Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 527
Membres
1 017 633

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Samaritain 2017-12-28T20:45:46+01:00

Parfois, le roi, alors qu’il chasse, qu’il a levé une portée de sangliers et que les veneurs attendent qu’il charge et tue le sauvage sanglier mâle d’un coup de lance, quand tous ont la certitude que le roi va frapper, et que le sang noir de la bête jaillira, François Ier s’arrête, se détourne, et d’un geste de la main invite les chevaliers, les veneurs à en finir à sa place, puis il s’éloigne, exigeant de ne pas être suivi.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Samaritain 2017-12-28T20:45:31+01:00

Un roi, s’il veut régner et vaincre, doit savoir juger et punir.

Dans ces premiers jours du mois d’octobre de l’an 1524, les proches de François Ier sont divisés.

Faut-il décapiter le seigneur de Pras, qui a fait acte de soumission au duc de Bourbon et n’a pas résisté dans sa ville d’Aix ?

Les uns assurent qu’on ne pouvait la défendre, et que le seigneur de Pras, alors que les consuls de la ville avaient fui, avait eu le courage de demeurer sur place, en préservant la vie des habitants.

D’autres, et à leur tête le connétable de Montmorency, plaident pour que l’on condamne de Pras à mort.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Samaritain 2017-12-28T20:45:17+01:00

Le roi de France, en ce mois de janvier de l’an 1539, a retrouvé Paris.

Durant tout cet hiver, il a joui d’un ciel limpide, éblouissant. Oubliés les brouillards en Picardie !

Alors le roi s’échappe pour courre le cerf, lors de l’une de ses chasses qui sont des moments intenses de sa vie de souverain.

Il rentre au Louvre, le corps comme épuré, les manteaux et les pourpoints imprégnés de sueur

Afficher en entier
Extrait ajouté par Samaritain 2017-12-28T20:44:49+01:00

Le roi de France médite le châtiment sévère que Charles Quint inflige à ses sujets de Gand.

Un roi a le pouvoir et le droit de punir son peuple. Il est seul juge.

Et François Ier, alors qu’il chasse en litière (la fièvre est revenue) s’interroge sur la manière dont il a régné jusqu’à cette année 1540 depuis son avènement, en 1515. Il avait alors vingt et un ans.

Dans la guerre passée qui l’a opposé à Charles Quint, peut-être a-t-il été le naïf, et l’empereur le fourbe ?

Il joue avec cette pensée et elle l’empoisonne.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Samaritain 2017-12-28T20:44:34+01:00

C’est l’été de l’an 1540.

Il fait si chaud que les fleuves, les rivières, les ruisseaux, les mares laissent apparaître leur fond vaseux, et les poissons morts s’agrippent le long des berges.

Dans les prés jaunes, les animaux couchés sur le flanc agonisent. C’est un temps de mort.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode