Karine Giebel
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 8.08/10Nombre d'évaluations : 4 559
1 Citations 2 478 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un livre qui vous prend aux tripes.
AVec des personnages incroyables et un suspense insoutenable et des moments tellement horrible.
Un pur chef d'œuvre !
Afficher en entier"Purgatoire des innocents" est un huit clos très sombre, oppressant et machiavélique...
Le style d'écriture est vif, avec beaucoup de dialogues. Les scènes violentes sont nombreuses mais sans être décrites à outrance. C'est davantage ce qui est suggéré qui vous glace le sang. Et heureusement, car je n'aurais pas fini le livre sinon...
Les soupçons que j'ai eus dès les premières pages se sont tous confirmés, comme ceux que j'ai eus par la suite d'ailleurs. Pour moi, il n'y a pas eu de rebondissements et c'est le gros bémol de ce roman. Pour autant, la lecture a été tellement addictive que les pages se sont tournées à une vitesse folle. Et ça, c'est assez fort, quand même !
Afficher en entierPas mal. Mais sûrement pas LE thriller tant adulé. Beaucoup trop explicite dans les violences commises. Un style d’écriture trop incisif et froid. Pas d’attachement aux personnages. Quelques bons twist cependant. Mais sans plus
Afficher en entierUne lecture plutôt ennuyeuse cette année.
Afficher en entierEncore du grand Karine Giebel ! Je dois avouer que la première nouvelle (Le vieux fusil) m'a plus davantage que les autres!
Afficher en entierJ'ai beaucoup réfléchi après ma lecture avant de me décider à écrire un commentaire car mon avis sur ce livre est très nuancé ! Si je pouvais mettre une appréciation différente pour la première et la deuxième moitié du livre, je l'aurais fait ! Selon moi, la première partie du livre mérite d'être classée dans la partie "diamant" de ma bibliothèque, alors que pour la deuxième partie, j'ai envie de mettre la mention "je n'ai pas apprécié". Je m'explique... D'après moi, la première partie du livre est bouleversante ! (J'ai pleuré plusieurs fois d'ailleurs). On découvre ce qu'est l'esclavage moderne à travers la narration d'actes d'une violence inouïe. On se met à la place de Tama et on ressent toutes les émotions qu'elle traverse comme si on vivait la même chose qu'elle ! Personnellement, c'est la première fois qu'un livre a provoqué en moi des émotions de haine, de peur et de tristesse aussi intenses ! Et, j'avais aussi en permanence envie de protéger Tama en là soustrayant à la cruauté de son entourage et en là rassurant sur sa valeur et sa légitimité ! La deuxième partie du livre est par contre de trop, selon moi. Il y a tellement une surenchère de la violence, et en même une diminution du partage des ressentis émotionnels, que ça en devient surréaliste et tiré par les cheveux. Du coup, on se détache de l'histoire, ce qui est vraiment dommage car la thématique abordée par l'autrice est d'une importance vitale ! Par ailleurs, l'histoire d'amour entre Tama et Izri, qui est fort à l'avant-plan dans la deuxième partie du livre, n'a, d'après mon humble avis, pas sa place dans ce roman. Je trouve que l'autrice romantise trop cette relation alors qu'elle est super toxique ! On a l'impression que tous les actes de violence d'Izri sont justifiés par la passion et pardonnés pour la même raison, alors qu'absolument rien, même un passé douloureux, ne devrait justifier un comportement violent ! En plus, Izri est décrit comme un sauveur, alors que Tama reste une esclave parce qu'elle n'est pas libre de faire ce qu'elle veut et d'être elle-même dans cette relation ! Et ne parlons même pas du fait que le récit donne l'impression que Tama ne pourrait pas se débrouiller seule, sans dépendre d'un homme (après c'est peut-être mon côté féministe qui analyse trop les choses...), alors qu'elle était si bien partie (j'étais tellement fière de sa force, de son courage et de sa résilience au début). L'autrice a même poussé la chose en faisant en sorte que ce soient deux hommes qui vengent Tama, au lieu qu'elle se venge elle-même. Enfin, la dernière chose qui m'a chiffonnée, c'est le fait que tous les personnages décident de répondre à la violence par la violence ! D'après moi, le livre aurait été plus profond et réaliste si l'accent avait été mis sur la reconstruction et non sur une escalade de la violence exagérée et pas très convaincante ! Bref, pour résumer, cette lecture me laisse mitigée. Je trouve que le début de l'histoire était magnifique mais que la fin ressemblait beaucoup trop à un polar sanglant, ce qui a un peu gâché le message ! Surtout, que le sujet abordé est un vrai sujet de société donc il y a matière à faire passer un beau message constructif... Après, je sais que la vocation d'un livre est parfois de divertir et pas de faire passer un message mais comme j'avais l'impression que le début du livre allait dans ce sens, mes attentes n'ont pas été comblées.
Afficher en entierQuelle lecture !
Pas moyen de décrocher une fois entrée dans les premières pages
On ne sort pas indemne de ce genre de lecture … elle laisse des traces dérangeantes au plus profond de notre âme …
elle nous entraîne au coeur d'un coup de foudre passionnel dans le milieu de la police.
La jeune lieutenant Laëtitia Graminsky vient d'être affectée à la brigade des stups. L'efficace et charismatique commandant Ménainville va vite tomber amoureux de cette dernière
Haletant bouleversant prenant dérangeant
La passion peut vous emmener vers le plus noir et vous faire perdre tout dans votre vie d avant
Le récit à deux voix d'une passion destructrice, malsaine, qui oscille perpétuellement entre l'emprise et l'amour, et qui mènera les amants aux pires actes … aux pires pensées …
Afficher en entier"Apprendre que tout peut s'arrêter, en un instant. Que la mort peut s'abattre sur n'importe qui, n'importe quand et n'importe où. Que ce que l'on croit infrangible est fragile, que ce que l'on pense éternel n'est que provisoire…"
Grégory infirmier humanitaire au service de la Croix-Rouge internationale, sa femme Séverine et sa fille décède dans un accident de voiture pendant qu'il est en mission…
"Ils m'ont frappé et forcé à regarder… Ils ont tué mes parents… Ils ont vandalisé le village… ils portaient des lambeaux de chair en bandoulière… ils ont…"
Ce sont des morceaux de phrases choisies très explicites. Les guerres sont impitoyables, abominables, destructrices des Hommes, manipulatrices envers les jeunes enfants enlevés pour en faire des petits soldats… L'autrice nous entraîne dans une terrible histoire qui quelques fois nous fait lâcher le livre pour se reprendre et engranger ce que l'on vient de lire. Et pourtant on va suivre Gregory, infirmier humanitaire, qui donne tout sans un regard derrière lui, sans concession, un humain au service des violences de guerre qui ne vit que pour sauver l'autre!
C'est un documentaire plus qu'un roman, et lorsque j'en écris ces mots je me replonge dans cette lecture qui m'a bouleversée. Comment expliquer l'inexplicable, l'indicible et le lire car on ne parle que trop peu souvent de ces personnes sur les terrains de guerre. Suivre Grégory c'est aussi être dans sa tête, revenir à la vie normale et repartir, sauver les victimes, se perdre soi-même et finalement y revenir car c'est une façon de survivre à l'abomination. Sauver des vies le plus possible!
Un énorme coup de cœur pour ce récit, la suite je l'ai déjà lu et vous en reparlerais plus tard. c'est à lire mais il faut avoir le cœur bien accroché!
Afficher en entierUn recueil de nouvelles qui rassemble de grandes plumes de la littérature française et qui a été conçu pour la bonne cause, c'est là l'essentiel.
Afficher en entierCe livre m'a bouleversé comme peu d'autres lectures l'ont fait. Raphaël est un personnage qui s'impose avec une intensité rare, un mélange fascinant de dureté et de désespoir
Il est hanté par son passé, par ses choix et par l'amour qu'il porte à son frère, William, ce qui le pousse à braver l'irréparable. Sa lutte pour sauver son frère, à la fois physique et émotionnelle, m'a profondément marqué. Raphaël incarne la complexité humaine, un homme brisé mais prêt à tout pour protéger les siens, même en sachant qu'il court à sa perte.
L'histoire est un huis clos oppressant, où chaque instant fait monter la tension.
L'écriture rend palpable cette atmosphere suffocante : la ferme isolée devient un théâtre d'angoisse, de non-dits et de secrets terrifiants. Sandra, malgré sa vulnérabilité, est un personnage puissant qui contraste brillamment avec Raphael. La relation qui se tisse entre eux, faite d'incompréhensions, de regards furtifs et d'hostilité mêlée d'humanité, m'a totalement happé.
Et que dire de cette demeure, véritable personnage à part entière, dont le mystère et I'horreur montent crescendo ? Chaque page est une montée en puissance, chaque moment semble une bascule entre la vie et la mort.
C'est un roman qui m'a pris aux tripes, m'a ému et m'a laissé son empreinte. Raphaël reste gravé dans ma mémoire comme un personnage tragique, complexe, inoubliable.
Une lecture magistrale que je ne suis pas prête d'oublier.
Afficher en entierOn parle de Karine Giebel ici :
2020-06-29T01:24:30+02:00
2018-03-17T13:33:29+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Karine Giebel
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Pocket : 28 livres
Fleuve Noir : 10 livres
Belfond : 10 livres
France Loisirs : 6 livres
12-21 : 5 livres
Lizzie - Univers audio : 4 livres
HarperCollins : 3 livres
La Vie du Rail : 2 livres
Biographie
Karine Giébel est née en 1971 dans le Var, où elle vit toujours. Son premier roman, Terminus Elicius (Éditions la Vie du rail, 2004) a reçu le Prix Marseillais du Polar en 2005. Suivront Meurtres pour rédemption (la Vie du rail, 2006, et réédité au Fleuve Noir en 2010) qui a été sélectionné pour le Prix Polar Cognac, Les Morsures de l'ombre (Fleuve Noir, 2007) tour à tour lauréat du prix Intramuros, du Prix SNCF 2009 et du Prix Derrière les murs, Chiens de sang (Fleuve Noir, 2008) et Jusqu'à ce que la mort nous unisse (Fleuve Noir, 2009), lauréat du Prix des Lecteurs au Festival Polar de Cognac. Juste une ombre (Fleuve Noir, 2012) a reçu le Prix Marseillais du Polar et le Prix Polar de Cognac. Purgatoire des Innocents, paru au Fleuve Noir en 2013, a reçu le prix des lecteurs du Var 2014. Satan était un ange est son septième roman, paru chez Fleuve Éditions.
(Source : https://www.amazon.fr)
Afficher en entier