Ajouter un extrait
Liste des extraits
Quand l'amour fait davantage souffrir que jouir, c'est que ce n'en est pas !
Afficher en entier- Cette andouille de chien ne quitte pas l'entre depuis que je me suis levée
- Murder, viens là ! tenté-je de l'appeler. Merde, c'est vrai : Truffe !
- C'est peine perdue. Elle reste la truffe collée à la porte en couinant comme une donzelle en détresse. Il serait temps que la race canine se mette au féminisme, tu ne crois pas ?
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)- Alors, parlons de cette blonde qui t'empêche déjà de dormir...me souffle ma grand-mère dans un nuage de fumée.
84 ans, et Suzanne voit toujours aussi clair.
Afficher en entier- Ta spontanéité et ta sincérité sont vraiment ravissantes, Petit Piaf. Spoiler(cliquez pour révéler)Je comprends que mon petit-fils craque.
- Spoiler(cliquez pour révéler)Et qu'il ne reste pas...ajouté-je en refermant le placard d'un coup sec.
- Ma jolie, il y a deux raisons qui poussent les hommes à prendre la poudre d'escampette après l'amour. L'envie de ne jamais revenir. La peur de ne plus jamais pouvoir partir.
Afficher en entier- Je vais aller me coucher, murmuré-je soudain. Laszlo ne s'y attendait pas. Ses yeux cherchent les miens tentent de lire ce qui se joue en moi.
Un peu de chagrin. Beaucoup de regret. Je n'y connais rien, en famille. Je suis fille unique, sans parents - ou presque. La seule personne que j'ai ne cesse de m'abandonner, de me décevoir, et pourtant, elle me manque cruellement.
Afficher en entier- Vous n'avez pas l'air bien dégourdie. Mais vous avez la voix, le regard et le cœur. C'est tout ce qui compte dans la vie. Une voix sûre, un regard dur, un coeur doux.
Afficher en entierJe suis complètement, follement, irrémédiablement amoureuse de cet homme.
Et le pire, c'est que j'ai l'impression qu'il me le rend bien.
Afficher en entier"- C'est comme si avec toi... commencé-je sans pouvoir finir.
- J'étais enfin chez moi, devine-t-il dans le plus bouleversant des sourires.
C'est ça : dans ses bras, je me sens chez moi"
Afficher en entier"- Je t'aime, Laszlo, lui dis-je enfin en m'écartant. Je t'aime pour tout ce que tu es.
- T'as intérêt, grogne-t-il."
Afficher en entierChapitre 4 :
De très beaux yeux
«… Et je ne parle même pas de l’étincelle indescriptible qui brûle au fond de ce regard de feu…
– Vous avez de très beaux yeux, d’accord, mais il serait peut-être temps de vous servir de votre bouche, non ?
– Et comment tu veux que je m’en serve ? lâche-t-il sans sourire.
Je réalise un peu tard l’ambiguïté de ma dernière phrase, puis celle de sa réponse… et rougis.
– Pour parler ! sifflé-je. Qu’est-ce que vous faites dans cette maison ?
Et le voilà qui avance de nouveau, son grand corps solide se penchant sur mon parapluie. Il s’en empare doucement, le replie et me le tend, tandis que je me bats encore avec mon rythme cardiaque.
– Tu devrais faire attention, un parapluie ouvert à l’intérieur, il paraît que ça porte malheur… se moque-t-il.
Ou peut-être qu’il ne plaisante pas. …»
Afficher en entier