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l'Inspecteur Gundhalinu se propose, dans cette courte suite à La reine des neiges, comme acteur principal... la culpabilité de sa vie civilisé de Kharemoughi le fait avancé sur un chemin pavé d'obstacle, à la recherche de ses frère disparus, à la rescousse d'une sibylle et à la recherche de lui-même... Mais réussira-t-il à se décharger de son fardeau ? ou y laissera-t-il le peu de liberté qu'il possède déjà ?

Joan D. Vinge développe sur le thème de la culpabilité face à nos parents, face à nos frères et soeurs, et enfin, face à la société en générale... culpabilité qui sert souvent à mieux nous contrôler.

j'ai me beaucoup le style de Joan D. Vinge

Une lecture complémentaire à la série qui nous sert d'interlude et nous permet surtout d'approfondir le devenir de Gundhalinu après sa brutale séparation avec Moon. Plume toujours aussi fluide et agréable à lire, l'histoire se suit facilement et le périple que suit l'agent de police à travers Finismonde pour retrouver ses frères nous tient en haleine jusqu'à la fin. Excellent hors-série, à lire pour compléter votre lecture du cycle de Tiamat !

Vinge J.D. Finismonde. 1985. J’ai Lu 1986. 287 p. 2 étoiles.

Si vous vous sentez d’humeur trop joyeuse et que cela devient maladif…( 😊), ce récit peut vous soulager. Voici pourquoi…

Lors d’une mission contre des barbares, le héros (Gundha) a été capturé et si horriblement torturé (détails dans le texte) mentalement et physiquement qu’il a essayé de se suicider. Miraculeusement de retour dans ses lignes, il a été dégradé, parce qu’il s’est loupé…et donc encore vivant.

Une honte pour son illustre, très riche et très respectée famille qui le honnit.

Le père du héros décède de vieillesse (et peut-être un peu de honte ?). Ses autres fils, plus âgés et infâmes avec Ghanda sont introuvables, probablement morts.

Parce qu’ils sont stupides, ils ont quitté le grand et noble domaine familial pour une ruée au trésor sur une planète incroyablement malsaine. Le trou du cul de l’univers.

Car il a le sens de l’honneur, Gundha part à leur recherche (au lieu d’engager un détective pour les déclarer décédés, de graisser quelques pattes et de toucher l’héritage par exemple).

De chapitre en chapitre (jusqu’à la nausée), on découvre que le héros est un peu niais, bonne poire et très masochiste…

Si c’est votre tasse de thé, ce roman est fait pour vous !

Je me suis arrêté vers la page 111... Ce roman n’est pas mal écrit, il y a même des passages poétiques, mais…j’ai besoin de soleil, d’aventure, d’amour, d’intelligence...