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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-10-24T01:09:03+02:00

je m’apprête à accompagner mon fiancé bidon à un match de rugby amateur organisé par la Fondation Blackwood. J’ai eu envie de dire non, juste pour l’emmerder, mais je me suis souvenue que tout ça était dédié à une bonne cause.

Et qu’avec un peu de chance, j’allais pouvoir picoler…

Derrière ma porte, ça grogne et ça s’impatiente :

– Pippa, avant demain, ce serait bien…

– J’arrive hier, soupiré-je en le rejoignant.

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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-10-24T00:37:36+02:00

– Détends-toi un peu, me souffle Alistair entre deux groupes d’invités, tes ongles sont plantés dans mon biceps.

– Et mes orteils écrabouillés dans trois centimètres d’escarpins. Mes pauvres pieds perchés sur douze centimètres de talon pour ne pas avoir l’air d’une naine à côté de toi. Et mes hanches comprimées dans une culotte gainante enfilée juste pour tes beaux yeux. Parce qu’il n’y a que mon cul que la presse people commentera demain matin, alors qu’on fera l’éloge de ta carrière, de ta famille, de ton manoir et ton audace d’épouser une fille comme moi. Tu as encore envie de te plaindre, Blackwood ?

Soufflé, il me regarde dans les yeux pour la première fois de l’après-midi et sourit.

– Qu’est-ce qui t’arrive, Jones ? Tu as le trac ?

– Je suis seule au monde. Je n’ai pas encore bu une goutte de champagne. J’ai tellement peur de dire une connerie que je passe pour une potiche muette et écervelée. Et toi tu n’as toujours pas prononcé un mot sur ma robe abricot, alors que j’ai passé trois heures à la choisir avec Ottie et Judith, les deux seules amies que j’ai ici et qui ont, pour rappel, entre 50 et 65 ans.

Il rit franchement, cette fois, et ce petit son sexy me fait toujours le même effet.

– OK, viens !

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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-10-23T23:24:27+02:00

Mais qui est en train de me peloter les fesses ?

Je me retourne en m’apprêtant à gueuler contre les manières rustres des bouseux et me retrouve nez à nez avec une vache. Ou plutôt son gros museau, rose et humide, qui tente de trouver de quoi manger sous mon short.

Un cri strident plus tard, je tente de m’échapper en courant mais mon genou m’arrête et la bête me colle à nouveau puis se tourne de profil pour me barrer la route. Je me fige et appelle ma mère, mon réflexe numéro un, même à 24 ans passés.

– Mommy… ? chuchoté-je dans le téléphone.

– Pourquoi tu parles tout bas ? Tu as été kidnappée comme dans ta série ? Tu es séquestrée quelque part ?

– Oui…

– Pippa, raccroche tout de suite et appelle la police, pas moi ! s’excite ma mère qui hyperventile déjà.

– Non, attends… Mon ravisseur est une vache marron d’environ deux tonnes qui me regarde de travers et refuse de me laisser passer.

– Qu’est-ce que ça fait qu’elle soit marron… ? Prince-Harry, descends de mon canapé !

– Mommy, concentre-toi ! Qu’est-ce qu’on fait, dans ces cas-là ?

– Alors là, ma fille, je n’en ai aucune idée… Meugle, pour voir !

– Cherche sur Internet !

– L’ordinateur est cassé, Pip’s. Je voulais justement te demander comment on fait quand la souris ne bouge plus.

– Mommy, je crois qu’elle va charger… couiné-je en serrant les fesses.

– Parle-lui !

– Tout doux, là… Gentille… Pas bouger… Voilà, bon chien !

Je tente tout ce qui me vient tandis que Paula se lance dans un laïus sur mes choix de vie discutables. J’active le haut-parleur pour ne plus avoir à tenir ce maudit portable brûlant contre ma tempe trempée de sueur.

– Quand même, tu te mets toujours dans des situations improbables… Ton vicomte n’a pas un berger à temps plein pour te sortir de là ? Même à Piper, il arrive moins de galères qu’à toi ! Tu sais que ça va mal entre Penny et son mari ? Et Poppy ne sait toujours pas ce qu’elle va faire de sa vie… Je me fais beaucoup de souci pour vous, mes petits pois. J’ai pourtant essayé de vous élever…

– Mommy, je crois que ta voix énerve la vache !

– Bon, bon, je me tais puisque je ne sers à rien.

– Je vais y aller, OK ?

– Rappelle-moi pour me dire que tout va bien !

– Promis…

– Ils annoncent de la pluie dans l’après-midi, trouve-toi un K-way.

– OK, Mommy… soupiré-je sans quitter la bête des yeux.

Je raccroche, m’excuse auprès de la vache qui commence à émettre des grognements. Des litres de bave glissent de ses grosses lèvres roses.

Dites, les vaches peuvent avoir la rage ?

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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-10-23T22:18:08+02:00

– Je vais vous porter, murmure Alistair en se rapprochant de moi.

– Et puis quoi encore ?! rétorqué-je en lui échappant à cloche-pied.

– Vous ne ferez pas cinq mètres dans cet état…

L’arrogant me dévisage d’un air grave et sans sarcasme, pour une fois, puis me fait signe de ne plus bouger.

– Appelez-moi une ambulance et partez, soufflé-je en maudissant mon genou.

– Sur cette petite route de campagne, personne ne vous trouvera…

– Alors je me ferai bouffer par les chacals et on n’en parlera plus !

– Si je suis le Prince des cons, vous êtes la Reine des chieuses ! grogne-t-il soudain en me soulevant du sol.

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Extrait ajouté par FiftyShadesOfLilly 2018-09-21T21:59:47+02:00

– Tu es douce et nourrissante… Calme et vallonnée…

– Je vous demande pardon ? commencé-je à râler.

– Tu es… Prairie ! s’exclame le gourou, comme une évidence.

Et l’arrogant assis sur son coussin lâche un de ses petits rires graves et sexy qui me donnent des envies de meurtre.

– Comment ça, je suis Prairie ?! m’indigné-je pour de bon. Lui, il a droit à un Atlas tout entier, et je ne suis qu’une foutue étendue d’herbe où les sœurs Ingalls se cassent la figure, générique après générique ?! Sérieusement, vous n’avez rien de mieux à me proposer ?

– Ça va aller, mon petit pâturage, vous allez vous y faire… ronronne Alistair derrière moi.

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Extrait ajouté par loona10 2018-09-21T09:26:15+02:00

– Finding Yourself, c’est par ici ! me crie un type en cotte de travail, abrité sous un préau de tôle.

L’un de ses bras m’indique une direction. L’autre est enfoncé jusqu’à l’épaule entre les fesses d’une vache. Et quand je dis les fesses, ce n’est pas exactement ce que je veux dire. Je note mentalement d’annuler mon prochain rendez-vous chez le gynéco et je choisis mon camp : la direction indiquée par le bras visible.

– Merci !

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Extrait ajouté par ge39 2018-09-13T21:20:27+02:00

A mes côtés, je sens Costard se tendre, coller son poing serré contre ses lèvres...Je le crois d'abord mal à l'aise mais réalise vite qu'il n'est pas loin d'éclater de rire.Je le fusille du regard, il me le rend bien puis se concentre sur le témoignage suivant, celui d'une blonde à couettes, qui serre le bâton comme un doudou contre sa silhouette ronde.

- Il paraît que je refuse de grandir, se confie t-elle.

- Pourquoi cela ? lui demande le gourou d'une voix doucereuse. IL faut aller plus loin, Naomi.....

- Mon âme s'est brisée quand j'avais 9 ans.

Je retiens mon souffle, touchée par la sincérité de la jeune femme.

- Que s'est-il passé, Naomi ? l'encourage la voix suave de Rain qui vient poser sa main sur sa joue rebondie.

La blonde prend sur elle, inspire profondément, ferme douloureusement les yeux, puis avoue enfin :

- Les Spice Girls se sont séparées.

Cette fois, Costard se marre pour de bon, tandis que je cherche en moi la force de ne pas tout plaquer et me barrer sur le champ en laissant cette bande de fous derrière moi.

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Extrait ajouté par Bibounine 2018-08-28T13:47:10+02:00

- Ils vont forcément voir que je te déteste Blackwood, sifflé-je.

- Bien sur que non, tu es folle de moi, Jones !

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Extrait ajouté par labibliothequedemarie 2020-10-14T17:26:16+02:00

« Sa main chaude se pose sur ma nuque, son regard sur ma bouche, son sourire sur mon coeur. Et je fonds. Littéralement. »

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Extrait ajouté par SherCam 2018-11-01T18:56:33+01:00

– Tu m’as manqué, Prairie.

Je bous mais je me retiens d’exploser. Je l’observe alors qu’il retire la veste de son costume et va chercher deux bières au frigo.

– Où est passée la tribu Jones ? demande-t-il soudain.

– Rentrée au bercail, lâché-je.

– Depuis quand ?

– Une semaine.

Alistair se tourne brusquement vers moi et me dévisage intensément.

– Tu es restée seule tout ce temps ? murmure sa voix profonde.

– J’ai survécu.

– Tu étais censée me donner des nouvelles, insiste-t-il.

– Parce que tu l’as fait, toi ?

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