Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 031
Membres
1 014 765

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Regent Street et New Bond Street

étaient certainement des lieux bien connus de Walter Sickert. En 1881, il accompagna Ellen Terry dans les boutiques de Regent Street à la recherche de robes pour son rôle d’Ophélie au Lyceum. Et au 184 New Bond Street se trouvait la Fine Art Society, où les tableaux de James McNeill Whistler étaient exposés et vendus. Dans sa lettre de juillet 1889, l’Éventreur utilise le mot diggings

(piaule), un mot d’argot américain pour désigner une maison ou une demeure, et

également un bureau. Parmi les endroits que fréquentait Sickert pour son métier devait figurer la Fine Art Society, qui se trouvait « aux alentours »

de Conduit Street.

Afficher en entier

Qu'il pleuve ou qu'il vente, les "malheureuses" hantaient la nuit comme des animaux nocturnes, dans l'attente d'un homme, aussi brutal ou répugnant soit-il, qui pourrait se laisser convaincre de dépenser quelques pennies pour s'offrir du plaisir. De préférence, la chose se passait debout : la prostituée relevait toutes ses couches de vêtements en tournant le dos au client. Quand elle avait de la chance, celui-ci était trop ivre pour s'apercevoir que son pénis était glissé entre les cuisses et non pas dans un quelconque orifice.

Afficher en entier

LA MÉDECINE DES TRIBUNAUX

 

Le Dr Llewellyn indiqua au cours de l’enquête sur le meurtre de Mary Ann Nichols que la victime présentait une légère lacération de la langue et un hématome à la mâchoire inférieure, du côté droit, provoqué par un coup de poing ou « la pression d’un pouce ». Elle avait également, du côté gauche du visage, un hématome circulaire qui pouvait être dû, lui aussi, à la pression d’un doigt.

Afficher en entier

Qu'il pleuve ou qu'il vente, les "malheureuses" hantaient la nuit comme des animaux nocturnes, dans l'attente d'un homme, aussi brutal ou répugnant soit-il, qui pourrait se laisser convaincre de dépenser quelques pennies pour s'offrir du plaisir. De préférence, la chose se passait debout : la prostituée relevait toutes ses couches de vêtements en tournant le dos au client. Quand elle avait de la chance, celui-ci était trop ivre pour s'apercevoir que son pénis était glissé entre les cuisses et non pas dans un quelconque orifice.

Afficher en entier

Comme le dit le profiler du FBI, Ed Sulzbach : « Il n’existe pas beaucoup de coïncidences dans la vie. Et dire qu’une succession de coïncidences est une coïncidence, c’est de la bêtise, purement et simplement. » Quinze mois après ma première rencontre avec John Grieve de Scotland Yard, je suis retournée le voir pour lui présenter mon dossier

Afficher en entier

Les fioritures d’écriture et la position de la main de l’Éventreur quand il écrivait ses lettres provocantes et violentes se cachent dans d’autres écrits déguisés de l’Éventreur. On retrouve les mêmes fioritures et positions de main dans l’écriture irrégulière de Sickert

Afficher en entier

Ce n’est qu’un début. Nous n’en avons pas encore fini avec nos tests d’ADN et d’autres types d’analyses médico-légales. Celles-ci pourraient durer encore des années, à mesure que la technologie progresse sur un rythme exponentiel

Afficher en entier

Le lendemain matin, je fis la connaissance du Deputy Assistant Commissioner John Grieve, un des enquêteurs les plus respectés en Grande-Bretagne, et aussi, découvris-je, un spécialiste des crimes de Jack l’Éventreur. Le légendaire tueur victorien m’intéressait très peu. Je n’avais jamais lu un seul livre sur l’Éventreur. Je ne connaissais rien de ses meurtres. J’ignorais que ses victimes étaient des prostituées et de quelle manière elles mouraient. Je posai quelques questions. Peut-être pourrais-je me servir de Scotland Yard dans mon prochain roman avec Scarpetta, pensais-je. Dans ce cas, j’aurais besoin de connaître quelques éléments factuels concernant les meurtres de l’Éventreur, et peut-être que Scarpetta aurait de nouvelles hypothèses à proposer

Afficher en entier

Ma profonde curiosité à l’égard de la violence s’est durcie il y a longtemps pour se transformer en une armure clinique qui me protège, mais qui est si lourde que j’ai parfois du mal à marcher après avoir rendu visite aux morts. J’ai l’impression qu’ils veulent mon énergie et qu’ils essaient désespérément de se l’approprier, alors qu’ils gisent dans leur sang sur la chaussée ou sur une table en acier inoxydable. Les morts restent morts, et moi, je me retrouve vidée. Le meurtre n’est pas un mystère, et c’est ma mission que de le combattre avec mon stylo

Afficher en entier

J’ai travaillé dans le Service du médecin légiste chef de Richmond, en Virginie, pendant six ans ; j’ai programmé des ordinateurs, compilé des statistiques et donné un coup de main à la morgue. J’ai transcrit les remarques des pathologistes, j’ai pesé des organes, dessiné des trajectoires de balles et noté des tailles de blessures, j’ai inventorié des listes de médicaments avalés par des personnes suicidées qui ne voulaient pas prendre leurs antidépresseurs, j’ai aidé à déshabiller des personnes atteintes de raideur cadavérique qui refusaient avec force qu’on leur ôte leurs vêtements, j’ai étiqueté des éprouvettes, essuyé du sang, vu, touché, senti et même goûté la mort, car sa puanteur reste accrochée au fond de votre gorge

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode