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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:17:29+02:00

Certes le mot ennui est bien faible pour exprimer ces détresses intolérables à quoi je fus sujet de tout temps ; elles s'emparent de nous tout à coup ; la qualité de l’heure les déclare ; l’instant auparavant tout vous riait et l’on riait à toute chose; tout à coup une vapeur fuligineuse s'essore du fond de l'âme et s’interpose entre le désir et la vie ; elle forme un écran livide, nous sépare du reste du monde dont la chaleur, l’amour, l'harmonie ne nous parviennent plus que réfractés en une transposition abstraite : on constate, on n’est plus ému ; et l’effort désespéré pour crever l'écran isolateur de l’âme nous mènerait à tous les crimes, au meurtre ou au suicide, à la folie…

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Extrait ajouté par Fyerise 2015-02-21T14:18:51+01:00

(...) rien ne rend plus impénétrable un visage que le masque de la bonté.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:17:14+02:00

Le cheval peinait aux montées, trébuchait aux descentes et tricotait affreusement en terrain plat ; parfois, tout inopinément, il stoppait.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:17:03+02:00

Les pensées sont comme les fleurs, celles qu'on cueille le matin se conservent le plus longtemps fraîches.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:16:53+02:00

Les pensées sont comme les fleurs celles qu'on cueille le matin se conservent le plus longtemps fraîches.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:16:41+02:00

Un mur de pluie me séparait du reste du monde, loin de toute passion, loin de la vie, m'enfermait dans un cauchemar gris, parmi d'étranges êtres à peine humains, à sang froid, décolorés et dont le cœur depuis longtemps ne battait plus.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:16:29+02:00

J'ai presque peine à comprendre aujourd'hui l'impatience qui m'élançait alors vers la vie. A vingt-cing ans je n'en connaissais rien à peu près, que par les livres ; et c'est pourquoi sans doute je me croyais romancier ; car j'ignorais encore avec quelle malignité les événements dérobent à nos yeux le côté par où ils nous intéresseraient davantage, et combien peu de prise ils offrent à qui ne sait pas les forcer.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:16:18+02:00

Gérard Lacase, chez qui nous nous retrouvâmes au mois d’août 189., nous mena, Francis Jammes et moi, visiter le château de la Quartfourche dont il ne restera bientôt plus que des ruines, et son grand parc délaissé où l’été fastueux s’éployait à l’aventure. Rien plus n’en défendait l’entrée : le fossé à demi comblé, la haie crevée, ni la grille descellée qui céda de travers à notre premier coup d’épaule. Plus d’allées ; sur les pelouses débordées quelques vaches pâturaient librement l’herbe surabondante et folle : d’autres cherchaient le frais au creux des massifs éventrés ; à peine distinguait-on de ci de là, parmi la profusion sauvage, quelque fleur ou quelque feuillage insolite, patient reste des anciennes cultures, presque étouffé déjà par les espèces plus communes. Nous suivions Gérard sans parler, oppressés par la beauté du lieu, de la saison, de l’heure, et parce que nous sentions aussi tout ce que cette excessive opulence pouvait cacher d’abandon et de deuil.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:16:06+02:00

Elle coupait ce récit d’interjections, il est vrai, récriminant contre le destin, et elle déplorait que dans ce monde la poésie et le sentiment eussent toujours tort ; mais je m’attristais de ne distinguer point dans la mélodie de sa voix les chaudes harmoniques du cœur. Pas un mot de regret que pour elle ! Quoi ! pensais-je, est-ce là comme elle savait aimer ?...

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-11T19:15:53+02:00

(…) la connaissance superficielle des évènements ne concorde pas toujours, pas souvent même, avec la connaissance profonde que nous en pouvons prendre ensuite, et l’enseignement que l’on peut en tirer n’est pas le même ; (…) il est bon d’examiner avant de conclure…

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