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Diamant

Une de mes autrices préférées ! Encore un roman qu'on ne peut pas lâcher une fois commencé !

Un roman noir mais tellement réaliste qui prend au tripes.

Quel travail de recherche, on voit qu'elle a dû bien se documenter... Nous suivons un infirmier Grégory, qui travaille pour la Croix-Rouge internationale et qui parcourt les zones de guerre du monde entier.

On plonge dans la stupidité , la barbarie humaine, la folie des hommes.... j'attends la sortie du Tome 2.

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Lu aussi

j'ai lu Glen Afflic (coup de cœur🧡), ce que tu as fait de moi, le purgatoire des innocents, toutes blessent la dernière tue et ... je ne pouvais pas passer à coté de ce livre vu toutes les émotions qu'elle me fait passer à chaque fois...

Je suis d'accord avec les avis que j'ai à moitié lu, c'est différent de ce qu'elle nous offre d'habitude !

J'aimerais rappeler que ce qui diffère de d'habitude, c'est qu'il va y avoir une suite et forcément l'histoire demande peut-être plus de longueur que juste quand c'est un one shot. On le saura quand on aura lu la suite, je pense.

J'ai bien aimé le thème, suivre Grégory, infirmier à la croix rouge.

Il aime son métier, il aime sa famille, mais c'est plus fort que lui, il est obligé de retourner soigner des gens à l'autre bout du monde, toujours en prenant plus de risques... Sans oublier que les malades, les attaques, la pauvreté... Ça marque, il faut faire attention.... en plus il les soucis de vie de famille qui s'y mêle..

Oui, c'est un peu long, il y a 2 moments, celui ou il est avec sa famille et à l'inverse celui ou il est sur le terrain, ou il fait ce qu'il aime. J'attends la suite pour voir si c'était long sans raison ou pour bien poser les bases, les persos, qu'on comprenne que s'il se passe ça plus tard, c'est peut-être à cause de ce qu'il y a eu avant, j'ai des petites pistes pour la suite, mais c'est encore un peu flou.

C'était intéressant, c'était dur sans faire peur ni être hard, c'est assez accessible, je trouve et c'est un beau sujet bien abordé.

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Diamant

Et chaque fois, mourir un peu - Livre 1 de Karine Giebel

Lorsque le nouveau Karine Giebel apparaît sur les rayons des libraires, il m'arrive un phénomène étrange. Je suis à la fois attirée comme jamais par ce nouveau titre et j'éprouve en même temps une certaine appréhension qui frise la répulsion. Il faut dire que l'autrice m'a habituée à souffrir en lisant ses romans. Toujours les thèmes sont forts et puissants, ils viennent toucher le point sensible en chacun d'entre nous, pile poil là où ça fait mal. Alors pourquoi dois-je m'infliger cela ? Qu'est-ce qui fait que je ne peux résister à cette lecture ? Sûrement cette universalité, cet éclairage sans concessions des zones les plus sombres de l'humanité. Croyez- moi, une fois encore je me suis laissé captiver par son nouveau scénario. Parce que même si suivre le parcours accidenté de Grégory, un infirmier humanitaire a été une lente traversée de l'horreur, j'en ressors grandie. Chaque destination, chaque guerre ou conflit dispersé aux quatre coins du monde nous percute de plein fouet. Les lieux choisis font froid dans le dos : Sarajevo, Kigali, Srebrenica, Monrovia, Gaza, Khandahar... Karine à l'art et la manière de mettre un embrasement général sous la loupe, un focus sur deux ou trois personnages marquants qui viennent s'inscrire à jamais dans le cerveau de notre « héros ». Les plus vulnérables sont souvent les femmes et les enfants, les vieillards aussi peu importe où nous nous trouvons sur la planète, il y a toujours une zone de guerre. Et même quand le conflit est terminé, il reste encore les mines antipersonnel pour semer la mort et le malheur. Parallèlement à la grande Histoire, il y a la vie privée de note humanitaire qui n'est pas dénuée de souffrance et ressemble parfois à un chemin de croix. Vous l’aurez compris un livre pas facile mais tellement enrichissant, émouvant qu'on ne risque pas d'oublier. J'ai beaucoup aimé la rencontre avec Denis Mukwege qui apporte beaucoup d'espoir. Je ne peux que le recommander aux plus forts d'entre nous, il ne nous reste qu'à patienter pour découvrir la suite dans le Livre 2 cet automne. Bonne lecture.

http://latelierdelitote.canalblog.com/2024/04/et-chaque-fois-mourir-un-peu-livre-1.html

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Diamant

Quelle claque ! Quelle remise en question !

C'est le premier Karine Giebel que je lis, et je pensais lire un polar, ou un thriller. En fait, pas du tout. Nous sommes ici sur un roman noir, violent, avec des scènes parfois insoutenables.

Ce livre est très difficile à lire. Déjà parce qu'il fait écho à actualité. Gregory part en mission humanitaire depuis 1992, il va donc intervenir sur un certains nombre de conflits. Du génocide au Rwanda, au Kosovo, au conflit israelo-palestinien, toujours la même horreur, toujours les mêmes scènes, les même drames.

Il est difficile de part ses descriptions, rien ne nous est épargné. Âmes sensibles, s'abstenir, vraiment.

Et il est difficile parce que nous suivons aussi la fatigue psychologique de Gregory. Comment avoir une vie "normale" après tout ce qu'il a vu ?

Ce roman m'a bouleversé, parce que même si je pense à toutes les victimes, je pense surtout aux enfants. Ça me tord les tripes, et ce sentiment ne m'a pas quitté tout le long du roman.

C'est un roman très bien écrit, (d'ailleurs merci à @netgalleyfrance pour la découverte) et l'autrice arrive parfaitement à poser les mots sur les sentiments du personnage principal.

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Diamant

Comme à peu près tous les livres de Karine Giebel, on est ici sur un énorme coup de cœur.

On a à faire avec un excellent mélange de genre, entre le thriller médical, le thriller historique et le thriller psychologique. Je ne suis pas du tout d’accord avec bon nombre d’avis que j’ai vu passer et qui ne retrouvent pas la plume de l’auteure dans ce livre. Pour ma part, je trouve qu’on est au contraire sur une version magnifiée du style habituel de l’auteur.

De 1992 à nos jours, l’auteure va vous faire explorer les traumatismes physiques et psychologiques des zones de guerre.

“Ça ne finira jamais. La pourriture est à l’intérieur de l’humain, comme le ver dans le fruit.”

Je ne pourrais pas mieux résumer la trame de fond de ce livre que part cette citation. Tout est dit, l’histoire est dramatique, bouleversante et malgré la lourdeur du sujet abordé, Karine Giebel arrive à nous placer des passages de pur thriller si habilement que ça semblerait presque facile.

Les premiers chapitres sont ponctués de phrases courtes, c’est très percutant. Le style se veut autoritaire comme pour bien nous faire comprendre l'importance de chaque mot.

Les premières pages passent à une vitesse folle, jusqu’à la page 47.

47 pages avant qu'on ne se prenne en pleine face l'élément déclencheur avec autant de violence que le protagoniste. Tout l’art de Karine Giebel et son expertise dans l’écriture des thrillers psychologiques vont se déchaîner à partir de cet instant du livre.

[...]

Pour finir, je dirais que ce livre est certainement le livre le plus marquant qu'il m'ait été emmené de lire sur le syndrome post-traumatique et qu’il est un des meilleurs de l’auteure. Avec ce livre, Karine Giebel nous plonge dans les profondeurs de la condition humaine à travers le prisme des conflits modernes tout en rendant hommage aux humanitaires.

Mon seul regret ? Devoir attendre la suite !

La chronique complète est à retrouver sur mon blog :

https://thrilleraddict.com/2024/04/05/et-chaque-fois-mourir-un-peu-de-karine-giebel/

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Or

Grégory est infirmier au comité international de La Croix Rouge. Marié à Séverine et papa de la petite Charlène, il doit souvent être absent. Il n’a qu’une devise, celle de soigner quiconque en aurait besoin, peu importe ses convictions politiques ou les actes commis par les blessés. Au fil de ses missions, il fera des rencontres qui le bouleverseront.

Je préfère m’arrêter ici en ce qui concerne les éléments de l’histoire, tant ce roman est foisonnant et réserve une multitude de situations inattendues. Inutile de tergiverser, cette lecture a été un coup de cœur absolu, de ceux qui bouleversent, qui laissent sonné et chamboulé. L’auteure m’a totalement immergée dans ce monde où les soignants du CICR font preuve d’un courage indicible, et j’en ressors profondément émue.

C’est Grégory qui va mener le fil rouge de cette histoire, au long de ses missions, mais également de sa vie personnelle, dans laquelle il connaîtra des drames terribles que je ne veux pas vous révéler. Le jeune homme m’a profondément touchée, de par son courage, sa sensibilité mais également de par ses indicibles blessures qui vont le façonner peu à peu.

Ce roman laisse son lecteur chamboulé. Avec beaucoup de justesse et d’acuité au moment de décrire les ressentis et les sentiments de ses personnages, l’auteure déroule une intrigue totalement bouleversante. Ce roman sera en deux parties, la deuxième étant attendue pour l’automne. La fin de la première partie laisse le lecteur dans l’incertitude la plus totale, et bien evidemment, l’envie de lire la suite est présente.

La plume de l’auteure est incisive et d’une grande fluidité. Avec des chapitres assez courts, le rythme ne faiblit jamais. Les indications spatio-temporelles au début de chaque chapitre sont les bienvenues afin que le lecteur puisse se repérer.

Un roman percutant, bouleversant et qui m’a profondément touchée. À découvrir sans hésiter.

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Avec Et chaque fois, mourir un peu, Karine Giebel explore les dégâts des violences psychologiques et physiques que rencontren les humanitaires de la Croix-Rouge internationale dont la charte est de soigner toutes les personnes qui le nécessitent. Comme un tour du monde des conflits les plus meurtriers depuis 1992, Grégory, vêtu uniquement de son gilet pare-balles avec le logo de la Croix-Rouge, a choisi de soigner ses patients sur tous les endroits où ils ont besoin de ses soins infirmiers. Karine Giebel signe une première partie époustouflante avec d’un côté la description cruelle du monde moderne et l’empathie et le respect pour ces hommes et femmes, héros des temps modernes !

Brins d’histoire

Juillet 1992 : Hôpital Lopiding créé par le Comité International de la Croix Rouge (CHR) pour les victimes de la guerre du Sud Soudan. A peu près 700 lits répartis dans dix salles communes. Plus grand hôpital de campagne du monde.

« Chaque jour, Grégory apprend »

Février 1994 : Hôpital Kosevo à Sarajevo. Toujours le Comité International de la Croix Rouge.

Et entre, il y a eu les Alpes-de-Haute-Provence avec Séverine, sa femme, et Charlène, sa petite fille de 6 ans.

Quelques mois plus tard, lorsqu’un serbe, Dragan, rongé par la douleur, lui lance « J’espère qu’un jour, vous saurez ce que ça fait de perdre sa femme et son enfant. » L’horreur anticipée glace les sangs !

Alors, lorsque la nouvelle se lit sur la page, comme sonnée par un uppercut, la lecture s’arrête et se bloque.

Pour faire semblant de s’en remettre, Grégory enchaîne les missions. D’abord, le Rwanda, la Tchétchénie, la Colombie et à chaque fois, la douleur et la souffrance ne se calment pas.

Au fil du temps, la charge va s’alléger. Sauf, que sauveur ne signifie pas Dieu ! Est-ce que Grégory devra payer le prix d’avoir cru pouvoir vivre à cent à l’heure pour oublier ses fantômes. Ou alors pour s’être pris pour Dieu ?

« Choisir.

Et chaque fois, mourir un peu. »

Pas uniquement un thriller !

Ce premier tome s’intitule Blast, du souffle de la mine qui dévaste tout. Ici, c’est la vie de Grégory qui risque, petit à petit, d’être de plus en plus anéantie. Jusqu’à cette fin, redoutée, où le lecteur est incité à prendre rendez-nous à l’automne, pour connaître la suite de son histoire.

Déjà Reine du thriller psychologique, ce premier tome est encore au-dessus de ses précédents. Tout est affûté et sculpté jusqu’au moindre détail pour que le lecteur s’immerge complètement dans l’évolution de l’implication de Gregory dans son travail au fil de ses différentes missions.

Le quotidien des humanitaires

Ainsi durant quinze ans, Karine Giebel raconte l’univers des humanitaires qui, sans aucune distinction politique ou sociale, soignent tout le monde et toutes sortes de blessures, du moins celles qui pourront permettre aux patients de survivre. Évidemment, au fil des pages, l’écrivaine nous pousse à nous interroger non seulement sur le pourquoi d’un tel engagement mais aussi sur la résistance des soignants devant tant d’horreurs rencontrées.

« On succombe à une quantité massive de poison, mais on peut y résister lorsqu’il est instillé à petites doses. On peut survivre un moment.«

La cruauté du monde

Le second aspect de ce roman est la description des violences lors des conflits de la fin du XXè siècle jusqu’à l’Afghanistan de 2010. La documentation est sérieuse et approfondie, d’ailleurs l’écrivaine le rappelle en fin de volume. Et, le style de Karine Giebel abandonne les rives du polar pour celles du reportage.

Pour conclure,

Presque cinq cents pages, où le style de Karine Giebel dissèque et analyse les violences perpétrées pour asservir à la volonté de quelques-uns l’intégrité du plus grand nombre. Évidemment, les femmes sont très exposées, comme l’analyse la partie concernant le Dr Denis Mukwege, en République démocratique du Congo, que Grégory choisit d’aider. Il faut toute l’empathie de l’écrivaine pour énoncer sans se répandre dans l’horreur !

Dans ce tome un de Et chaque fois, mourir un peu, Karine Giebel raconte, malgré toutes les violences exposées issues des conflits modernes, la force des humanitaires qui, jour après jour, soignent et guérissent autant les traumatismes physiques que psychologiques des patients qu’ils rencontrent. Durant quinze ans, l’engagement de l’infirmier Grégory est raconté entrecoupe des éléments de sa vie de famille. Armé de son seul gilet pare-balles, Grégory continue à passer à travers toutes les violences du monde. Jusqu’à quand ? La suite à l’automne de cette année.

Ce nouveau thriller psychologique est époustouflant d’humanité racontée face à l’inhumanité rencontrée !

https://vagabondageautourdesoi.com/2024/03/26/karine-giebel-et-chaque-fois/

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