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Rogue leva une main pour l'interrompre puis il pointa une nouvelle fois sa baguette vers la porte de l'escalier dérobé. Il y eut un grand BANG puis un petit cri, suivi du bruit des pas de Queudver qui remontait les marches quatre à quatre.

-Toutes mes excuses, dit Rogue. Ces temps derniers, il s'est mis à écouter aux portes. Je ne suis pas ce qu 'il a derrière la tête... Tu disais donc Narcissa ?

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-Hepzibah Smith est morte deux jours après cette petite scène, dit Dumbledore qui reprit place dans son fauteuil en faisant signe à Harry de l'imiter. Hokey, l'elfe de maison, a été déclaré coupable par le ministère d'avoir empoisonné par inadvertance la tasse de chocolat que sa maîtresse prenait chaque soir.

-C'est sûrement faux! s'insurgea Harry avec colère.

-Je vois que nous avons la même idée sur la question, remarqua Dumbledore. Il y a sans aucun doute beaucoup de points communs entre cette mort et celle des Jedusor. Dans les deux cas, quelqu'un d'autre a été accusé, quelqu'un qui se souvenait clairement d'être l'auteur du crime...

-Hokey a avoué?

-Elle se rappelait avoir mis dans le chocolat de sa maîtresse quelque chose qui en définitive, n'était pas du sucre mais un petit poison mortel et peu connu. On en a conclu qu'elle ne l'avait pas fait exprès mais que, étant vieille, ayant l'esprit un peu confus...

-Voldemort est intervenu dans a mémoire, comme dans celle de Morfin!

-Oui, c'est aussi ce que je pense! dit Dumbledore. Et comme pour Morfin, le ministère était tout disposé à soupçonner Hokey...

-... parce que c'était une elfe de maison, acheva Harry.

Il avait rarement éprouvé autant de sympathie pour la SALE, l'association qu'avait fondée Hermione.

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Pendant un moment, le Premier Ministre les regarda tous les deux d'un air désesperé puis les mots qu'il s'était efforcé de ravaler toute la soirée jaillirent enfin:

- Voyons, pour l'amour du ciel... vous êtes des SORCIERS! Vous pratiquez la MAGIE! Vous êtes sûrement capables d'arranger... TOUT CE QUI SE PASSE!

Scrimgeour tourna lentement sur lui-même et échangea un regard incrédule avec Fudge qui parvint à sourire en répondant d'un ton aimable:

- L'ennui, monsieur le Premier Ministre, c'est que l'autre camp aussi pratique la magie.

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Dumbledore s'interrompit. Bien qu'il eût parlé d'un ton léger et très calme, sans laisser paraître aucun signe manifeste de colère, Harry sentait émaner de lui une certaine froideur et remarqua que les Dursley se serraient un peu plus les uns contre les autres.

-Vous n'avez pas fait ce que je demandais. Jamais vous n'avez traité Harry comme un fils. Avec vous il n'a connu que l'indifférence et même souvent la cruauté. Le mieux qu'on puisse dire, c'est qu'au moins il n'aura pas subi les terribles dommages infligés au malheureux garçon assis entre vous.

La tante Pétunia et l'oncle Vernon tournèrent instinctivement la tête comme s'ils s'attendaient à voir quelqu'un d'autre que Dudley coincé entre eux.

-Nous ... maltraiter Duddy ? Qu'est-ce que vous ..., commença l'oncle Vernon, furieux, mais Dumbledore leva un doigt pour lui imposer le silence, et l'oncle Vernon sembla soudain devenu muet.

-La magie que j'ai mise en oeuvre il y a quinze ans signifie que Harry bénéficie d'une puissante protection tant qu'il peut considérer cette maison comme son foyer. Si malheureux qu'il ait été ici, si rejeté, si malmené, vous lui avez au moins, même si c'est à contrecœur, fourni un hébergement. Cette magie cessera d'opérer lorsque Harry atteindra l'âge de dix-sept ans, en d'autres termes, lorsqu'il deviendra un homme. Je vous demande simplement ceci: que vous lui permettiez de revenir une fois de plus dans cette maison avant son dix-septième anniversaire, ce qui assurera sa protection jusqu'à cette date.

Aucun des Dursley ne prononça un mot. Dudley fronçait légèrement les sourcils comme s'il essayait de se rappeler à quel moment de sa vie il avait été maltraité. L'oncle Vernon avait l'air de s'être coincé quelque chose en travers de la gorge; la tante Pétunia, elle, avait étrangement rougi.

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-Mais quand j'etais chez les dursley, l'interrompit Harry, la voix plus ferme' j'ai compris que je ne pouvais pas me refermer sur moi meme - ni me laisser abattre. Sirius ne l'aurait pas voulu, n'est-ce pas? D'ailleurs, la vie est trop courte... regardez Mrs Bones, regardez Emmeline Vance... La prochaine fois, ce pourrait être moi, non? Mais si c'est le cas, poursuivit-il d'un ton féroce en regardant a présent Dumbledore droit dans ses yeux bleues qui brillaient a la lueur de la baguette magique, je ferai tout pour emmener avec moi autant de Mangemorts que je pourrai et Voldemort aussi, si j'y arrive.

-Tu as parlé a la fois comme le fils de ton père et de ta mère et comme le digne filleul de Sirius! assura Dumbledore en exprimant son approbation par une petite tape sur l'épaule. Je te tire mon chapeau- ou tout au moins, je le ferais si je n'avais pas peur de te couvrir d'araignées.

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"-Tant qu'ils se contentent de flotter paisiblement autour de nous. Il n'y a rien à craindre d'un cadavre, Harry, tout comme il n'y a rien à craindre de l'obscurité. Lord Voldemort qui, bien entendu, craint secrètement l'un et l'autre, ne serait pas d'accord avec cette affirmation. Mais une fois de plus, il révèle son manque de sagesse. C'est l'inconnu qui nous fait peur quand nous contemplons la mort ou l'obscurité, rien d'autre" Dumbledore

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(Rogue et Harry)

" - Vous souvenez-vous que j'avais parlé de sortilèges informulés, Potter ?

- Oui, répondit Harry avec raideur.

- Oui, monsieur.

- Il n'est pas nécessaire de m'appeler "monsieur", professeur."

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- AU MEURTRE ! MEURTRE DANS LES TOILETTES ! AU MEURTRE !

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- Professeur Slughorn, dit Rusard de sa voix sifflante - ses bajoues frémissaient et le plaisir d'avoir surpris un élève en faute animait ses yeux globuleux d'une leur démente -, j'ai trouvé ce garçon qui rôdait dans un couloir. Il prétend avoir été convié à votre soirée et être arrivé en retard. Lui avez-vous envoyez une invitation ?

Malefoy, furieux, se dégagea de la main de Rusard.

- D'accord, je n'ai pas été invité ! dit-il avec colère. J'ai essayé d'entrer en douce, voilà, vous êtes content ?

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- Tu n'as rien à voir avec ça, Leanne ! s'exclama Katie.

Elles suivirent la courbe que décrivait la route à cet endroit. La neige fondue qui tombait dru et de plus en plus fort obscurcissait les lunettes de Harry. Au moment où il leva sa main gantée pour les essuyer, Leanne fit un geste pour prendre l'objet que tenait Katie. Celle-ci résista en tirant dans l'autre sens et le paquet finit par tomber sur le sol.

Aussitôt, Katie s'éleva dans les airs, non pas à la façon de Ron, suspendu par la cheville dans une position burlesque, mais avec grâce, les bras tendus, comme si elle s'apprêtait à s'envoler. Quelque chose, cependant, paraissait bizarre, inquiétant... Ses cheveux tournoyaient autour de sa tête, fouetté par le vent féroce, mais elle avait les yeux fermés et son visage était vide de toute expression. Harry, Ron, Hermione et Leanne s'étaient arrêtés net et la regardaient.

Puis, à deux mètres du sol, Katie poussa un horrible hurlement. Ses yeux s'ouvrirent et ce qu'elle voyait, ou ce qu'elle ressentait, lui causait manifestement une terrible angoisse. Elle hurlait, hurlait sans cesse.

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