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Annabel pose tendrement une main sur son énorme ventre tendu.

— Harriet, qu’y a-t-il, mon cœur ? Ton examen s’est mal passé ? Qu’est-ce qui ne va pas ?

— Moi ? Et vous, qu’est-ce qui vous prend ? Il n’y en a plus que pour le bébé ! Vous n’avez que ce mot à la bouche : bébé, bébé, bébé, oh !

— Tu vas nous chanter du Justin Bieber ? s’enquiert papa.

Annabel pouffe de rire et plaque une main coupable sur sa bouche.

Ça y est, je vais craquer.

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Extrait ajouté par Anaelmde 2015-05-04T00:35:20+02:00

J’écarte largement les bras pour esquisser un geste de persuasion. Et là, quelque chose, sur ma manche, attire l’attention d’Aiden.

Oh, non. Non non non.

— Qu’est-ce que c’est que ça ?

Il se lève pour me rejoindre. Pendant ce temps, je tâche de me relever, mais mes pieds sont emberlificotés dans le tutu géant. Le photographe attrape brutalement mon bras et décolle un petit papier doré de ma manche, à l’intérieur du coude.

— Qu’est-ce que c’est que ça ?

— Mmm ?

Je déglutis et fais de mon mieux pour ouvrir de grands yeux innocents.

Aiden examine le petit papier collant.

— F = M × A ? lit-il lentement.

Après quoi il en retire trois autres de la doublure.

— V = I × R ? Ek = ½M × V2 ? W = M × G ?

Avant que j’aie eu le temps de faire un geste, il m’arrache ma chaussure, la retourne et décolle un papier du talon. Puis il en déniche encore un dans le coude et quatre dans les plis du tutu.

Il les contemple, abasourdi, pendant que je me fais toute petite.

— Harriet, lâche-t-il d’un ton incrédule. Harriet Manners, est-ce que tu as fait des révisions de maths pendant la moitié de mon shooting ?

Je secoue négativement la tête et regarde dans le vide, derrière son oreille gauche. Vous vous rappelez le crocodile et l’oiseau ? Je crois bien que l’un d’entre nous est sur le point de se faire manger.

— Non, dis-je d’une voix faible.

Car : a) c’est de la physique, et b) j’en ai fait pendant tout le shooting.

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- Yo, dit Nick en s'appuyant au montant de la porte. Comment ça va?

(...)

- S-s-salut, finis-je par articuler, le souffle coupé. Ca-çaça va... euhhh...

Bien joué, Harriet. Quinze ans passés à étudier le dictionnaire, absolument pour rien.

- Euhhh, reprend-il avec un large sourire. Pas aussi bien que humm, ou beuh, mais quand même un de mes préférés.

Mon corps entier commence à rayonner.

- En fait, j'allais dire euhhh-xtraordinairement bien, mais tu m'as coupée.

- Je suis euhhh-croyable, pas vrai?

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-Fait comme si tu t'en fichais, Harriet. Fait comme si tu t'en étais toujours fichue.

À ces mots, je me rembrunis.

-Nat...Je n'avais même pas le talent d'actrice nécessaire pour jouer un arbre dans Blanche-Neige au primaire, tu te rappelles?

Elle pouffe.

-Tu es tombée de la scène et tu es restée étalée par terre, à remuer tes branches jusqu'à ce que ton père vienne t'aider à te relever. C'était à mourir de rire.

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Extrait ajouté par grenalie 2015-10-12T20:29:03+02:00

Pendant que j'étais occupé à tout teindre en bleu dans un rayon de dix mètres, j'ai aussi reçu 10 appels manqués de mes parents, 2 erreurs de numéro, 4 messages sur ma boite vocale et 9 SMS. La plupart pour savoir si j'étais bien arrivée au Japon, et quatre destinés à me rappeler ce que je ratais :

1. Tu as laissé un paquet géant de Mars sur ton armoire. Je peux en prendre un ? Bisous, papa

2. J'en ai pris 3. J'espère que c'est OK. Bisous, papa

3. Je vais en reprendre juste un. Bisous, papa

4. Harriet,ton père s'est encore rendu malade en descendant un paquet géant de Mars. Ne laisse pas de friandises là où il peut les trouver stp. Biz, A

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Un petit Japonais propre sur lui, en costume sombre, aux cheveux lissés et gominés, s'approche de moi et s'incline poliment.

- 'aluut, me dit-il.

- Salut à vous aussi.

Je commence, par étourderie, à faire une petite révérence, que j'essaie ensuite de transformer en inclinaison de buste. je reste coincée entre les deux et finis par sautiller sur la pointe des pieds comme si j'avais envie de faire pipi.

- 'aluut, répète le bonhomme, un peu plus fort.

Sans doute une coutume japonaise que je ne connais pas encore.

- Salut!

- 'aluut.

On pourrait y passer la journée. <<Salut. Je m'appelle Harriet Manners.>> Je révise rapidement dans ma tête les quelques phrases en japonais que j'ai apprises et aboutis à ceci:

- Wa-ta-shi-wa Har-riet Man-ners desu.

- Il s'appelle Haru, fait une voix de femme derrière moi. H-A-R-U. Ca se prononce en roulant le r.

Ah.

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Une fois connecté en mode visiophone, Nat met un moment à comprendre ce qui ce qui se passe. C'est parce que je pleure tellement fort que, pendant les trois première minutes, elle n'entend rien d'autre que:<<S... s.. s...

-Sport? Saucisses? Socquettes?>>

Je secoue la tête.

<<S... s... s...

- Sparadrap? Savonnette?>> Je sens bien qu'elle cherche dans sa tête tous les mots qui commencent par un S.

<<Salade César?>>

Une petite bulle de morve me sort du nez, et j'essaie autre chose.<<N... n... n...

- Nénés? Nouilles? Sans vouloir te vexer, Harriet, je commence à avoir l'impression de communiquer avec un pingouin.>>

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- Tu sais, ai-je dit d'une voix ensommeillée, je ne suis pas un dauphin ni un canard, Nick.

J'avais la grippe, et je tenais mon téléphone loin de mon nez pour ne pas laisser de traces d'escargot partout sur le verre.

Je l'ai entendu sourire.

- Ah bon? Tu es certaine de ce que tu dis.

- Attends. J'ai éternué et attrapé un Kleenex sans rouvrir les yeux. Oui. Et donc, je ne dors pas avec une moitié de cerveau encore éveillée pour pouvoir refaire régulièrement surface afin de respirer et de surveiller les prédateurs d'un œil. Donc quand tu m'appelles à (...) à 6 h 34 un samedi matin, je suis endormie à 100%.

- D'accord, tu gagnes, a-t-il reconnu en riant. Si seulement tu étais une girafe! Elle ne dorment que par périodes de cinq minutes, alors tu serais sûrement réveillée.

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J’ai presque 16 ans. Au même âge, Isaac Asimov était à l’université, Eddie Murphy faisait le comique sur scène à New York, Louis Braille avait inventé son alphabet, le champion d’échecs Bobby Fischer était grand maître international et Harry Potter s’apprêtait à sauver le monde de la sorcellerie.

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D'après les experts, les personnes dotées d'un QI anormalement élevé ont souvent du mal à dormir. C'est sans doute la raison pour laquelle, trente-cinq secondes plus tard, je ronfle déjà comme un sonneur.

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