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Je comprenais enfin pourquoi on l'appelait Mad Rogan, Rogan le Dingue. Ce n'étais pas parce qu'il était fou lui-même mais parce qu'il pouvait vous rendre dingue à force de frustration.

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— J'ai laissé un petit cadeau chez Scorpion, poursuivit Bern. Bug l'a activé il y a quelques minutes avant de disparaître de leurs serveurs.

— Quel genre de cadeau ? demandais-je.

— Quand ils essaieront d'accéder à leurs fichiers confidentiels, ils découvriront à la place l'intégrale des épisodes de Hello Kitty. Les douze saisons en japonais non sous-titré.

— J'aime bien Hello Kitty, fit savoir Matilda.

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La bête fonça de nouveau dans le mur. L’objectif de sa caméra pivota en tremblant. Le poids du blaireau avait fragilisé la connexion entre le mur et le tube en métal semi-rigide qui courait vers les sèche-linge. Un interstice étroit se forma entre le tube et la longueur du conduit de ventilation.

— Ouvrez le trou, ordonna Cornelius.

Les furets passèrent leurs griffes dans l’interstice.

Rogan observait la scène avec une étrange expression sur le visage.

Trois minutes plus tard, Loki, le plus léger des furets, se contorsionna hors du trou et tira sur le serre-joint jusqu’à décrocher le tube.

Rogan porta son téléphone à son oreille et parla à voix basse dans son micro.

— Margaret ? Renseignez-vous pour installer des capteurs de pression dans les ventilations des sèche-linge… Oui. Des sèche-linge.

Augustin écrivait quelque chose sur son téléphone, une expression impénétrable sur le visage.

Ça vous apprendra .

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Pourquoi m’en veux-tu comme ça ? Je fis un effort héroïque pour conserver un ton calme et mesuré.

-Vous avez fait paniquer le témoin que j’interrogeais, lequel m’a conséquemment projetée dans les airs comme une poupée de chiffon avant de se téléporter à travers les étages et de finalement se faire tuer. Ce qui complique les choses et prive mon client d’une occasion de découvrir pourquoi sa femme a été assassinée. Après quoi vous avez presque étranglé le dit client dans un ascenseur.

– Quand vous présentez les choses comme ça, effectivement, c’est assez moche, mademoiselle Baylor

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— Tu dois être Matilda, dis-je en souriant à la petite fille. Elle hocha la tête. — C’est ton chien ? Nouveau hochement de tête. — Il s’appelle comment ? — Lapinou, répondit-elle d’une petite voix. Lapinou m’observait avec dans les yeux un éclat de suspicion habituellement réservé aux serpents à sonnette.

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The door behind me slammed shut.

Fire flared in his eyes and burned through the darkness. It was more than lust. More than need. Nobody else ever looked at me like that.

He strode toward me, confident, unhurried, a dragon in his domaine.

"Am I trapped?"

"You walked into my lair." He circled me, stalking.

The first drop of his magic fell on the back of my neck, hot and soft like velvet. Breath caught in my throat.

"I gave you a chance to escape."

The magic slid over my spine, setting every nerve aflame.

"You didn't take it." He was behind me.

A quick feather-light touch brushed over my shoulders and dashed down my hips. I turned.

He was standing a couple of feet away.

"Now you're mine."

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“If you had a child, somebody like Matilda, and that child wasn’t a Prime despite all the proper genetics, would you still love that child?”

“Of course.”

“Would you protect her and take care of her? Would you teach her and try to make sure she has a happy life?”

“Yes.”

“Good to know.”

His eyes narrowed. “What does that mean?”

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I pulled out my phone and texted Rogan.

Thank you so much for providing us with an aegis. So kind of you.

My pleasure. Is there anything else I can do for you?

As a matter of fact there is. Make a fist and hit yourself with it.

Is this the part where I tell you some ridiculously condescending line about how attractive you are when you’re angry?

Do you actually have a death wish?

Are you going to do something about it?

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“Since when did you stop carrying your gun?” Rogan asked.

“Mr. Rogan . . .”

“Oh no.” Rogan glanced at Cornelius. “We’re back to formal ground. I’m clearly out of favor.”

“Mr. Rogan . . .”

“Why are you mad at me?”

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Vendredi soir. J’étais installée dans mon bureau pour essayer de profiter d’un peu de calme pour examiner les portraits des grosses légumes de la magie qui seraient sans doute présents à la soirée de Baranovsky.

Augustin me les avait envoyés par e-mail, séparés en deux catégories très utiles : « vous tueront à coup sûr » et « pourraient vous tuer ». La soirée s’annonçait mémorable.

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