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Je suis l'esclave de Jonathan depuis un an environ, lorsqu'un beau jour il m'annonce qu'il a décidé de me vendre aux enchères. Je serai bien en peine de réagir alors, car je suis en train de lui lécher consciencieusement les testicules - en veillant à lui offrir ce qui l'électrise le plus.
Afficher en entierLes spectacles de dressage comptent parmi les attractions les plus étranges auxquelles Jonathan m’ait conviée. Ces événements, régis par un certain nombre de règles, se déroulent toujours dans une demeure luxueuse, un manoir (au parc souvent entouré de hauts murs) situé la plupart du temps à la pointe de la péninsule de San Francisco. À notre arrivée, Jonathan confie son véhicule à un voiturier, qui se charge aussi de mon manteau. Dès lors je suis nue, à l’exception d’une paire de bottes, d’une laisse et d’un collier. Jonathan saisit ma laisse pour m’entraîner vers des chaises disposées en cercle au beau milieu d’un jardin splendide. Il s’assied, puis attache la laisse à un petit piquet planté à côté de son siège. Alors, à l’instar des autres esclaves, je m’agenouille.
Afficher en entierJe suis l'esclave de Jonathan depuis un an environ, lorsqu'un beau jour il m'annonce qu'il a décidé de me vendre aux enchères. Je serais bien en peine de réagir alors, car je suis en train de lui lécher consciencieusement les testicules - en veillant à lui offrir ce qui l'électrise le plus. J'attends qu'il me demande d'introduire ma langue serpentine dans son anus - le moment venu, il me l'ordonnera en tirant légèrement sur la chaîne attachée à mes mamelons ; tel est notre signal. Je travaille bien, je crois. Sa queue devient très grosse, il l'enfonce tout au fond de ma gorge, où il jouit abondamment sans cesser de tirer sur ma chaîne. J'avale, puis je soupire en frissonnant. D'une main ferme, il a maintenu ma tête baissée, ne relâchant à présent que peu à peu sa pression, afin que je me repose entre ses cuisses.
Ce n'est que plus tard, après que je lui ai apporté du thé et des toasts beurrés, puis que, agenouillée en silence, je patiente à ses pieds tandis qu'il parcourt les suppléments littéraires du New York Times et du San Francisco Chronicle (de temps à autre il me caresse les cheveux et me présente, du bout des doigts, de petits morceaux de pain grillé), qu'il consent à me fournir quelques précisions.
- As-tu entendu ce que je t'ai dit tout à l'heure, Carrie ?
- Oui, Jonathan.
Conformément aux règles qu'il a établies, je m'adresse toujours à lui avec déférence, en l'appelant par son prénom. Je dois aussi le regarder droit dans les yeux.
- Mais je n'ai pas saisi de quoi il était au juste question, Jonathan.
- Habille-toi. Nous sortons. Je t'expliquerai.
- Oui, Jonathan.
Il ôte mes pinces à mamelons, puis attache une laisse en cuir au collier que je porte autour du cou. La laisse pendre entre mes seins. Il la passe entre mes jambes, l'enroule autour de ma taille avant de la nouer dans mon dos. Il me répète souvent qu'il aimerait me sortir au bout d'une laisse, mais ce serait le scandale assuré. C'est pourquoi il procède de cette façon. Le cuir se tend contre mon sexe. Je porte un jean, un gros pull à col roulé, ainsi que des bottes à hauts talons. De quoi cacher aux yeux des passants la laisse aussi bien que le collier - mais pour ma part, je n'oublie jamais leur présence. Jonathan s'est habillé pendant que j'apportais le thé, après quoi je l'aide à enfiler ses bottes et lui mets son blouson de cuir, que je suis allée chercher dans le placard.
Afficher en entierJonathan lâche mes poignets. Je me laisse tomber à genoux. Il glisse la canne entre mes mâchoires, afin que je l’emporte jusqu’au petit meuble pour la ranger. Enfin, je reviens vers lui, je le remercie avec la promesse de respecter plus scrupuleusement nos règles à l’avenir. Il prend mon visage entre ses mains pour m’offrir de longs baisers, sur ma bouche d’abord, puis sur mes joues trempées de larmes. Il se penche et embrasse mes seins, tandis que, dans un dernier hoquet, mes pleurs cessent.
Afficher en entierL’esclave s’est alors retirée pour se placer à quatre pattes. Son cul, qui conservait toute l’élasticité et la beauté de la jeunesse, était royalement offert. Sous des applaudissements cette fois plus nourris, le dresseur l’a brièvement pénétrée avant de lui caresser la tête. Elle a fait volte-face, baisé le pied de l’homme, puis le sol devant le public.
Après s’être remise debout, la jeune femme a regagné le cercle des invités. Vivement impressionnée, je me suis efforcée de mémoriser mes sensations – peut-être me serviraient-elles plus tard.
Pourtant, Elizabeth a finalement été devancée par Tina, propriété certifiée de John Rudner. Je sentais confusément qu’il me restait beaucoup à apprendre. Jonathan, emballé lui aussi par le numéro d’Elizabeth, a profité de l’entracte, durant lequel on a servi du champagne, pour aller voir son maître. La jeune femme lui a timidement embrassé le pied, après quoi Jonathan a serré la main du dominant et caressé les seins de l’esclave, dont le collier s’ornait du ruban rouge signalant sa deuxième place. Pour ma part, je demeurais bien sûr agenouillée, toujours attachée à mon petit piquet. Auprès de moi se tenait un superbe garçon, tout en larges épaules, hâle avantageux, pommettes délicieusement saillantes et chevelure souple.
Afficher en entierJonathan s’est irrité de ma curiosité. Seuls importaient les numéros présentés, m’a-t-il décrété, et je me trouvais là pour les observer, puis pour en tirer certains enseignements. En aucun cas pour m’extasier devant le parterre de spectateurs. Plus précisément encore, il m’a sommée de me concentrer sur les attractions qui retenaient son intérêt. Car le spectacle était varié : on recensait des courses (y compris des courses d’obstacles) auxquelles participaient des esclaves bottés et harnachés, ornés quelquefois de couleurs assorties – certaines personnes possédaient-elles donc plusieurs soumis ? Mais ces prestations équestres ne passionnaient guère Jonathan, à qui il arrivait de quitter les lieux prématurément. Tandis que je le suivais, mille pensées se bousculaient dans mon esprit, mille fantaisies incohérentes – quel effet éprouvait-on, par exemple, à se voir mené par des rênes fixées à un mors glissé dans la bouche ?
Afficher en entierJe suis l’esclave de Jonathan depuis un an environ, lorsqu’un beau jour il m’annonce qu’il a décidé de me vendre aux enchères. Je serais bien en peine de réagir alors, car je suis en train de lui lécher consciencieusement les testicules – en veillant à lui offrir ce qui l’électrise le plus. J’attends qu’il me demande d’introduire ma langue serpentine dans son anus – le moment venu, il me l’ordonnera en tirant légèrement sur la chaîne attachée à mes mamelons ; tel est notre signal. Je travaille bien, je crois. Sa queue devient très grosse, il l’enfonce tout au fond de ma gorge, où il jouit abondamment sans cesser de tirer sur ma chaîne. J’avale, puis je soupire en frissonnant. D’une main ferme, il a maintenu ma tête baissée, ne relâchant à présent que peu à peu sa pression, afin que je me repose entre ses cuisses.
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