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" - Mais quand tu viendras balader ton jolie petit cul sur mon territoire, ma caserne, mon lit...( et de ses lèvres, il lui frôla l'oreille) quand tu t'approcheras dans un rayon d'un kilomètre de mon corps qui bande déjà dur pour toi, mon chou, il faudra poser ton job sur le seuil et me laisser prendre les choses en main."

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— Je suis désolée de t’avoir chassé de ton lit, marmonna-t-elle de dessous l’oreiller.

— Je te rassure, tu ne m’as pas chassé.

Et il plaça une tasse de café sur la table de chevet ; le cliquètement de la soucoupe lui fracassa littéralement les oreilles.

— J’ai mis un peu de sucre. Dis-moi si tu en veux plus.

L’arôme l’envahit agréablement et s’immisça dans ses neurones avides de caféine. S’appuyant sur un coude, elle avala une gorgée, puis ferma les yeux, pendant que le breuvage opérait des merveilles.

— Mm, c’est parfait, merci. Quelle heure est-il ?

— Sept heures passées.

Elle leva brusquement les yeux, tout à coup bien trop consciente qu’elle était dans le lit de Luke Almeida, en train de boire le café qu’il venait de lui préparer, et pas aussi en forme qu’elle aurait dû l’être. Sans compter les souvenirs de la veille, si affreux, qui s’affirmaient de plus en plus dans son cerveau…

Et merde !

— J’ai vomi sur tes chaussures, hier soir, lança-t-elle, dépitée.

— Pas grave. Elles ne m’ont jamais plu.

— Je suis désolée, vraiment désolée.

Mais ce n’était pas tout. Et un regain d’horreur l’ébranla quand elle revit une horrible scène…

— Et tu m’as tenu les cheveux quand je vomissais. À plusieurs reprises.

— Je suis doué en la matière, tu sais, grâce à Alex, et à Gage aussi car il avait les cheveux plus longs avant.

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— En gros, je ne pourrai te pénétrer que vers 8 h 16.

Il la vit déglutir avec difficulté, sans doute surprise par sa franchise.

— Eh bien… c’est très précis.

— Il me faudra quinze minutes pour arriver jusqu’ici, me garer et…

— Et ensuite, vlan ! Paf ! Ce sera le 4 Juillet chez moi ?

Il éclata de rire, ravi de constater que son sens de l’humour était intact, surtout après sa rencontre fortuite avec son ex, sur la plage, et sa déconvenue en découvrant l’état de sa compagne… Il voulait croire que son orgasme l’avait aidée à surmonter l’incident, encore que tous les honneurs ne lui revinssent pas exclusivement. Kinsey était elle aussi très douée.

— Bon, tu préfères visiblement que je vienne te voir un peu plus tard dans la journée.

Elle secoua la tête.

— Non, Luke. Après ce que tu as fait pour moi, tout à l’heure, je tiens à te rendre la pareille, et sans attendre.

Et elle glissa la main sur sa cuisse, au niveau de son short. Un peu plus haut, et il allait lui faire l’amour là, dans la voiture mal garée ! Non, blague à part, il comptait bien prendre son temps, la prochaine fois. Ce serait entre des draps tout propres et il lui arracherait mille gémissements… Et quelques hurlements.

— Le problème des feux, Kinsey, c’est qu’ils ont un effet curieux sur moi. Sur nous tous, d’ailleurs. Aux alentours du jour de l’Indépendance, on est toujours très sollicités. On nous appelle pour des barbecues qui tournent mal, ou des accidents liés à des feux d’artifice artisanaux. Quand j’ai fini mes heures, je suis saturé d’adrénaline, et complètement excité. J’ai besoin d’être rapidement satisfait.

— Es-tu en train de me mettre en garde contre un problème d’éjaculation précoce ?

Il lui décocha son regard le plus réprobateur et, bonne joueuse, elle ne s’en émut pas.

— Non, loin de là, mais tu m’excites tellement que les deux éléments conjugués… Bref, je peux toujours prendre une douche et vaquer à mes affaires avant de venir te voir. De cette façon, tu auras droit aux préliminaires, sans quoi je te baiserai aussi vite que possible, et je m’endormirai sans doute sur toi.

— Waouh, Almeida, tu sais plaider ta cause !

Putain, il avait l’air d’un con qui ne savait pas maîtriser ses pulsions, mais il préférait la prévenir : dès qu’il poserait le regard sur elle, superbement alanguie et encore endormie, comme quand elle s’était retrouvée dans son lit après sa cuite corsée, il n’aurait qu’une envie : s’enfouir en elle. Il n’aurait même pas le temps d’atteindre la chambre, il la prendrait contre le mur ! Or, il avait envie de se montrer à elle dans toute la splendeur et le contrôle de sa virilité. Elle se pencha en avant, et passa la langue sur ses lèvres. OK, ce n’était pas ainsi qu’elle allait l’aider.

— Donc, si je te suis bien, tu prends une douche à la caserne, puis tu fonces chez moi pour mettre le feu à mes draps ?

— Oh, quel romantisme !

Il sentit alors son souffle doux sur ses lèvres.

— Demain matin, quand l’horloge sonnera 8 heures, tu fileras directement chez moi, murmura-t-elle. Ne te douche pas, ne fais rien, la seule chose que tu te feras, c’est moi. Je veux être la première à te soulager. Et tu as intérêt à être à la hauteur de la situation.

Il aurait soudain souhaité avoir un short plus lâche.

— Tu me tues à petit feu, trésor. Je ne suis pas certain de tenir.

— Et moi je suis certaine que si. Parce que tu as beau donner l’image d’un type qui ne domine pas ses pulsions, je suis persuadée du contraire. Je crois que tu veux tout contrôler : ta famille, ton job, ta vie sexuelle. Et même si je sais que tu n’aimes pas perdre, ce sera la première fois où ça te plaira d’arriver deuxième : tu t’occuperas d’abord de moi, et ensuite, je prendrai soin de toi.

Que dire ? Elle lui avait cloué le bec !

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Sans leur prêter attention, il se servit du café, puis sortit son téléphone. Il sourcilla en voyant que c’était Alex qui l’appelait. Oui, Alex qui était assise à la même table que lui.

- Quoi ?

- Je voulais juste vérifier que ton téléphone fonctionnait, dit-elle, car Kinsey m’a dit que tu ne répondais pas à ses appels.

À la mention de ce prénom, il releva brusquement la tête, et s’efforça bien vite de mettre le masque de la neutralité en tournant la cuillère dans son café.

- Qu’est-ce que tu vas faire ? demanda Gage.

Aujourd’hui, son tee-shirt clamait : « Je suis un pompier. Pour gagner du temps, partons du principe que je ne me trompe jamais. »

- Au sujet de quoi ?

Gage lui lança un regard tranchant et décréta :

- Je l’aimais beaucoup.

- Ce ne sont pas les amis qui te manquent !

- Tu l’aimes beaucoup, renchérit Alex.

- C’est juste une liaison, sœurette. Rien de plus.

Et il avala une gorgée de café pour faire passer ce mensonge criant, et ne pas hurler.

- Arrête tes conneries !

Luke braqua cette fois les yeux vers Wyatt.

- Mes « conneries » ?

- C’est la femme idéale pour toi. Arrête de te complaire dans ta situation, ça nous fera des vacances.

- Me « complaire dans »…

Il balaya la petite assemblée du regard, et se heurta à des haussements d’épaules.

- Parce que ça vous arrangeait bien, bande de crapules, que je ne sois plus là pour vous surveiller, hein ? Et vous pensez vraiment que je me complais dans cette situation ?

Alex se mordit la lèvre.

- C’est bien le problème, non ? Tu es toujours en train de penser à nous, de t’inquiéter pour nous. Mais tu ne peux pas toujours veiller à tout.

- Il faut bien que quelqu’un assume ce rôle !

Il se retourna et reposa la tasse de café, en renversant sur le comptoir. Qui s’occuperait d’eux, s’il n’était pas là ? Wyatt ? Il en était bien incapable.

—- Il y a une boîte de clous, sous l’évier, dit Wyatt. Je pense qu’on pourrait te crucifier avec, ils seraient assez solides.

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- Donc, Chicago, c'est la plus belle ville du monde ? demanda-t-elle.

- Depuis que tu y habites, oui.

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Kinsey...

La femme tout feu tout flamme la plus sexy de l'univers, pensa Luke.

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— D’après mon expérience, dit-elle en haussant un sourcil, cinquante pour cent des hommes acceptent de montrer leur torse pour résoudre un problème.

— Et pour la moitié restante ?

— Pour eux, c’est la totale qui marche.

Le maire éclata de rire.

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Mais jamais je ne me suis sentie aussi vivante, après toutes les années à vivre en noir et en blanc, à me noyer dans le travail, pour compenser l'absence de feu et d'amour dans son existence.

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- Il n’en vaut pas la peine, ajoute-t-elle.

- C’était la troisième fois qu’elle intervenait pour le calmer : la première, c’avait été à la caserne, après le départ de Lisa, et la deuxième, ce matin, quand elle avait recouvert son poing de sa main apaisante dans la cuisine. Et chaque fois le geste était tendre qu’il absorbait son énergie négative. Il lança un regard haineux au docteur accompagne d’un dernier : “Va te faire foutre”, puis roula des épaules et recula.

Ce fut alors que Kinsey se retourna et que son poing atterrit sur la mâchoire de cet enfoire de David !

Quel tas fumant et délétère de mensonges et de tromperies !

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Puis il l'embrassa avec une force qui se réverbéra jusqu'aux profondeurs de son âme, un baiser si transcendant que son cerveau se mit à tourbillonner face à toutes les possibilités qui s'offraient à lui. Dans des galaxies lointaines, c'était avec ce genre de baiser qu'on créait des mondes. Dans celle-ci, une nouvelle vie commençait.

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