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On resta allongés pendant quelques minutes, puis je humai l’odeur du sang et relevai la tête. Un filet de sang s’échappait de l’épaule de Clay. — Oups, fis-je en léchant mes doigts pour l’essuyer. Je me suis un peu laissé emporter. Désolée. — Je ne m’en plains pas. De toute façon, on dirait que je t’en ai fait autant, ajouta-t-il en effleurant un trou de la taille d’un croc sous ma mâchoire. (Il s’étira en bâillant, et ses mains vinrent se poser sur mes fesses.) Tu n’as fait que compléter la collection

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Tu n’as qu’à prendre les lanternes, finit par proposer Clay. Mais, c’est moi qui les descendrai de l’étagère. — Tu es sûr ? Ce sont des lampes à pétrole, tu sais, rétorquai-je. Je pourrais prendre feu. Clay hésita. Je ravalai un grondement, mais pas avant que les premières notes m’aient échappé. — Je pensais au pétrole, expliqua-t-il. Est-ce que c’est bon pour toi de respirer ce truc-là ? — Hmmm, tu marques un point. Et l’air, alors ? J’ai senti une odeur de fumier, tout à l’heure. Dieu sait quel genre de drogues ils refilent aux vaches ces temps-ci ! — Je disais juste… — Clay, prends les chaises – et les lanternes. Elena, il faut que je te parle

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Il n’avait pas plus de cinq ou six ans lorsqu’il avait été mordu. À l’âge où les autres gamins entraient à l’école primaire, lui avait survécu en tant qu’enfant loup-garou dans le bayou de Louisiane. Jeremy l’avait sauvé et ramené à Stonehaven pour l’élever, et Clay voulait y rester. Mais, désormais, c’était ma maison à moi aussi, depuis le jour où Clay m’avait mordue. Ce n’est pas un sacrifice. Je suis heureuse ici, avec ma famille. En plus, sans Jeremy comme médiateur, Clay et moi nous serions entre-tués bien des années plus tôt

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Je me relevai tant bien que mal et m’élançai à sa poursuite. Cette fois, il avait trop d’avance, et je me rapprochai tout juste assez pour apercevoir son arrière-train bondissant loin devant moi. Il remua la queue. Il se moquait de moi, le salaud ! Je me précipitai et l’approchai assez pour entendre battre son cœur. Il changea de trajectoire et quitta le sentier pour s’enfoncer dans la forêt. Je gloussai sous cape. Je le tenais. Il allait devoir s’ouvrir un chemin, ce qui le ralentirait juste assez pour me laisser… Un couple de ptarmigans s’envola, presque sous mes pattes. Je m’arrêtai au bout d’une courte glissade et faillis, dans ma surprise, faire la culbute. Tandis que les oiseaux paniqués regagnaient le ciel, je me remis debout, regardai autour de moi… et compris que j’étais seule. Cette crapule m’avait piégée ! Et moi, comme une idiote, j’étais tombée dans le panneau 

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la cremerie à ouvert la semaine derniere deux banana split pour le prix d'un pendant un mois.

- un pour toi et un pour.... je grognai, ce qui le fit sourire.

- d'accord, deux pour toi, deux pour moi

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Jeremy nettoya la blessure comme il fallait, puis appliqua un vrai pansement et me demanda de le prévenir si ça recommençait à saigner ou si ça gênait Clay. Pas la peine de s’adresser à l’intéressé ; pour lui, tant que le bras était encore attaché au reste de son corps, tout allait bien.

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J’en fis le tour sur la pointe des pieds, écartai une poignée de feuilles et jetai un coup d’œil. Il avait fini, mais il restait à quatre pattes en haletant comme s’il avait besoin de reprendre son souffle. Si j’avais été fair-play, je lui aurais laissé le temps de récupérer. Mais je n’avais pas envie de l’être. Je me jetai sur son dos et, avant qu’il ait pu réagir, je passai mon bras autour de son cou, en appuyant mon avant-bras sur sa trachée

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Je franchis tant bien que mal une barricade de poussettes et dépassai une petite armée de parents qui, épaule contre épaules, encerclaient l'air de jeux comme un troupeau de bisons protégeant leurs petits. Une petite fille de deux ou trois ans se mit à hurler. Son père se précipita à sa rescousse avant qu'elle se fasse piétiner par un essaim de garçons en âge d'aller à l'école et qui s'était emparés de la tour de guet. Le père lança un regard menaçant aux gamins, puis emmena sa fille à l'écart de la ligne de tir et essuya ses larmes tandis qu'elle expliquait qu'elle aussi voulait escalader la tour. J'eus la vision de mon enfant à sa place et de Clay dans le rôle du père qui s'aperçoit que quelqu'un essaie d'empêcher son gamin de monter sur un jeu....

Oh, mon Dieu, dans quel pétrin allais-je nous fourrer ?

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Je fis un pas prudent hors du chemin. La pluie printanière avait rendu le sous-bois doux et humide. Je le tâtai du bout de la patte, mais il n’émit aucun son. Je m’accroupis alors pour rester sous le niveau des branches, puis décrivis un cercle pour me glisser furtivement derrière Clay. Lorsque je me fus suffisamment rapprochée, je jetai un coup d’œil entre les arbres. Tapi à côté du chemin, il restait aussi immobile qu’une statue. Seul le tremblement de sa queue trahissait son impatience. Je cherchai la trajectoire la plus dégagée, me ramassai sur moi-même, puis bondis. J’atterris directement sur son dos et enfonçai mes crocs dans la collerette de fourrure autour de son cou. Il jappa et fit mine de ruer, puis s’arrêta. Je pouffai de rire, ce qui revenait, sous ma forme de louve, à gronder doucement. Il n’osait pas me projeter dans les airs à cause de mon « état ». Il ne me restait plus qu’à m’accrocher à

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Je lui lançai un regard noir, puis me jetai sur son épaule et y enfonçai mes dents. Il s’écarta brusquement. Je me relevai, puis le clouai au sol à mon tour, les mains sur ses épaules, les genoux sur ses cuisses. Il se débattit, mais il ne pouvait se défaire de moi sans me projeter violemment.

— Vaincu ? lui demandai-je.

Il se tortilla une dernière fois avant d’acquiescer.

— Vaincu.

— Bien.

J’écartai mes genoux de ses cuisses et m’avançai au-dessus de lui. Il essaya de se soulever pour venir à ma rencontre, mais je le repoussai avec mes hanches en l’obligeant à s’immobiliser. Puis je me mis en position. Quand je sentis l’extrémité de son sexe, je m’arrêtai et me frottai contre lui, en me titillant moi-même. Il gémit et tenta de m’empoigner les hanches, mais j’appuyai plus fort sur ses épaules. Puis, je fermai les yeux et m’empalai sur lui.

Il se débattit sous moi en essayant de bouger, de saisir, de reprendre le contrôle, mais je ne le laissai pas faire. Au bout d’un moment, il renonça et se cambra en agrippant à pleines mains des poignées d’herbe. Il avait les mâchoires tendues et les yeux réduits à de minces fentes, mais ouverts quand même, comme toujours, pour m’observer. Lorsque la première vague de jouissance déferla, je le relâchai, mais il resta comme il était, en me laissant le contrôle. Je l’entendis vaguement gronder lorsqu’il jouit. Lorsque j’en eus fini à mon tour et que je me laissai aller contre lui, je vis ses yeux entrouverts et un sourire paresseux qui étirait les coins de sa bouche.

— Tu te sens mieux ? me demanda-t-il.

Je m’étirai sur lui et posai ma tête au creux de son épaule.

— Beaucoup mieux.

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