Ajouter un extrait
Liste des extraits
Aria se rapproche de moi discrètement et se penche pour me murmurer à l’oreille :
– Chérie, tu as remis ta robe à l’envers.
Oh, bordel de merde…
– Si vous voulez bien m’excuser une petite minute.
Je me lève rapidement pour filer dans le couloir ; Colin me dévisage, visiblement très amusé par la situation.
Afficher en entierTout était planifié… sauf lui.
***
Colin parcourt ma mâchoire de ses lèvres et, d’une voix chaude, il murmure à mon oreille :
– Dis-moi d’arrêter, Drea.
Je suis muette. À bout de souffle, tout comme lui. Je ne suis plus qu’un lac de lave en fusion, des flammes brûlantes léchant chaque parcelle de mon corps.
– Dis-moi que ce n’est pas ce que tu veux et j’arrête sur-le-champ.
Je plonge mon regard dans le sien, teinté de minuscules éclats dorés. Nous sommes tous les deux possédés par le désir et le besoin d’assouvir cet instinct primaire qui nous dévore.
– Colin…, gémis-je alors que je sens ma peau se couvrir de chair de poule.
Ses mains remontent le long de mes côtes, ses lèvres collées à mon oreille, comme une caresse.
– Laisse-toi aller, Drea… laisse-moi te faire du bien… juste une nuit, m’implore-t-il, déposant des baisers dans mon cou.
Je ne vais pas pouvoir le repousser plus longtemps. Je le désire au-delà de ce que m’intime ma raison et je ne peux plus lutter contre ce sentiment qui embrase mes sens.
– J’ai envie de toi Colin, dis-je dans un soupir, réduisant à néant mes dernières résistances.
Sa bouche reprend alors possession de la mienne, sauvagement. Je fais glisser son perfecto en cuir de ses épaules, et il passe ses mains sous mes fesses pour me soulever, avec la légèreté d’une plume. Je ceinture mes jambes autour de sa taille.
– Bien, murmure-t-il d’une voix rauque. Ce soir, je n’ai pas l’intention d’ignorer ce que mon corps me réclame depuis des mois.
N’y tenant plus, je glisse mes mains sur sa peau brûlante, soulevant les bords de son tee-shirt. Il s’en déleste et le jette négligemment sur le côté, puis revient sur ma bouche, avant de parsemer la peau de mon cou de baisers fougueux. Mon top ne tarde pas à rejoindre ses vêtements éparpillés sur le sol. Colin baisse alors les yeux sur ma poitrine gonflée et tendue par l’excitation.
– Chambre, ordonne-t-il d’une voix grave et autoritaire.
***
Afficher en entier- Laisse-toi aller, Drea… laisse-moi te faire du bien… juste une nuit, m’implore-t-il, déposant des baisers dans mon cou.
Je ne vais pas pouvoir le repousser plus longtemps. Je le désire au-delà de ce que m’intime ma raison et je ne peux plus lutter contre ce sentiment qui embrase mes sens.
- J’ai envie de toi Colin, dis-je dans un soupir, réduisant à néant mes dernières résistances.
Sa bouche reprend alors possession de la mienne, sauvagement. Je fais glisser son perfecto en cuir de ses épaules, et il passe ses mains sous mes fesses pour me soulever, avec la légèreté d’une plume. Je ceinture mes jambes autour de sa taille.
- Bien, murmure-t-il d’une voix rauque. Ce soir, je n’ai pas l’intention d’ignorer ce que mon corps me réclame depuis des mois.
Afficher en entier- On a frappé et t'étais pas là , s'insurge la fillette .
Paul soupire en s'asseyant mollement sur la chaise en face de moi .
- Dison simplement que j'étais dans un endroit où l'on se rend seul .
j'acquiesce , dubitative .Mais Paul semble gêné .Il n'a jamais été très à l'aise avec les enfants .Bizarrement , lui qui est un vrai déconneur a une trouille bleue des gosses avec un semblant de repartie .Il ne doit pas être déçu avec la petite princesse de Ian .
- Tu faisais caca ? s'exclame Maddie , fière d'avoir résolu notre énigme .
Afficher en entier- Ah non , non non ! Zob in job à fond et je dirais même , Zob partout et tout le temps .Mon Dieu ,Drea il est bombesque !!!!
- Tu pourrais te calmer , s'il te plaît ?
- Il ressemble à cet acteur , là ...
- Et ça y est , c'est reparti !
- Mais siii ! Tu sais bien ! Celui qui joue dans Vkings .
Afficher en entier- Je ne vous demande pas un bulletin météo , rétorque l'homme agacé .Sachez , monsieur Serra que , par cette chaleur , je dors la fenêtre ouverte !
- Ou...oui...C'est en effet une solution , mais je ...
- Ainsi , coupe Olifiant , vous comprendrez également que je n'apprécie guère de sentir la fumée de cigarette s'infiltrer par mes fenêtres à une heure avancée de la nuit ?
Afficher en entierIl prend ma main dans la sienne, attrape ma valise de l'autre et me conduit à l'extérieur du terminal.
Ressaisis-toi, Drea ! On se recentre sur les priorités. Nouveau boulot, nouvelle vie. Pas le temps pour la bagatelle.
Je suis Paul dans la chaleur du mois d'août, me sermonnant silencieusement. Je songe, rêveuse :
Il était quand même beau, ce connard.
Afficher en entier« Je n’ai qu’une seule étoile, trésor. Une seule étoile qui guide mes pas et éclaire ma route dans cette nuit interminable qu’était ma vie. Cette étoile, c’est toi. Je n’en veux pas d’autre. Je ne veux que toi. »
Afficher en entier– Pendant que j’y pense, tu ne lui as rien dit à Steph ?
– À quel sujet ?
– Drea ? Tu sais bien ? Que je… Tu sais ?
– Ah oui ! Que tu préfères les Village People à Queen ?
– Freddy Mercury était gay, Drea. Mauvais exemple et pas très fin comme image.
– Oui, oh là là ! Si on ne peut plus plaisanter. Je ne vais pas devoir lui dire que tu es devenu chiant en plus ?
Afficher en entier– Je vais devoir te punir… me murmure-t-il dans le creux de l’oreille.
Sa voix rauque et sexy fait vibrer tout mon corps, qui n’est plus qu’un brasier ardent prêt à exploser.
– Colin, pitié, gémis-je, tu vas me tuer, là. Steph et Paul nous attendent.
– Mmh…
Il m’embrasse de nouveau, me coinçant un peu plus contre le mur.
– À moins que tu ne préfères que je demande à ta meilleure amie de soulager elle-même cette érection massive qui m’empêche de retirer mon tablier, je crois, ma chère Drea, que ta présence est requise de toute urgence dans le vestiaire.
Afficher en entier