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Liste des extraits

Extrait ajouté par Aalabrini-1 2020-08-29T23:41:03+02:00

— Tu sors, ce soir ? demandai-je en le voyant se changer après sa séance de sport.

— Oui !

— Ah… d’accord, répondis-je simplement pour masquer ma déception.

— Cela te dérange ?

Évidemment que cela me dérangeait ! Comment pouvait-on être si proche de quelqu’un une après-midi, pour la quitter ensuite sans raison valable ?

— Non, absolument pas.

Je regardai un film à la télévision

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Extrait ajouté par Aalabrini-1 2020-07-09T02:07:47+02:00

Mais tu l’as revue après !— Une ou deux fois, je l’admets. Mais pas depuis que tu t’es abandonnéeà moi au Club.— Les confessions viennent directement de la personne concernée.— Alors, elle t’a menti. Accorde-moi cette soirée. Laisse-moi te montrerque nous sommes sur la bonne voie, et si tu ne changes pas d’avis par lasuite, je ne t’importunerai plus. Nous ferons même chambre à part, si tu enémets le souhait. Demain, je pars pour une semaine avec ton père, offre-moicette soirée.— Si je reste sur mes positions, tu ne me rendras pas pour autant maliberté.

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Extrait ajouté par TerverChante57 2020-06-18T10:46:44+02:00

La vie de femme mariée n'avait pas que des désavantages. Certes, mon époux était peu présent, et depuis sa petite mise en scène de caresses prodiguées devant un inconnu, il ne m'avait plus touchée. Ce qui me faisait craindre qu'il ait une vie intime en dehors de cette maison. Cela n'aurait pas dû m'affecter, pourtant c'était le cas.

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Extrait ajouté par PANDORE88 2020-04-10T22:28:19+02:00

- Je suis très libre dans mes envies. Eloïse, je suis un libertin, je l'assume et le revendique. Je ne manque de respect à personne et ne fais rien de répréhensible. Je pense que tu as ce côté en toi.

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Extrait ajouté par Bibounine 2018-08-09T15:05:31+02:00

Le miroir me renvoya mon reflet. J’étais transformée. Dans une robe en broderie anglaise qui jouait sur la transparence avec son tissu de coton ajouré, réalisé par une créatrice de renom, amie de ma mère. Ma silhouette était mise en valeur et mes hauts talons rajoutaient au moins dix centimètres à mon mètre soixante, ce qui était un avantage lorsque l’on savait que mon futur époux faisait un bon mètre quatre-vingt-cinq. Mes grands cheveux blonds, tressés et relevés en une coiffure sophistiquée, sublimaient la tenue et un léger maquillage faisait ressortir mes yeux marron foncé, qui me donnaient, comme aimait à me le rappeler ma mère, un air assez strict, une ressemblance avec mon père. Ma mère aurait souhaité une robe bien plus tape-à-l’œil. Avec fermeté, j’avais refusé. Je ne faisais pas le mariage de mes rêves, je voulais que la robe, elle, soit à l’image de mes attentes. Mon père entra au moment où je saisis mon bouquet dans la main. Dans son costume queue-de-pie, il rayonnait. Pour ne pas le culpabiliser davantage, je lui avais laissé croire que ce mariage pouvait avoir un avenir heureux. Il en fut ravi et fêtait donc cette union plus sereinement. Il coiffa ses cheveux grisonnants de son chapeau haut de forme et je lui pris le bras en esquissant un sourire. Perchée sur mes talons, nous étions à hauteur égale. Soudainement, il me parut bien moins imposant que lorsque j’étais petite fille.

— Tout va bien se passer, me rassura-t-il en déposant un baiser sur mon front. Tu es mon rayon de soleil, ne l’oublie jamais.

La musique retentit dès que la porte-fenêtre s’ouvrit. Tous les invités se levèrent et je marchai en fixant celui qui allait être mon époux, grâce à une rapide transaction.

Je ne pouvais nier qu’il était beau. Grand, un corps musclé, il faisait très classe dans son costume identique à celui de mon père. Ses cheveux châtains courts étaient parfaitement coiffés, et ses yeux gris pétillaient en me regardant, quant à sa barbe de trois jours, elle lui donnait un charme supplémentaire. Un homme d’affaires tout ce qu’il y avait de plus sérieux.

Mon père embrassa ma main avant de la déposer dans celle d’Alexandre.

Le pasteur commença la cérémonie. J’étais loin de me douter avec qui je m’unissais et de la vie que j’allais découvrir.

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Extrait ajouté par Bibounine 2018-08-09T15:04:33+02:00

J’allais me marier dans quelques heures. Assise sur le rebord de ma fenêtre, je regardais les employés s’affairer sous les ordres de l’organisatrice du mariage, interrompue en permanence par les remontrances de ma mère. Le parc de notre maison de maître était resplendissant. Une allée, démarrant de la terrasse, avait été créée grâce à des pétales de roses rouges et blanches menant jusqu’au petit kiosque. Dans peu de temps, les centaines de chaises Chiavari alignées devant l’espace accueilleraient famille, relations et amis. En ce mois de juillet, le soleil était présent, le cocktail pourrait se dérouler, selon les souhaits de la maîtresse de maison, dans le jardin, et le repas se ferait sous l’immense tente blanche, dressée sur le côté droit de la demeure. J’y étais passée avant de m’enfermer dans ma chambre. L’organisatrice avait fait un travail sublime. J’aurais dû être la femme la plus heureuse du monde. Éloïse Tessier épousant le bel et séduisant Alexandre Maréchal. Oui, mais voilà, ce n’était pas le mariage que j’avais espéré. Enfant, j’imaginais un conte de fées. J’aurai rencontré mon prince charmant lors d’une réception, chez des amis, au hasard d’une rue. Dès le premier regard, nous aurions su que nous étions faits l’un pour l’autre. La réalité était bien moins romantique.

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