

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2011-03-04T17:08:11+01:00

La solitude de Colin Parker. Souvent Colin Parker composait de sa propre initiative la touche C pour confessionnal et pendant des heures, il répétait qu’il était seul. Et son assistant lui répondant : « Cher abonné, vous n’êtes pas seul puisque nous sommes là pour vous écouter… » Finalement, quand Colin Parker se donna la mort, le soir du grand black-out, il commençait tout juste à aller mieux.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2011-03-04T17:08:11+01:00

Il croyait qu'on possédait les choses par l'amour qu'on leur porte.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2011-03-04T17:08:11+01:00

Elle lui avait dit qu'il y avait plus de larmes versées sur les prières exaucées que sur celles qui ne l'avaient pas été.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2011-03-04T17:08:11+01:00

Les brumes qui étaient à l'origine du mal semblaient s'être épaissies ce soir-là et leurs strates blanchâtres descendaient à hauteur d'homme comme pour manifester leur sympathie envers le chaos. Malgré sa situation, au cœur de l'ancien centre, épargné par l'urbanisation maladive qui avait frappé partout ailleurs, la Vingtième rue n'en croulait pas moins, d'ordinaire, sous les ornements vains, sous les mille feux bidons dont la ville s'était attifée pour planquer sa misère. Toute en ombres dansantes, sa version noir et blanc donnait la chair de poule. L'immeuble d'en face, soulagé des lueurs qui révélaient la vie au creux des meurtrières, avait tout à fait l'aspect d'un bunker ou d'un colombarium. Syd leva les yeux au ciel pour y trouver l'orage. Les réverbères halogènes avaient rendu l'âme et des écrans-titans qui poinçonnaient les façades, provenaient l'unique éclairage, l'image par défaut des appareils en veille ou en dysfonctionnement.

Comme des bouts de ciel disséminés çà et là pour narguer le désordre, pour narguer le présent. Le logo sempiternel. Le logo de Clair-monde. Au-dessous les hommes couraient le long d'une route qui ne menait nulle part. Au-dessous, de la tôle froissée répandue sur des kilomètres avec le crépitement du feu qui gagnaient les moteurs, promettant aux accidentés, coincés dans les habitacles, un brasier funéraire en bonne et due forme.

Au-dessous, à la faveur des pleins phares survivants, des photographes amateurs shootaient des macchabées en variant les angles. (...) Syd vit la porte vitrée éclater en miettes. (...) Il poursuivit sa course. (...) Une balle troua la ville blindée d'une bijouterie.

Vingt blocs.

Une explosion derrière lui.

Ce qu'il avait sous les yeux, c'était bel et bien l'apocalypse. Une apocalypse modernisée. Remise au goût du jour. Réactualisée aux phobies du moment. Feux de signalisation qui flanchent, clim' externe H.S, écrans en veille, accidents de bagnole, redistribution des biens à main armée, systèmes de sécurité en rade, lignes mortes.

Décidément le monde n'était plus habitable.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode