Viviane Moore
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Note moyenne : 6.91/10Nombre d'évaluations : 233
0 Citations 148 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Ce livre décrit bien les problèmes écologiques actuels et dénonce bien comment les hommes sont entrain de donner le coup de grâce à notre belle planète... J'ai adoré, chaque nouvelle est réaliste et bien écrite avec un peu de suspense et d'humour ! Je recommande pour les avides d'écologie !
Afficher en entierLe style de l'histoire correspond bien à l'époque où elle se déroule mais n'est pas agréable à lire.
Afficher en entierLecture scolaire, intéressante. Contexte médiéval assez classique.
Afficher en entierIl y a 3 ans, dans la période compliquée que l'on vivait, j'ai fait une bonne action en achetant ce recueil de nouvelles et je n'avais pas encore pris le temps de le lire... Dans l'idée de descendre un peu ma PAL, je l'ai enfin sorti.
Entre nouvelles, poèmes et quelques autres formes, ce recueil est très hétérogène au niveau de la qualité. Sur une bonne soixantaine de textes, seuls neuf textes m'ont vraiment touchés et tiré leurs épingles du jeu.
Les textes qui m'ont le plus marqué dans ce recueil sont la nouvelle Libertalia ou les mémoires du Salétin d'Henri Loevenbruck qui m'a donné envie de reprendre sa saga Le Loup des Cordeliers et la magnifique ode à la nature de Jim Fergus.
Les autres textes qui m'ont touché sont les appels à la liberté de Françoise Bourdin et Françoise Bourdon, l'escapade dans la cabane de Julien Dufresne-Lamy ou encore l'évasion d'Isabelle Filliozat. De son côté, la sentence de Karine Giebel était poignante !
Et enfin, Anne Icart a su toucher mon coeur avec Philo, son frère qui pour moi était un peu de mon oncle, de ma tante et de toutes ces personnes que je connais et pour qui cette époque n'a pas été simple du tout à vivre.
Une lecture solidaire qui m'a permis de découvrir des plumes vers lesquelles je ne me serai peut être jamais tournée, mais qui m'a aussi confortée dans le fait que certaines plumes ne sont pas pour moi...
Afficher en entierC'est un livre intéressant et sympathique mais sans plus.
Afficher en entierl'auteur maitrise parfaitement l'univers du Moyen-Age et son "policier" au 12e siècle est savoureux le livre est bien écrit avec des emprunts au langage du vieux français et les descriptions sont bien faites
Très addictif on veut avancer dans l'histoire
Afficher en entierun tome final avec une bonne intrigue policière.La fin aurait pu être plus joueuse mais cela est mon avis.un bon tome!
Afficher en entierL'autrice nous emmène au moyen âge à la découverte de l'orphanus et de sa destinée et jusqu'à sa disparition au moment de la seconde guerre mondiale. Ce fut vraiment ma partie préférée, historique, bien documenté, passionnante sans être barbant.
Ensuite on passe à la partie romancée, polar, enquête avec Sixtine. L'orphanus passe au second plan. J'ai moins accroché à cette partie de l'histoire.
L'écriture est fluide, plaisante.
Les chapitres courts apportent un rythme bienvenu. De ce fait on avance vite et facilement dans l'intrigue et les 480 pages sont lues sans s'en rendre compte.
Afficher en entierLe chevalier Hugues de Tarse,par ailleurs médecin et conseiller du prince de Venise et son fidèle guide Tomà vont naviguer au sens propre comme au figuré dans les eaux troubles de la cité afin de savoir pourquoi Jacopo Vitturi,fils d'Ambrosia fut assassiné.
D'un crime,le chevalier va remonter vers d'autres.
Un roman bien écrit d'une remarquable érudition.
Afficher en entierCertaines nouvelles sont intéressantes, d'autres moins.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Viviane Moore
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
10/18 : 18 livres
Éditions du Masque : 13 livres
Thierry Magnier : 5 livres
Elytis : 4 livres
Flammarion : 2 livres
J'ai lu : 2 livres
LGF - Le Livre de Poche : 2 livres
Rageot : 1 livre
Biographie
D'après le site vivianemoore.com :
Née à Hong Kong d’un père architecte et d’une mère maître-verrier, je deviens photographe à 19 ans, puis journaliste. Mes reportages et mes recherches personnelles m’entraînent vers de nombreux pays (Italie, Scandinavie, Japon, Spitzberg, États-Unis…), me font traverser les milieux les plus divers (casinos, zones portuaires, aérodromes, fêtes foraines…) et croiser des gens de tous horizons et de tous métiers (philosophes, archéologues, scientifiques, artisans, hackers, navigateurs polaires, cosmonautes, sculpteurs, peintres, architectes…). À cette époque, j’écris beaucoup de poésie et de courts récits, je remplis des cahiers de brouillon de mes idées de romans et d’essai.
En 1991, je participe à l’exposition de la Fondation Cartier sur le thème de la Vitesse, un de mes sujets de prédilection en photographie avec la nuit. Mes photos sont autant de voyages dans d’autres dimensions. Peu de portraits, plutôt des ambiances nocturnes, des zones interdites, des lieux abandonnés, ainsi qu’un travail sur l’eau et le feu.
Ces années-là, je vole beaucoup : avions, montgolfières, planeurs, tout est bon pour voir la Terre d’en haut. Je rêve de vol spatial, passe mon temps sur les pistes de décollage et fais mon plus beau vol sur un Fieseler-Storch, un avion de reconnaissance de la seconde guerre mondiale.
Si l’image me passionne, elle ne me suffit plus. Je décide d’arrêter la photo, je vends la Linhoff, le Nikon et l’Hasselblad, je ne garde plus que mon premier appareil, un vieux Leica M2 cabossé et me consacre à plein temps à l’écriture.
Mon goût pour le Moyen Âge me fait recenser les lieux forts du XIIe siècle français et italiens, lieux que j’aime à parcourir, dessiner, photographier et dont je relève, au fil de mes voyages, non seulement l’histoire mais aussi l’ambiance, le climat, les impressions qu’ils me laissent.
Encore des notes et des cahiers de brouillons noircis d’écriture, de schémas et de croquis.
Je publie mes premiers romans en 1997, et me lance dans la rédaction d’une série de romans historiques à énigmes mettant en scène le chevalier Galeran de Lesneven. Traduite en langue anglaise et en italien, cette série me permet de poursuivre dans cette voie avec la saga de Tancrède le Normand, mais aussi de me tourner vers la modernité avec le Japon contemporain et la science-fiction auxquels je consacre plusieurs ouvrages.
Je navigue un peu, observe la mer et le ciel. Je ressors mon vieux Leica pour partir au Spitzberg. Je touche à l’un de mes rêves d’enfant : les glaces. Difficile de revenir après ça.
J’écris de plus en plus. Je n’aurai jamais assez de temps.
Après bien des années d’errance, je me suis posée non loin de Chartres. J’ai choisi une grange pour lieu de travail. De ma fenêtre, je ne vois que la cime des arbres et le ciel.
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