Ajouter un extrait
Liste des extraits
"Je l’ai tuée.
Je l’ai vue se tordre dans les flammes et mourir en hurlant.
Et depuis… toutes les nuits, elle revient me hanter, défigurée par le feu, noircie et sanglante.
J’ai voulu m’arracher les yeux, me couper les mains, briser mon corps, anéantir mon âme… et la mort m’a rejeté.
Ni Dieu ni Diable ne veulent de moi… pas encore.
Toutes les nuits, sa vie saigne sur ce bûcher que j’ai allumé.
Dieu délivre-moi ! Taille cette chair qui me mure. Et, plus que la mort, donne-moi l’oubli éternel !"
Afficher en entier"Tu devrais te désentêter du monde, mon ami...Si tu savais comme cela rend léger".
Afficher en entier"Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole le jour, ni la peste qui marche en la ténèbre, ni le fléau qui dévaste à midi".
Afficher en entier"Aimer disait le jeune moine,c'est toujours quitter les tristes réalités de ce monde.L'amour véritable ne connaît ni ce qui est banal ni ce qui,aux autres,paraît répugnant.Je peux nettoyer les latrines ou servir le grabataire,si j'aime le Christ,cela me semblera tâche douce et agréable".
Afficher en entier"Si cela continue,sourit le chevalier,même la magique Brocéliande qui retenait captifs les hommes d'Artus le Gallois ne sera bientôt plus qu'une forêt de légende! "
Afficher en entierTu devrais te désentêter du monde, mon ami...Si tu savais comme cela rend léger.
Afficher en entierTu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole le jour, ni la peste qui marche en la ténèbre, ni le fléau qui dévaste à midi.
Afficher en entierEXTRAIT
LES PREMIERES LIGNES…
“Je l’ai tuée. Je l’ai vue se tordre dans les flammes et mourir en hurlant. Et depuis… toutes les nuits, elle revient me hanter, défigurée par le feu, noircie et sanglante. J’ai voulu m’arracher les yeux, me couper les mains, briser mon corps, anéantir mon âme… et la mort m’a rejetée. Ni Dieu ni diable ne veulent de moi… pas encore. Toutes les nuits, sa vie saigne sur ce bûcher que j’ai allumé. Dieu délivre-moi ! Taille cette chair qui me mure. Et plus que la mort, donne-moi l’oubli éternel ! ”
Afficher en entier