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— Elle n'a jamais oublié, dit Diana. Elle a même pleuré quand tu t'es marié avec Consuelo.

— Si j'avais su ce qui m'attendait, j'aurais pleuré aussi.

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Les hommes se demandent pourquoi les femmes ne se conduisent pas d'une façon rationnelle. Ils ne comprennent pas que c'est exactement ce que nous faisons.

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— Le fait est que nous accordons tous de l'importance, à différents degrés, à ce que les autres pensent de nous.

— Pas moi, protesta-t-il. Du moins, je me moque de ce que pensent la plupart des gens. Mais vous et moi... nous sommes amis.

C'était un mensonge. Il ne voulait pas être son ami. Il voulait l'embrasser, et c'était pour cela qu'il se souciait de connaître son opinion sur lui.

— Alors maintenant, nous sommes amis ? Répéta-t-elle, amusée.

— Oui, sauf que vous ne m'aimez pas. Mais j'ai décidé d'ignorer ce détail.

Elle se mit à rire.

— Au nom de l'amitié ?

— Exactement.

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— Monsieur Pigeon… Drôle de nom, pour un chat.

— Je l’ai appelé ainsi parce qu’il traque les pigeons sur le toit. Il le faisait même lorsqu’il n’était qu’un tout petit chaton. Quand il parvient à en attraper un, il me l’apporte.

— Comme c’est mignon.

En réalité, les chats étaient d’horribles créatures assoiffées de sang. Harry s’efforça d’afficher une attitude joviale.

— Il doit en manger beaucoup, à en juger par son poids.

— Vous trouvez que mon chat est trop gros ?

— Pas du tout, s’empressa-t-il d’assurer.

Il était temps de changer de sujet.

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Alors, il l'embrassa. Emma lui rendit son baiser avec passion. Après tout, il était tout à fait convenable qu'un homme embrasse sa fiancée. Tout le monde savait cela. Même Harry.

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— Eh bien, j'avoue que je ne suis pas au courant de ce que les jeunes filles sont autorisées à manger, mais pourquoi les ailes ? Pourquoi ne peuvent-elles pas manger les autres morceaux du poulet ?

— Parce que les ailes sont les seuls morceaux qui n'ont pas d'équivalent chez les humains.

— Quoi ?

Il prit un instant pour absorber l'explication, et répondit :

— C'est vous qui me taquinez, mademoiselle Dove. Une jeune fille ne peut pas manger de cuisse de poulet parce que les êtres humains ont des cuisses ?

Les joues d'Emma se teintèrent de rose.

— Je sais que cela peut paraître un peu pointilleux, mais...

— Pointilleux ? Répéta-t-il en riant. C'est absurde.

— Je me doute que c'est ce que vous pensez, dit- elle en lui lançant un regard de reproche. Mais c'est une question de délicatesse.

— Mais si c'est ainsi, pourquoi les jeunes filles ne peuvent-elles pas manger de cailles ? Une aile de caille est très délicate. Elle contient juste assez de viande pour nourrir deux fourmis en pique-nique.

— Exactement. C'est pourquoi les cailles sont servies entières. Et comme les jeunes filles ne peuvent manger les cuisses, ou le blanc qui correspond à... à...

— À la poitrine ? suggéra-t-il, amusé.

Emma croisa les bras.

— Le fait est que comme les cailles sont servies entières, les jeunes filles ne doivent pas en manger dans les réceptions.

— À ce que je vois, elles ne mangent d'ailleurs pas grand-chose.

Il se rapprocha un peu d'elle pour regarder la première page qu'elle tenait à la main.

— Pas de pluviers, pas de pigeons, pas de bécasses. Pas d'huîtres, ni de moules, ni clams ou de homards. Pas d'artichauts, pas de canapés, pas de fromage.

Il s'interrompit pour reprendre haleine, et continua:

— Rien de trop riche ni de trop épicé. Et jamais plus d'un verre de vin. Ai-je oublié une de ces interdictions gnangnan ?

— J'aimerais que vous soyez sérieux quand nous travaillons, fit-elle remarquer en soupirant.

— Je suis très sérieux. Maintenant que j'ai lu cela, je comprends pourquoi les femmes ont la taille si fine et s'évanouissent à tout bout de champ. Je pensais que c'était à cause des corsets, mais non. En réalité, vous avez tout le temps faim.

Mlle Dove pinça les lèvres, mais il eut le temps d'apercevoir le sourire qu'elle cherchait à réprimer.

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Une nouvelle Emma était née. Plus jamais elle n’accepterait de rester passivement assise tandis que sa vie lui passait sous le nez. Plus jamais elle n’attendrait que le destin lui apporte ce qu’elle désirait. À partir de maintenant elle prenait sa destinée en main, et elle ne laisserait plus ses rêves s’échapper. Elle n’avait jamais eu aussi peur de sa vie.

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Et maintenant, il y avait ce lord Marlowe qui n'avait nullement l'intention de publier un de ses livres, qui n'avait même pas pris la peine de les lire. Cinq ans d'espoir et de travail, penchée chaque soir sur sa machine à écrire... et tout cela pour rien.

C'était donc sa destinée. Elle avait passé sa jeunesse à attendre et à espérer des choses qui n'arrivaient jamais. À présent, elle avait trente ans.

Les jeunes filles s'approchèrent de la porte. Emma s'écarta et jeta un dernier regard à cet éventail absurde, extravagant, qui partait avec sa nouvelle propriétaire. Quelque chose en elle se brisa.

Trop tard. Elle avait passé toutes ces années à repousser le but qu'elle s'était fixé, jusqu'à ce qu'il soit trop tard.

À cette pensée, toutes les émotions qu'elle réprimait depuis qu'elle avait quitté la maison d'édition ressurgirent comme une immense vague. Elle pressa sa main gantée contre ses lèvres et essaya de garder son sang-froid. Mais la tentative était vaine.

À sa grande honte, Emma se mit à pleurer.

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« La vertu trouve peut-être sa récompense en elle-même, mais ce n'est pas selon moi une grande motivation. »

Lord Marlowe, Le Guide du célibataire, 1893

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« Avec les femmes, un gentleman doit apprendre à prévoir l'imprévisible.

Car c'est le plus souvent ce qu'on attendait le moins qui se produit. »

Lord Marlowe, Le Guide du célibataire, 1893

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