Commentaires

Une histoire poétique, touchante et prenante. On se plonge dans la BD et on est pris dans un tourbillon d'émotion.

Je dois avouer que je n'ai pas eu l'occasion de lire le roman dont est adapté cette BD, et je regrette.

Ce roman graphique nous plonge à la fois dans l'insouciance, la légèreté, l'excentricité et la mélancolie, la tristesse.

Une belle découverte!

Un regret, celui de ne pas avoir lu avant le roman d''Olivier Bourdeaut. Mais comme ce dernier le mentionne dans la préface de ce roman graphique, il s'agit d'une adaptation.

Des personnages fantasques, une histoire légère qui m'ont un peu dépité au début du récit jusqu'à ce que le ton prenne une tournure plus grave.

Un roman graphique qui m'a surtout donné envie de lire le roman.

Une très bonne bande-dessinée par le biais du graphisme mais aussi par le scénario que l'on retrouve dans le roman d'Olivier Bourdeaut. Addictif, haletant, prenant...

Une histoire d'amour fou. A la fois légère et grave. J'ai adoré !

C’est une très belle lecture à découvrir au son de Nina Simone.

On y suit un jeune garçon dont les parents vivent dans une sorte de fantaisie permanente et qui dansent sur le célèbre « En attendant Bojangles ». Chez eux rien est pris au sérieux et la fête est leur quotidien. Jusqu’au jour où tout bascule. Père et fils feront alors tout pour s’en sortir.

J’ai beaucoup aimé ce livre. C’était à la fois poétique et tragique. J’ai été vite emportée par la folie de cette famille unique puis j’ai été très émue par la tournure des événements. Les personnages et surtout le jeune garçon, sont très attachants dès le début du livre.

Et comment lire un tel livre sans y voir une multitude de points communs avec « L’écume des jours » de Boris Vian (dont j’ai seulement vu le film) ? Je pense que si vous avez aimé ce dernier roman, En attendant Bojangles est fait pour vous !

Très belle BD, qui donne envie de lire le roman. C’est une triste histoire, j’ai mis du temps à comprendre.. même en bd on arrive à sentir l’émotion

Le travail d'adaptation en BD est réussi mais l'histoire est affreuse. Le couple est complètement puéril et malsain, et ils entraînent leur petit garçon dans l'abîme à cause de leur inconséquence décrite comme étant juste une originalité fantasque et fun. Impossible de vibrer en même temps qu'eux au rythme de leurs réjouissances quand on sait que l'on est témoin de leur descente aux enfers. En effet, il ne s'agit pas de gens avec un petit grain de folie qui vivent de manière extravagante mais de l'évolution désastreuse de la maladie mentale, et on veut nous faire croire que le petit garçon, rescapé, garde un souvenir nostalgique de son enfance... J'ai détesté, c'est tout bonnement traumatisant.

De mettre des images sur des mots, d'avoir adapter le roman d'Olivier Bourdeaut, m'aura permis de l'apprécier davantage (j'avais bien aimé mais sans plus).

Cette folie permanente, cette fantaisie inconsciente, même dans la narration, m'avait un peu gênée. Je la comprends mieux désormais et je lui trouve sa place dans l'histoire. Je ne plussoie toujours pas la façon de vivre plutôt excentrique, légère et insouciante des personnages mais je peux comprendre les raisons pour lesquelles ils l'ont choisie.

Je suis aujourd'hui davantage emportée dans cette fantaisie, à la fois pleine de vie, hors norme et tragique.

C'est une très belle adaptation.

J'ai beaucoup plus apprécié d'avoir des images sur les mots. Même s'il manque énormément de détail, avoir un visuel de l'histoire m' aidé à comprendre d'avantage.