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Liste des extraits

— Je me souviens que t’avais dix ans, que tu mesurais 1 mètre 29, que tu pesais 26 kilos et que t’avais eu les oreillons l’année d’avant, je m’en souviens de la visite médicale. Je me souviens que t’habitais à Choisy-le-Roi et à l’époque ça m’aurait coûté 42 francs de venir te voir en train. Je me souviens que ta mère s’appelait Catherine et ton père Jacques. Je me souviens que t’avais une tortue d’eau qui s’appelait Candy et ta meilleur copine avait un cochon d’Inde qui s’appelait Anthony. Je me souviens que tu avais un maillot de bain vert avec des étoiles blanches et ta mère t’avait même fait un peignoir avec ton nom brodé dessus. Je me souviens que tu avais pleuré un matin parce qu’il n’y avait pas de lettres pour toi. Je me souviens que tu t’étais collé des paillettes sur les joues le soir de la boum et qu’avec Rebecca, vous aviez fait un spectacle sur la musique de Grease…

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Je préfère que ce soit mes mains qui réfléchissent. C'est plus simple.

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« Myriam est un vrai cœur d’artichaut, tous les six mois, depuis l’âge de quinze ans (ce qui doit faire à peu près trente-huit fois si je ne m’abuse), elle nous ramène l’homme de sa vie. Le Bon, le Vrai, le Mariage en blanc, le Ça y Est Cette Fois C’est du Solide, le Dernier, le Sûr, le Dernier des derniers. L’Europe à elle toute seule : Yoann était suédois, Giuseppe italien, Erick hollandais, Kiko espagnol et Laurent de Saint-Quentin-en-Yvelines. Evidemment il en reste trente-trois… Pour l’instant leur nom ne me revient pas. »

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La vulgarité du coeur, c'est un truc indicible.

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"Ca n'a pas loupé, arrivé à ma hauteur, je le vois me regarder. Je lui décroche un sourire mutin, genre flèche de Cupidon mais en plus réservé."

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J'ai posé les pieds par terre le matin, je me suis nourri, je me suis lavé, j'ai enfilé des vêtements sur moi et j'ai travaillé.

[...]

Emotions: néants.

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A chaque fois que je fais quelque chose, je pense à mon frère et à chaque fois que je pense à mon frère, je me rends compte qu'il aurait fait mieux que moi.

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Elles sont bêtes ces femmes qui veulent un bébé. Elles sont bêtes.

A peine savent-elles qu'elles sont enceintes qu'immédiatement elles ouvrent grand les vannes: de l'amour, de l'amour, de l'amour.

Elles ne les refermeront plus jamais après.

Elles sont bêtes.

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Je croise des gens... J'y pense. Je revois leurs visages, leurs mains et même la couleur de leurs chaussettes.

Je pense à eux pendant des heures, voire des années et puis un jour, j'essaye d'écrire sur eux.

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" On ne peut jamais prévoir. Ni comment les choses vont se dérouler, ni pourquoi des trucs tout simples prennent soudain des proportions démentes."

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