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Elle le regarda dans les yeux en attendant qu'il la relâche.

- Je ne t'aime pas beaucoup, dit-elle.

- Dommage. Quand tu coucheras avec moi, tu seras bien obligée de faire semblant.

Il desserra les doigts à contrecœur et libéra son poignet.

- Qui te dit que je vais coucher avec toi?

Il pressa son corps imposant contre le sien, la dévisageant d'un air agressif.

- Disons-le comme ça: tu ne coucheras avec personne d'autre, alors si tu veux te débarrasser de toute cette tension, autant penser à moi, ma chère.

Elle ne flancha pas.

- Va te faire foutre.

Le couteau dans le creux de la main, Gator se serra davantage contre elle et suivit de sa paume la courbe de sa croupe, se faufila sous le tissu soyeux il remit la lame dans le fourreau.

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— Essaies-tu de m'échapper; ma petite flamme?

Flamme, qui se glissait prudemment hors du lit, s'immobilisa. Elle aurait dû se douter qu'il la sentirait bouger.

— Je ne m'échappe pas, répondit-elle. Et je ne suis pas ta petite flamme non plus. J'ai des affaires à régler ce matin.

Gator grogna et se laissa retomber sur l'oreiller, les doigts enroulés autour du poignet de Flamme pour la retenir.

— C'est déjà le matin ? Il fait encore noir.

— Tu as les yeux fermés. On ne peut pas dire que tu sois matinal !

— Je pourrais l'être si tu me faisais un câlin, dit-il plein d'espoir.

— Je ne fais pas de câlins. Je ne saurais même pas comment m'y prendre. (Elle se pencha et lui déposa un baiser sur le front.) Merci pour hier soir. D'habitude, je ne suis pas aussi... pitoyable.

— Tu pleurais la mort de Burrell. C'est humain, Flamme. Tu es humaine, n'est-ce pas ?

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— Tu es un vilain garçon, Raoul Fontenot. C'est à cause de toutes ces boucles. Je connais un vieux dicton qui parle de boucles et de méchants.

Il grogna et porta la main de Flamme à ses lèvres avant de s'installer à la place du conducteur.

— Grand-mère me le citait aussi. Mes cheveux ne sont pas bouclés,mais ondulés. C'est bien plus viril.

— Ça, je ne peux pas dire le contraire, dit Wyatt.

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Un corps massif passa près d'eux et atterrit contre un pilier avec un bruit sourd. Parsons sourit et secoua la tête.

— Je me rappelle le bon vieux temps où je venais au Huracan. C'est toujours une bouffée d'air frais. Ce fut un plaisir de vous rencontrer, Flamme.

Il lui prit la main, la porta à ses lèvres et la lâcha presque immédiatement avant de partir sans qu'elle ait eu le temps de répondre.

Flamme les regarda s'éloigner en frottant le dos de sa main sur la chemise de Gator.

— Berk. Il a mis sa langue.

— Qui pourrait se retenir ? (Il saisit sa main et passa son pouce sur les jointures de ses doigts.) Je peux lui casser la gueule si tu veux

— Si j'avais envie qu'on lui casse la gueule, je le ferais moi-même. Qu'est-ce que tu penses du fils ?

— S'il était bien l'ex-fiancé de Joy, il ne m'a pas semblé bien ému. Il te regardait comme si tu étais un verre de whisky et qu'il avait grand soif.

— Charmante métaphore... Mais je crois que tu as raison. Il devait sortir avec Joy pour faire enrager son père. Il est clair que le complexe de supériorité est héréditaire chez eux.

Elle baissa les yeux et considéra la carte qu'elle tenait. Le nom de Parsons n'y était même pas inscrit, seulement un numéro de téléphone noir et en relief sur du papier crème.

— Un gros complexe..., ajouta-t-elle.

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Raoul Fontenot, dit « Gator », était en train de fourrer sa chemise dans son sac lorsqu'un coup à la porte l'interrompit. Les hommes de son unité paranormale des Forces spéciales n'étaient pas aussi polis, et avaient tendance à faire simplement irruption dans la pièce, quelle que soit l'heure, de jour comme de nuit. Depuis le temps qu'il les connaissait, pas un seul n'avait pris la peine de frapper avant d'entrer, encore moins d'un coup aussi timide.

Un jean délavé coincé sous le menton, il tenta tant bien que mal d'ouvrir et fut surpris de découvrir la dernière personne qu'il s'attendait à voir, le professeur Lily Whitney-Miller. L’unité de Raoul,les GhostWalkers, devait la vie à cette femme. Elle les avait délivrés de leurs cages de laboratoire et avait empêché qu'ils soient assassinés. Elle était la propriétaire du manoir de quatre-vingts pièces où lui et ses hommes résidaient souvent, mais elle ne s'aventurait jamais dans leurs quartiers.

Elle préférait s'adresser à eux en tant qu'unité, dans le cadre plus solennel des salles de conférence.

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- je vais certainement porter des perruques, alors ne commence pas à te mettre dans tous tes états en pensant à ma tête toute lisse.

- des perruques? répéta t il en lui sourriant. j'ai plein d'idée de jeux avec des perruques. mais pour être honnete, j'avais d'aures endrois tout lisse à l'esprit.

- tout va repousser un jour, éspèce de pervers.

- oh, mais d'ici là...

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« Raoul Fontenot, dit « Gator », était en train de fourrer sa chemise dans son sac lorsqu’un coup à la porte l’interrompit . »

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-Ce mec s'est brûlé le bout des doigts. Aucun indice sur lui, Gator. Qu'est-ce qui s'est passé ici?

Gator poussa un soupir. Que s'était-il vraiment passé? Était-il possible que Flamme ait raison et que Whitney soit encore en vie? Personne n'avait vu sa dépouille. Seule Lily affirmait qu'il était mort. Était-il possible qu'elle mente pour protéger son père?

Lorsqu'il fut certain que Flamme était trop loin pour l'entendre, Gator se tourna vers Ian et lui dit :

-Il y a peut-être du vrai dans ce que Flamme soupçonne. Je ne pouvais même pas entendre sa respiration, Ian. Et tu sais que j'entends presque tout, normalement.

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Flamme était assise dans la boue, adossée contre un arbre, et respirait profondément pour calmer la douleur lancinante de son bras.

— Sale chien d'alligator. Qu'est-ce que ça peut me foutre si tu cherchais simplement à manger ? J'aurais dû te transformer en sac à main. (Elle regarda ses bottes boueuses.) Et en chaussures. De vraies chaussures en croco.

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Un sourire étira lentement les lèvres de Gator, aussi doucereux que son accent.

— Tu ne penses pas qu'avant de parler de trêve, tu pourrais prouver ta bonne foi et me rendre ma moto ?

— Est-ce que tu as déjà balancé la Jeep de mon frère dans le Mississippi ?

— J'avais noté dans mon agenda de le faire ce soir.

— C'est la voiture de mon frère, lui rappela-t-il en caressant les marques sur sa gorge. Pas la mienne. Je l'ai seulement empruntée.

— Mauvaise idée de te l'avoir prêtée.

Il observa son cou, et son regard s'assombrit.

— Je suis désolé de t'avoir fait ça, ma chère. Je peux t'embrasser pour que ça guérisse plus vite.

Elle resta parfaitement immobile sous ses caresses, et son cœur se mit à battre la chamade, au même rythme que son sang qui pulsait dans ses veines. La chaleur du bayou les enveloppait, les enivrant du parfum de la nuit et de la vie trépidante qu'elle recélait.

— Tu n'arriveras pas à me séduire pour me faire coopérer, et si tu essaies, la Jeep finira pour sûr au fond du fleuve.

— Il a eu tort de me la prêter, murmura Gator contre la peau douce de son cou.

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