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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par vanitalia 2020-04-05T19:10:13+02:00
Lu aussi

Intrigue intéressante, toutefois certains passages sont beaucoup trop long

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Commentaire ajouté par manue14 2019-03-18T12:48:39+01:00
Or

Les idées sont assez originales et bien approfondies dans l’ensemble. Tout au long du roman nous suivons pas à pas l’enquête sur des jeunes femmes qui disparaissent.

Evidemment on se doute bien qu’elles sont mortes mais Nicolas Lebel arrive à trouver des idées encore peu exploitées dans l’univers du roman policier.

L’identité du tueur est assez rapidement dévoilée. Personnellement j’aurais davantage apprécié le roman si l’identité du tueur n’avait été révélé qu’à la toute fin ou bien plus tard.

Le fait d’avoir plusieurs points de vue est intéressant et cela nous fait découvrir tout ce qu’il se passe. Nous en savons donc plus que les protagonistes eux-mêmes.

L’auteur met en avant les jours et les heures. En effet ce sont eux qui représentent les parties et les chapitres. Ils rythment donc vraiment notre lecture, ce qui est parfois dommage c’est qu’il n’y ait pas autant de détails concernant les lieux.

Pour ce qui est des descriptions je pense que l’auteur aurait pu ajouter un peu plus de détails. Il n’y en a pas vraiment, heureusement l’auteur fait des rappels sur les liens et le travail des protagonistes ce qui permet de les différencier.

Je ne suis tout de même pas parvenue à m’imaginer leurs physiques ou ce qu’ils pouvaient vraiment ressentir dans certaines situations. J’avais parfois l’impression qu’ils n’éprouvaient rien, n’avaient pas de sentiments.

Concernant les lieux, le roman se déroule à Paris mais malheureusement je n’ai pas voyagé jusque dans la capitale. J’aurais apprécié découvrir les lieux connus de cette ville mais aussi des endroits plus discrets. Le manque de détails et de descriptions ne m’a pas aidé.

L’histoire se déroule sur une durée très courte, seulement quelques jours, mais il se passe beaucoup de choses, peut-être trop selon moi pour que le roman soit réaliste. Je pense qu’il aurait fallu que l’histoire dure plusieurs semaines et que l’auteur ajoute des moments de routine et de vie quotidienne, ce qui n’est pas le cas.

L’épilogue est assez différent du reste du roman. C’est une scène plus touchante, plus personnelle comme Nicolas Lebel aurait pu en mettre tout au long de son roman.

La scène de fin est très touchante et m’a bien plu, on s’attend vraiment à une suite.

En résumé, si vous aimez les tueurs de femmes, les flics qui font ce qu’ils veulent, les expériences étranges et l’auteur Nicolas Lebel (qui a écrit d’autres livres avant celui-là) alors ce roman peu peut-être vous plaire.

https://fais-moi-peur.blogspot.com/search/label/affaire%20n%C2%B0435

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Commentaire ajouté par Khiad 2019-04-24T04:23:45+02:00
Or

Je voudrais tout d'abord commencer par remercier la Masse critique Babelio ainsi que les éditions Marabout pour l'envoi de ce livre.

Concernant la couverture, je ne suis pas fan. Oh, elle n'est pas laide, hein ! Mais la statue ne me parle pas particulièrement, bien que j'aime beaucoup le choix des couleurs. J'adhère totalement au titre !

J'ai retrouvé avec un très très grand plaisir la plume de Nicolas Lebel que j'aime toujours autant. Elle est fluide, agréable, documentée et noire, mais aussi pleine d'humour, mordante et incisive comme je l'aime. Du pur bonheur à lire !

Comme dans ses autres livres, Nicolas Lebel aborde de multiples sujets forts et d'actualité : l'immigration, les violences faites aux femmes, le racisme, l'amour... Il se paye même le luxe d’enterrer un chanteur pourtant toujours bien vivant !

J'ai renoué avec un immense plaisir avec nos trois héros, même si avec mes deux tomes de retard, je les ai trouvé un peu changés. J'ai lu les T1 L'heure des fous et T2 Le jour des morts, mais pas les T3 Sans pitié ni remords et T4 De cauchemar et de feu. Mais tout est suffisamment bien expliqué pour que l'on ne soit pas perdu.

Dossantos est plus à fleur de peau, plus perturbé (et vu ce qui a l'air de s'être passé, je ne peux que le comprendre), mais cependant toujours aussi un code pénal sur pattes.

Latour a, je trouve, pas mal évolué et a plus de caractère que dans mon souvenir, ce qui n'est pas plus mal vu que je la trouvais un peu effacée.

Par contre, à part un rapport à la bouteille moins flagrant et une retenue quant aux gros mots, le capitaine Mehrlicht, policier au physique de batracien, à la très grande culture, à la gouaille légendaire et aux répliques mordantes, n'a pas changé. Et c'est tant mieux, parce que c'est comme ça qu'on l'aime ! ^^

Le personnage de Taleb, cet immigré clandestin syrien, m'a beaucoup touchée. La puissance de l'amour qu'il pote à sa sœur, Noura, (n'y voyez rien d'incestueux, ce n'est pas le cas ni le sujet !) est exceptionnel.

Comme dit plus haut, les femmes ont une place importance dans ce livre, surtout dans leur rapport avec les hommes, souvent en tant que victimes, parfois en tant que force, d'autres comme faiblesse. La violence est là, mais l'amour aussi.

Pour reprendre la formulation du résumé :

Un roman qui est l'histoire de six hommes qui aiment ou croient aimer chacun une femme : celui qui la cherche, celui qui l'aime de loin, celui qui veut la venger, celui qui la bat, celui qui la veut éternelle, et celui qui parle à ses cendres. Un roman qui parle des femmes comme premières victimes de la folie des hommes, même de ceux qui croient les aimer.

On se retrouve dans un Paris printanier... qui semble plutôt se trouver au cœur de l'automne, avec une brume glaçante, oppressante et omniprésente qui l’enserre tout au long du livre. Ce qui sied parfaitement au côté gothique de l'histoire. C'est dans cette ambiance qu'une jeune femme va disparaître et que nos policiers vont tout faire pour la retrouver. Mais ce que l'équipe de Mehrlicht ne savait pas, c'était que cette enquête allait les mener beaucoup plus loin que ce qu'ils auraient pu imaginer, à des corps exsangues, aux abord de la Roumanie et de son Monstru, aux limites de la justice...

Les personnages sont nombreux, mais on s'y retrouve facilement étant donné que chaque titre de chapitre précise à qui ledit chapitre est dédié. J'ai aussi aimé que la chronologie soit très bien précisée. J'aime énormément les romans chorales qui donnent la voix à plein d'entités différentes. Je trouve que cela donne du dynamisme au récit et aussi de la fraîcheur, ce qui empêche de s'enliser à suivre toujours l'histoire du même point de vue.

En résumé, j'ai vraiment adoré ce livre qui n'est pas passé loin du coup de cœur, tant pour l'ambiance que pour les personnages, l'enquête, l'humour, les sujets... Je ne peux que vous conseiller ce livre. Mais qu'est-ce que vous faites encore là ? Courrez donc l'acheter et attaquez-le sans attendre !

P.S. : J'ai adoré la parodie de Pour que tu m'aimes encore de Céline Dion et Jean-Jacques Goldman ! ^^ http://booksfeedmemore.eklablog.com/dans-la-brume-ecarlate-nicolas-lebel-a161789440

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Commentaire ajouté par Christele-1 2019-06-29T21:08:57+02:00
Or

Pour la cinquième fois nous retrouvons le commandant Mehrlicht et ses hommes sur une enquête particulièrement sanglante. Je tiens à préciser que je découvre la série avec cet opus. Cela n’a gêné en rien ma compréhension mais je comprends que j’aurai certainement eu plus de plaisir à retrouver ces protagonistes si je les avais suivis depuis le début. Paris, plusieurs jeunes femmes disparaissent, un tueur semble décidé à planter ses crocs dans leurs gorges et ne laisse que des cadavres exsangues derrière lui. Mehrlicht lutte contre la crève mais ne s’arrête pas de fumer pour autant. Le capitaine à tête de grenouille sera amené à enquêter au milieu du brouillard parisien qui sévit depuis plusieurs jours, en passant par le cimetière du Père Lachaise ou en nous faisant prendre un bateau mouche bien particulier sur les eaux polluées de la Seine. Nous découvrirons le Monstre qui se cache derrière les crimes alors que le récit est partagé entre différents protagonistes qui ce sont jurés d’avoir sa peau. Le personnage du lieutenant Dossantos est savoureux dans son rôle de gorille costaud à la frappe facile qui est capable de vous citer chaque article du code pénal mais derrière cette image j’ai appris à découvrir sa vulnérabilité. N’oublions pas la divine Sophie Latour qui est ce que l’huile est au rouage sans elle ce ne serait plus tout à fait pareil. Une belle ambiance gothique et sombre comme nous le laissait entrevoir la superbe couverture avec la couleur rouge qui n’est pas sans rappeler le sang qui est un élément omniprésent de l’histoire pour un peu on aurait pu croire que Nicolas Lebel se lançait dans du bit Lit. Un polar divertissant et savoureux avec des rappels historiques se situant en Roumanie et la thématique des migrants qui elle, reste toujours d’actualité. Bonne lecture.

http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2019/06/18/37439256.html

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2019-07-13T13:39:36+02:00
Argent

Kermit la grenouille est de retour ! Ses Gitanes sans filtre, son franc parler, son argot, ses jurons sans fins, son caractère de dogue allemand qui viendrait de se prendre les roubignoles dans une porte est en forme.

Il tousse bien un peu, il est mis à l’amende s’il dit le mot « putain » mais pour le reste, il est resté fidèle à lui-même : exécrable.

Oui, le capitaine Daniel Mehrlicht est imbuvable mais on l’adore, surtout nous, les lecteurs, ses collègues de travail, c’est une autre paire de manches.

Si dans le dernier Norek nous avions peu de contexte social, dans le dernier Lebel, on en bouffe à toutes les sauces et si ce n’était pas aussi grave, on saucerait son morceau de pain pour ne pas en laisser une miette.

Jamais moralisateur, l’auteur nous balance des coups de pieds dans les tibias afin de nous réveiller un peu, de nous agiter les sangs avant que le vampire ne nous suce jusqu’à la moelle. Et on ne parle pas ici du Fisc ou autre organisme spécialisé dans le pompage et la tonte de la laine sur notre dos.

Tremblez, lectrices, un vampire semble arpenter les ruelles emplies de fog de Paris et, sélectionnant des jeunes filles, il les laisse exsangue. Vrai vampire sorti du roman de Bram Stoker ou vampire moderne se livrant à dieu sait quel trafic pas catholique ?

Si vous croyez que je vais vous le dire ! Lisez le dernier de Lebel et vous saurez tout.

Mélangeant l’écriture humoristique et la sérieuse pour traiter les sujets graves, le roux flamboyant qu’est Lebel nous entraine dans un Paris loin des lumières et des flonflons, loin des touristes, mais nous plonge la gueule dans la misère noire des camps de migrants, des femmes battues qui protègent leurs maris, de la France raciste et des vengeances qui ne sont pas éteintes, même des années plus tard.

Tuant au passage Michel Sardou et Alain Delon, l’auteur nous fait pénétrer dans le cimetière du Père Lachaise et de ses légendes urbaines qui font dresser les poils sur les bras (sauf si vous êtes épilée, bien entendu) et qui nous accroche un peu plus aux pages du roman qui, sombre complot, sont pourvues de colle forte pour ne pas que vous reposiez le roman.

Aidé de personnages qui sont aux antipodes des habituels de la littérature policière, Lebel nous balance une intrigue réaliste, aux relents fantastique, faisant écho aux romans de Mary Shelley, de Bram Stoker et à la phrase de Rabelais qui disait que « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Et il avait tout à fait raison.

On frôle le fantastique, mais tout le reste est réaliste, même si on se doute que l’on aura jamais pareil tueur dans les rues de Paris (faut espérer), ni pareille équipe pour enquêter (on ne souhaite Mehrlicht à personne).

Sans sombrer dans le pathos, ou la morale à deux balles qui fait fuir, Lebel nous offre un 5ème roman des plus réussi (comme les 4 autres), développe un peu plus le côté sombre de certains de ses personnages, nous démontre qu’il faut parfois manger à la table du diable sans longue cuillère pour arriver à ses fins et nous laisse dans un petit suspense insoutenable, le saligaud !

Attention, mon ami, j’ai des contentieux chat et cheval avec tes collègues écrivains, ne vient pas ajouter ton nom à ma Kill Liste ! Réfléchis bien, tes lecteurs•trices ne te le pardonneront jamais…

Un excellent thriller policier, une fois de plus.

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Commentaire ajouté par Joyeux-Drille 2019-08-19T23:18:28+02:00
Lu aussi

Enquête gothique pour Mehrlicht. Nicolas Lebel plonge Paris dans le brouillard pour une enquête vampirique. L'auteur multiplie les références, s'adonne à l'exercice de styles et propose une construction originale dans le fond et la forme. Mais, au-delà de cet aspect, il développe surtout une intrigue visant à sensibiliser aux violences faites aux femmes, souvent par des hommes prétendant les aimer.

https://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.com/2019/08/cest-un-homme-un-voyageur-portant-un.html

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Commentaire ajouté par Delphine-42 2019-09-10T11:51:33+02:00
Or

Dans ce dernier opus en date des aventures du capitaine Mehrlicht et de ses lieutenants Dossantos et Latour, l'équipe enquête sur une affaire banale de disparition avant de tomber sur de nombreux corps totalement exsangue. Une course contre la montre s'engage alors pour sauver Lucie...

En parallèle, nous suivons l'histoire de Taleb et Noura, migrants en provenance de la Syrie dont l'histoire tragique va croiser l'affaire du capitaine Mehrlicht.

J'ai trouvé ce cinquième opus très réussi, à la limite du fantastique, dans une ambiance très Hammerienne, en employant des créatures qui ont fait sa renommée comme Dracula et Frankenstein avec mouts références sur le mythe du vampire avec un chasseur de vampires roumain au nom très subtil d'Yvan Elsinoscu, j'adore ce genre de trait d'esprit^^.

Nicolas Lebel nous narre toujours avec humour des sujets graves en utilisant des thématiques actuelles sensibles avec plein de bon sens (ici sont traités notamment le sujet des migrants, leur difficile acceptation et traitement, les extrémistes qui profitent de la peur du citoyen pour diaboliser ces nouveaux arrivants, la violence faite aux femmes pouvant mener au féminicide, l'immunité diplomatique et les débordements qui peuvent être causés laissant la justice les mains nouées...).

Toujours aussi drôle, l'enquête vous captivera de bout en bout grâce à une plume de plus en plus affirmée et une intrigue complexe et bien maîtrisée.

En suivant les aventures dans l'ordre, on se rend bien compte de l'épaisseur qu'ont pris les personnages depuis leurs débuts, et je trouve le personnage de Dossantos de plus en plus intéressant.

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Commentaire ajouté par CelinedeRoany 2019-10-09T04:41:39+02:00
Or

L'absence, la disparition d'un être cher, thème à la fois rebattu et pourtant toujours d'actualité trouve un éclairage intéressant avec ce nouveau livre de Nicolas Lebel.

Les personnages principaux du roman ont tous à gérer, d'une manière ou d'une autre, une absence : mort, disparition, évanouissement ? Ils sont tous dans le brouillard et l'épilogue sanglant a certainement donné son titre au roman. Ils le font d'une façon différente, qu'on peut ou pas approuver, mais qui est expliquée de telle manière qu'on la comprenne, que la démarche de chacun soit explicable.

Dans la brume écarlate est un bon polar, qui promet un bon moment de divertissement et pas mal de réflexion.

Je salue la construction et l'originalité des personnages, qui sont tous humains, c'est à dire complexes, ni blancs, ni noirs, même si j'ai eu du mal à m'identifier - manque de personnage féminin d'envergure, probablement - ce qui est plutôt étonnant, parce que c'est un roman plutôt féministe. Je salue aussi l'écriture, fluide et sans accroc, qui sait se faire oublier par un vocabulaire suffisamment riche et sans ampoule.

Je salue les descriptions, parfaitement imagées : "Une jeune femme dessinée par Manara et habillée par Marvel", et pof ! elle se matérialise dans ton esprit (et non, je ne me suis pas identifiée, on n'a pas le même dessinateur).

Lebel prend des positions assez tranchées sur des sujets d'actualité, et des positions plutôt originales, notamment sur la condition des femmes :

"Tu sais quoi, Je me dis parfois que si ces affaires de femmes battues n'étaient pas confiées à des hommes qui "ne peuvent rien faire", on aurait peut-être réduit cette violence depuis longtemps"

"Le monde occidental avait découvert avec effroi, dans un bêlement planétaire, que les femmes du XXIème siècle continuaient de subir harcèlement, insultes, agressions sexuelles et violences à tous les niveaux de la société, parce qu'elles étaient femelles, parce que, depuis le jardin d'Eden, Ève la pécheresse et ses descendantes avaient servi de sac de frappe et d'exutoire fanatique à la moitié couillue de l'humanité, aux Adams revanchards et aux dieux masculins de toutes les civilisations"

"Aujourd'hui, on percevait encore le célibat d'une femme comme la dernière des tares, et chacun de ses proches s'ingéniait à proposer untel, l'ami d'amis, souvent Prince des Tocards ou Archiduc des Blaireaux, parce que à leurs yeux il valait mieux qu'une femme fut mal accompagnée que seule. Il en allait ainsi depuis la nuit des temps : la femme seule ne savait pas se tenir"

Ce que j'ai moins aimé : c'est d'avoir deviné la fin (j'ai honte d'écrire deviné, je crois que je n'ai rien eu à deviner, que tout est écrit noir sur blanc) entre la moitié et les deux tiers du livre et, si l'écriture est plaisante, ça a rendu la fin de lecture un peu pesante, téléphonée, convenue, ce qui est dommage.

C'est mon premier Lebel et je continuerai de lire cet auteur

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Commentaire ajouté par Philihp 2020-08-12T11:09:19+02:00
Pas apprécié

Pas aimé, style un peu lourd, tout comme l'humour (Michel sardou est au Père Lachaise, pouf pouf :-( ) et les positions "politiques". Tout manque vraiment de finesse

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Commentaire ajouté par Martine-17 2020-09-06T16:13:05+02:00
Argent

Un nouveau roman avec le commandant Merlich et ses deux compères. Comme les précédents, je me suis régalée. Peut-être un peu plus de longueurs...

Nous attendons un prochain roman, où Dos Santos serait le héro !

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