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D'autres personnes allaient aussi sur la piste. Des touristes, qui se promenaient dans le parc avec leurs appareils photo et leurs caméras, et des écoliers avec leur maître ou leur maîtresse, en chemin pour le musée d'Histoire naturelle. Il y avait même des cavaliers, en jodhpurs et bombes.

Oui, c'était en fait assez agréable.

La course mise à part, bien sûr.

Bref, alors que j'avançais péniblement, une voix a lancé tout à coup non loin de moi :

— Hé!

Pensant qu'il s'agissait encore une fois de quelqu'un qui voulait que je le laisse passer, je me suis retournée...

... et j'ai trébuché sur une pierre.

— Hé ! a répété le coureur en ralentissant à ma hauteur. Ça va, cousine Jade de l'Iowa ?

Par chance, je n'étais pas tombée, et je ne m'étais pas fait mal non plus. Pour une fois. J'ai repris mon équilibre et j'ai répondu, tout en priant pour que Zach - puisqu'il s'agissait de lui - ne devine pas mon trouble.

— Salut, Zach.

Il m'a souri.

Il portait la même tenue que moi sauf que sur lui, le short ne paraissait pas trop court. Non, il était pile à la bonne taille.

Mieux. Il lui allait parfaitement.

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Extrait ajouté par jiNine 2014-08-19T17:30:56+02:00

-Si j'étais toi, je ne me vanterais pas trop des pouvoirs que tu crois avoir hérités de notre arrière-arrière-arrière grand-mère, Tory, ai-je dit.

-Et pourquoi?

-Grand mère ne t'a-t-elle pas raconté comment elle était morte?

Tory a secoué la tête, l'air perplexe.

-Elle a été condamnée au bûcher. Pour avoir pratiqué la sorcellerie.

Et sur ces dernières paroles, j'ai refermé la porte derrière moi.

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Mais il y avait quelque chose chez Tory - du moins la nouvelle Tory - qui a fait que mon coeur s'est brusquement emballé. Était-ce bien Tory ? Ma cousine Tory avec qui, lors de sa dernière visite à Hancock, je m'étais baignée dans la rivière et amusée à grimper aux arbres ?

Ce n'est pas possible. Cette Tory-là était blonde et rondelette et avait un sourire espiègle et un sacré sens de l'humour. Tandis que celle qui se tenait devant moi donnait l'impression de ne pas avoir souri depuis une éternité.

Attention, je ne dis pas qu'elle n'était pas jolie. Elle l'était, mais à la manière des filles de la ville, chic et sophistiquée. Elle avait perdu ses rondeurs de bébé pour une silhouette d'une excessive minceur. Ses longs cheveux blonds aussi avaient disparu. Tory affichait à présent une coupe à la garçonne sur des cheveux d'un noir d'encre.

En fait, elle ressemblait à un mannequin - mais pas à l'un de ces top-modèles souriants et pleins de vie comme Cindy Crawford. Non, avec sa moue désabusée, Tory faisait plus penser à... à Kate Moss, après son arrestation pour addiction à la cocaïne.

— Tory, que t'est-il arrivé ? avais-je envie de lui demander.

Tory devait sans douter penser la même chose à mon sujet, car elle a soudain éclaté de rire - mais d'un rire dénué de tout humour - et a dit :

— La Poisse ! Tu n'as pas changé d'un iota. Tu as toujours l'air d'une fille de la campagne ! Une vraie péquenaude !

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Extrait ajouté par lily7 2010-12-22T19:35:08+01:00

-Pourquoi, puisque c'est vrai? a insisté Petra.Quand je suis arrivée et que je ne connaissait personne d'autres que Mr. et Mrs. gardiner et les enfants,Zach m'emmenait partout.Au Guggenheim, au Met, dans des clubs de jazz.Même au zoo.

Zach a paru encore plus gêné.

-J'aime bien les phoques, m'a-t-il confié comme s'il s'excusait d'avoir emmené Petra dans un lieu aussi incongru q'un zoo.

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La clochette au-dessus de la porte a tinté quand je suis entrée.

- Que les divinités vous protègent, a dit la dame derrière le comptoir en levant les yeux du livre qu'elle lisait. Puis, me reconnaissant, elle a ajouté, avec bienveillance:

- Oh, c'est vous! Comment allez-vous, ma sœur?

Je me suis rapprochée d'un pas hésitant. J'étais venue seule, cette fois, même si l'expérience du métro new-yorkais avait été assez effrayante.

Mais je l'avais fait et, à présent, je me sentais ridicule dans cette boutique de la 9ème rue. La magie ne pourrait rien pour moi. Cette femme non plus. Personne ne pourrait m'aider.

La femme a posé son livre. J'ai jeté un coup d'œil à la couverture. Il ne s'agissait pas, comme je le pensais, d'un ouvrage sur la sorcellerie, mais d'un vieux roman de science-fiction.

- Que se passe-t-il? a demandé la femme d'une voix chaleureuse.

J'ai parcouru la boutique du regard. A part le chat, qui dormait sur une pile de livres, il n'y avait personne. J'ai eu du mal à avaler ma salive. Et je me suis lancée. Après tout, pourquoi pas?

- Quelqu'un que je connais m'a jeté un sort, ai-je dit tout de go. Tout ce que je sais, c'est qu'elle a utilisé, entre autres, un champignon qui pousse sur les pierres tombales, qu'elle a ramassé à minuit, quand la lune croît. Je me demandais si vous sauriez par hasard quel genre de sortilège c'est.

La femme, qui semblait avoir une trentaine d'années, a froncé les sourcils d'un air songeur. J'avais peur qu'elle me fasse tout un discours selon lequel la pratique de la sorcellerie était une question de pouvoir, et que les sortilèges n'étaient qu'une manière de concentrer son énergie dans le but de régler un problème en particulier. A la place, elle a dit:

- Une lune qui croît est, comme son nom l'indique, signe de croissance, et lorsqu'on jette un sort durant cette période, c'est que quelque chose est en train de se développer. C'est une bonne période pour les nouveaux départs.

- Vous voulez dire qu'il s'agit peut-être d'un bon sortilège? Les nouveaux départs, c'est toujours positif, non?

- Pas toujours, a répondu la femme. Est-ce que cette personne est en colère?

J'ai de nouveau eu du mal à avaler ma salive. "Je lui réserve une petit surprise dont elle se souviendra."

- Oui.

Elle a hoché la tête et a poursuivi:

- C'est un problème, dans ce cas. Mais que vous pouvez tout à fait gérer.

- Moi? Ca m'étonnerait.

La femme a eu l'air amusé.

- Rien qu'en vous regardant, je devine que vous une sorcière très... puissante.

- Non, non, me suis-je empressée de répondre en secouant la tête si vivement que les boucles ont frôlé mes joues. Le pouvoir que j'ai est... mauvais. Dès que je touche quelque chose, dès que j'arrive quelque part, ca se passe mal. C'est pour ca d'ailleurs qu'on m'a surnommée La Poisse. Parce que je porte la Poisse.

La femme a souri tout en agitant la tête de gauche à droite.

- Je ne crois pas, a-t-elle dit. En revanche, j'ai le sentiment que... pardonnez-moi d'être aussi directe. Que vous avez peur de votre pouvoir.

J'ai écarquillé les yeux. Comment savait-elle... Bien sûr, c'était une sorcière!

- J'ai lancé un sort il y a quelques temps, ai-je expliqué. C'était le premier et c'est le seul d'ailleurs, excepté des contre-envoûtements. Mais ce sort que j'ai jeté, ce premier sort... a provoqué de gros dégâts.

- Maintenant, je comprends. Vous avez peur de ce pouvoir que vous avez découvert en vous. Et c'est peut-être cette peur qui vous porte la poisse, comme vous dites. Vous la retournez contre vous à travers votre peur.

Quoi? Je ne devais ma malchance qu'à moi-même? C'était impossible. Et pourquoi je ferais ca?

- Cela n'a pas dû être évident pour vous, a continué la femme. Et vous avez raison d'être prudente. Un pouvoir tel que le vôtre représente énormément de responsabilités. Vous ne devez jamais l'utiliser à la légère. Et ne jamais, comme je suis sûre que vous l'avez compris, y avoir recours pour manipuler la volonté des autres. Car il peut mal tourner, très mal. Mais vous le savez n'est-ce pas? Cela dit, ca ne signifie pas que vous devez en avoir peur. Etre prudente, oui, mais en avoir peur, non. Car votre pouvoir est un don, il fait partie de vous. Et c'est une partie de vous qui est positive et non négative. En le niant, vous niez cette partie-là de vous-même.

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Extrait ajouté par Nelu26 2015-05-06T13:05:06+02:00

Jade à Tory

- Si tu continues comme ça, ce n'est pas à toi qu'il va penser, mais à de l'aspirine, n'ai-je pas pu m'empêcher de faire observer tandis que Tory tournait l'aiguille dans la tête de la poupée.

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Extrait ajouté par came1 2014-05-02T15:20:41+02:00

Oui, toi !! s' est exclamé Zach. Jade, comment as-tu pu ne pas le remarquer ? Tory elle-même s' en est rendu compte ! Pourquoint'en aurait-elle voulut à ce point ? Pendant tous ce temps, tu lui as dit, tu m'as dit, tu as dit à toutes les personnes que tu rencontrais, que toi & moi, on était seulement des amis alors qu'être seulement ton amin était la dernière chose que je souhaitais. Et Tory l'avais compris, et elle avait vu ce que tout le monde avait vu .... sauf toi apparement. A savoir que j étais etvque je suis fou amoureux de TOI .... Tu ne me crois toujours pas a-t-il ajouté !

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Extrait ajouté par louve7 2013-12-28T18:30:17+01:00

Je n'ai vraiment pas de chance. Et je n'en ai jamais eu. Mais que voulez-vous? c'est comme ça, et ç'a toujours été comme ça depuis que je suis née.

Du coup, je n'ai pas été très surprise lorsque le chauffeur de taxi ne m'a pas aidée à porter mes valises. De toute façon, pourquoi cela m'aurait-il étonnée? Personne ne m'attendait à l'aéroport, et quand j'ai téléphoné, personne n'a décroché. Est-ce que ma tante et mon oncle m'avait oubliée? Est-ce qu'ils avaient changé d'avis et ne voulais plus de moi? Pire, est-ce qu'ils avaient entendu parler de ma légendaire poisse-qui m'aurait devancé depuis l'Iowa-et préféré ne pas y être confronté?

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D'autres personnes allaient aussi sur la piste. Des touristes, qui se promenaient dans le parc avec leurs appareils photo et leurs caméras, et des écoliers avec leur maître ou leur maîtresse, en chemin pour le musée d'Histoire naturelle. Il y avait même des cavaliers, en jodhpurs et bombes.

Oui, c'était en fait assez agréable.

La course mise à part, bien sûr.

Bref, alors que j'avançais péniblement, une voix a lancé tout à coup non loin de moi :

— Hé!

Pensant qu'il s'agissait encore une fois de quelqu'un qui voulait que je le laisse passer, je me suis retournée...

... et j'ai trébuché sur une pierre.

— Hé ! a répété le coureur en ralentissant à ma hauteur. Ça va, cousine Jade de l'Iowa ?

Par chance, je n'étais pas tombée, et je ne m'étais pas fait mal non plus. Pour une fois. J'ai repris mon équilibre et j'ai répondu, tout en priant pour que Zach - puisqu'il s'agissait de lui - ne devine pas mon trouble.

— Salut, Zach.

Il m'a souri.

Il portait la même tenue que moi sauf que sur lui, le short ne paraissait pas trop court. Non, il était pile à la bonne taille.

Mieux. Il lui allait parfaitement.

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D'autres personnes allaient aussi sur la piste. Des touristes, qui se promenaient dans le parc avec leurs appareils photo et leurs caméras, et des écoliers avec leur maître ou leur maîtresse, en chemin pour le musée d'Histoire naturelle. Il y avait même des cavaliers, en jodhpurs et bombes.

Oui, c'était en fait assez agréable.

La course mise à part, bien sûr.

Bref, alors que j'avançais péniblement, une voix a lancé tout à coup non loin de moi :

— Hé!

Pensant qu'il s'agissait encore une fois de quelqu'un qui voulait que je le laisse passer, je me suis retournée...

... et j'ai trébuché sur une pierre.

— Hé ! a répété le coureur en ralentissant à ma hauteur. Ça va, cousine Jade de l'Iowa ?

Par chance, je n'étais pas tombée, et je ne m'étais pas fait mal non plus. Pour une fois. J'ai repris mon équilibre et j'ai répondu, tout en priant pour que Zach - puisqu'il s'agissait de lui - ne devine pas mon trouble.

— Salut, Zach.

Il m'a souri.

Il portait la même tenue que moi sauf que sur lui, le short ne paraissait pas trop court. Non, il était pile à la bonne taille.

Mieux. Il lui allait parfaitement.

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