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Chapitre 20, page 151
"Le policier en tenue ramène les prisonniers dans leur cellule. Nichole ramasse ses affaires et s'en va, tandis que Deborah regarde le portrait de Bobby Acosta. Soudain, elle lève le nez vers Vince.
- T'es encore là ?
- Non, je suis parti il y a dix minutes.
- Va débiter tes conneries ailleurs, le coupe Debs (Vince part en laissant derrière lui une trainée de son atroce rire faux. Deborah le suit des yeux, et comme je la connais par cœur, je ne suis pas étonné quand elle lâche, trente secondes plus tard :) Super. On y vas.
-Oh fais-je en m'efforçant de feindre la surprise. On ne vas pas attendre ton équipier, comme l'exigent le règlement et les ordres du capitaine Mattews?
-Contente-toi de ramener tes fesses.
-Et les miennes ? demande Hood.
-Va te les faire beurrer, réplique Deborah en se levant.
Afficher en entierNotre société est dotée de nombreuses lois et coutumes qui protègent les femmes de la force brutale des hommes, mais, quand deux femmes se mettent quelque chose en tête et se liguent contre un homme, il ne peut que se soumettre.
Afficher en entierJe sens le clair de lune qui filtre par la fenêtre et s'infiltre sous ma peau, au plus profond de mon être, pour agiter ce bouillon obscur qui mijote en moi, faire remonter à la surface de délicieuses pensées, et son arôme enivrant flotte jusqu'à mes narines tandis que je l'imagine scotché à la table, se tortillant et se recroquevillant sous le coup de la même terreur qu'il a fait subir à je ne sais combien d'autres, et je vois le couteau s'élever joyeusement...
Afficher en entierIl sait où j'habite. Mais qui est ce ? Qui peut avoir des raisons de me suivre ?
Parmi les vivants, je précise, car il y a quantité d'anciennes victimes qui adoreraient s'en prendre à moi, mais qui ne sont pas en état...
sinon de décomposition avancée
Afficher en entierIl sait où j'habite. Mais qui est ce ? Qui peut avoir des raisons de me suivre ?
Parmi les vivants, je précise, car il y a quantité d'anciennes victimes qui adoreraient s'en prendre à moi, mais qui ne sont pas en état...
sinon de décomposition avancée
Afficher en entier(...) j'aperçois un immense magasin de jouets dans une galerie marchande au bord de la route et, sans hésitation, je me gare sur le parking et m'y engouffre.
Je jette un regard autour de moi, et ce que je vois n'est pas très encourageant. Des rangées de jouets violents (...). Il y a des épées, des couteaux, des sabres laser, des mitraillettes (...). Pas étonnant que notre monde soit aussi cruel. Si nous enseignons à nos enfants que tuer est amusant, pouvons-nous être vraiment surpris si, de temps en temps, il y en a qui sont assez intelligents pour apprendre à le faire ?
Afficher en entierNotre société est dotée de nombreuses lois et coutumes qui protègent les femmes de la force brutale des hommes, mais, quand deux femmes se mettent quelque chose en tête et se liguent contre un homme, il ne peut que se soumettre.
Afficher en entierElle est là, cette petite merveille à l’odeur moite et aigre qui a tout changé.
Lily Anne.
Trois petites syllabes très ordinaires. Des sons sans véritable signification – et pourtant, mis bout à bout et attachés à ce petit morceau de chair qui se tortille dans son berceau, ils ont réussi le plus grands des prodiges. Ils ont changé Dexter, Défunt depuis des Décennies, en une chose dotée d’un cœur qui bat et diffuse une vie véritable, une chose qui aurait presque des émotions et qui ressemble à un être humain comme deux gouttes d’eau...
Tenez : voilà que ça agite sa puissante petite menotte et que, dans Dexter, cette chose nouvelle lui répond. Un truc prend son essor dans la poitrine, rebondit sur la cage thoracique et s’attaque aux muscles faciaux qui déclenchent un sourire spontané et improvisé. Dieu du ciel, était-ce une émotion ? Suis-je donc tombé si bas – et si vite ?
Oui, apparemment. Et ça recommence.
Lily Anne.
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