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Description ajoutée par Mhynhuie 2017-08-06T15:50:50+02:00

Soudain - à la suite de quelle maladresse ? - la tour de mes poèmes s'écroula au sol, se brisa comme verre. Sans doute, forçant l'allure et rencontrant le vide, avais-je voulu saisir, contre son gré, la main du Temps - le Temps qui choisit -, main qu'il n'était pas décidé à me donner encore. Le marteau sans maître, Placard pour un chemin des écoliers, Art bref, Dehors, la nuit est gouvernée, n'avaient plus du livre que le nom. Je ramassai trente-trois morceaux. Après un moment de désarroi, je constatai que je n'avais perdu dans cet accident que le sommet de mon visage.

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Description ajoutée par x-titi1994-x 2013-05-11T17:36:24+02:00

Pour le bouquet d'hommage à René Char ... Il y a de cela une bonne dizaine d'années (déjà), j'assistais à un Colloque sur Paul Eluard, et épuisée d'entendre un nombre incalculable de bêtises pontifiantes et d'énormités repues de satisfaction - parodiant mon cher Michel Audiard, "le jour où l'on mettrait les imbéciles sur orbite, ceux-là promettaient de tourner longtemps ", je commençais de manquer d'air. Soudain, une âme salvatrice vint à mon secours. Raymond Jean, avec sa douceur ferme, et un brin goguenard, s'excusa d'emblée - c'était bon signe - de n'avoir pas eu envie de commenter des commentaires (tel le dénonçait Baudelaire en son temps) et nous invita à l'écouter nous lire quelques poèmes du Poète. D'un seul coup, c'est comme si les murs avaient été écartés, les fenêtres ouvertes, comme si la lumière avait eu enfin le droit d'entrer à profusion dans la salle : nous étions sauvés, nous entendions le poète. De la même manière, je voudrais nous offrir quelques lignes de la belle page d'introduction à "En trente-trois morceaux", de René Char que nous célébrons ici. Ce sera pudique, magnifique pourtant et suffisant. Parce qu' il le répétait, en poèmes et en paroles,cette idée que... "dans mon pays, on ne dit pas bonjour, on dit merci." "Souvent le soir, lorsque tout ce qui s'agite et circule a sensiblement réduit son fracas et son allure, qu'il est permis enfin de rapprocher les choses de soi avec une libre minutie, je sors de mon domicile et, par la rue de Babylone, je gagne le Boulevard des Invalides. J'éprouve une délectation un peu hagarde en cet endroit, car, de tous ses aplombs, le ciel m'entre dans les épaules." Et le poète de rappeler Rodin, la rue de Varenne, de remercier Marcel Proust, à qui il pense, Et... finissez vous-même, ce fut un joli jour, ce 8 avril 1956. Les mots en ont gardé la lumière... O.A.

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