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Liste des extraits

Extrait ajouté par BMT33 2019-10-06T18:53:37+02:00

Juste avant le crépuscule... C'est l'heure trouble où les ombres se fondent dans les ténèbres, où la lumière vous fuit, où l'angoisse vous étreint...

L'heure de Stephen King.

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Extrait ajouté par TommyRollrbox 2018-09-21T04:07:45+02:00

Une seule solution, courir vite

Après la mort du bébé, Emily s’était mise à courir. Jusqu’au bout de l’allée, pour commencer, où elle se tenait haletante, les mains sur les genoux, puis jusqu’au coin de la rue, puis jusqu’au Kozy Qwik-Pik, au bas de la colline. Là, elle achetait du pain ou de la margarine, et peut-être un Ho Ho ou un Ring Ding, à défaut d’autre chose. Au début, elle revenait en marchant, mais bientôt, elle courut aussi pendant tout le chemin du retour. Et finalement, elle laissa tomber les petites douceurs. Ce fut beaucoup plus difficile qu’elle l’aurait cru. Elle ne s’était pas rendu compte que les sucreries soulageaient son chagrin. Ou alors les friandises étaient devenues un gri-gri. D’une manière ou d’une autre, elle décida que ce serait la fin des Ho Ho. Et c’en fut la fin. Courir suffisait. Henry traita la chose de « gri-gri », et elle pensa qu’il avait sans doute raison.

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Extrait ajouté par SherCam 2018-08-04T17:12:26+02:00

C'est à partir de là qu'ont commencé ces conneries de TOC. J'allais d'un rocher à l'autre, les touchant, les comptant, repérant la place de chacun. Je voulais foutre le camp - je voulais désespérément foutre le camp -, mais je continuais, je ne sabotais pas ce travail. Parce que je devais le faire. Je le savais de la même façon que je savais que je devais respirer pour continuer à vivre. Le temps de retourner à mon point de départ, je tremblais de tout mon corps et j'étais trempé de sueur tout autant que de brume et de rosée. Parce que toucher ces rochers... ce n'était pas agréable. Cela engendrait... des idées. Engendrait... des images. Des images hideuses. Dans l'une d'elles, je découpais ma femme en morceaux à coups de hache et je riais pendant qu'elle hurlait et levait ses mains pleines de sang pour se protéger. "

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Extrait ajouté par Papillotte34 2017-01-07T18:12:46+01:00

Si elle avait eu le temps de réfléchir, elle se serait dit qu'une simple bourrade n'allait pas arrêter ce type, mais ce qui lui restait de rationalité se tenait à présent recroqueviller dans un coin de sa tête, incapable de ne rien faire, sinon d'espérer un miracle.

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Extrait ajouté par Stephanelefort 2015-05-15T15:23:28+02:00

Le lendemain matin, je rassemblai de nouveaux tous les objets et en trouvai même un septième, sous le canapé.

... Impossible de trouver Judy, mais Punch me suffisait largement. Ses yeux noirs, ouverts au milieu des moutons de poussière, me donnèrent un terrible sentiment d'affliction proche du désespoir. Je récupérai la poupée, ayant en horreur de voir la trace qu'elle laissait dans la poussière. Un objet qui laisse une telle trace existe, c'est un objet qui a un poids. C'est indiscutable.

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Extrait ajouté par wind-of-river 2013-05-17T20:35:32+02:00

"la définition médicale de miracle est: erreur de diagnostic."

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Extrait ajouté par wind-of-river 2013-04-19T20:57:35+02:00

«La réalité est un mystère, Dr Bonsaint, et la texture quotidienne des choses est le rideau dont nous la drapons pour masquer son éclat et ses ténèbres. Je pense que nous recouvrons le visage des morts pour la même raison. Nous voyons dans le visage des morts une sorte de portail. Il est fermé sur nous... mais nous savons qu'il ne le sera pas toujours. Qu'un jour il s'ouvrira pour chacun de nous, et que chacun de nous le franchira.

«Mais il y a des endroits où ce rideau est usé jusqu'à la trame, où la réalité est ténue. Un visage regarde depuis l'autre côté... mais ce n'est pas le visage d'un mort. Ce serait presque mieux, si c'était un mort. Le Champ d'Ackerman est l'un de ces endroits, et pas de quoi s'étonner que son propriétaire ait mis un panneau d'interdiction d'entrer.

«Le crépuscule tombait. Le soleil était une boule de gaz rouge aplatie au sommet et dont la base était posée sur l'horizon occidental. La rivière déroulait ses méandres ensanglantés par ses reflets, à douze ou quinze kilomètres, mais sa rumeur me parvenait dans le silence du soir. Au-delà, les bois bleu-gris s'élevaient en une série de crêtes jusqu'à l'autre horizon. On ne voyait pas une seule route, pas une seule maison. Pas un oiseau ne chantait. Comme si on était revenus quatre cents ans en arrière. Ou quatre millions. Les premières volutes de brume montaient du pré où l'herbe était très haute. Personne n'était venu faire les foins, ici, alors qu'il s'agissait d'un champ vaste, d'un fourrage de qualité. La brume surgissait du vert de plus en plus sombre comme souffle une haleine. À croire que la terre elle-même était vivante.

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Extrait ajouté par vivih 2012-07-30T10:08:08+02:00

Curtis se tourna. Il était allongé dans une flaque saumâtre à l'odeur forte. Du papier-toilette entourait son poignet et il l'enleva. Il vit une tache brunâtre -reste d'un dépôt confié depuis longtemps à ces chiottes par un ouvrier- sur le papier et se mit à pleurer. Il gisait dans la merde et le papier-toilette tandis que l'eau continuait à monter des trous, accompagnée de bulles, et ce n'était pas un rêve. Quelque part, pas très loin, son Macintosh déroulait mécaniquement les chiffres de Wall Street tandis qu'il était vautré dans une flaque d'eau pisseuse avec un vieux colombin noir dans le coin et un siège de toilette béant juste au-dessus de ses talons-ce n'était toujours pas un rêve. Il aurait vendu son âme pour se réveiller dans son lit, propre et frais.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-27T17:43:38+02:00

Avant qu’elle ait pu répondre, il entendit le clic-clic-clic des griffes sur l’asphalte. Cette fois-ci, pas un unique jeu de griffes ; cette fois-ci, ils étaient quatre à bondir derrière eux sur la route. Le plus gros, qui se tenait devant les autres, était celui qui l’avait suivi à l’aller. Il aurait reconnu n’importe où cette fourrure hirsute. Ses yeux étaient maintenant plus brillants. Une demi-lune flottait dans chacun d’eux comme une lampe noyée. « Ils nous ont vus ! s’exclama une Willa presque extatique. David, ils nous ont vus ! » Elle mit un genou sur un fragment de la bande blanche qui pointillait la route et tendit la main droite. Elle émit alors un petit claquement de langue et dit : « Hé, mon garçon, viens un peu par ici ! — Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, Willa. 

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-27T17:43:27+02:00

La lune était haute dans le ciel lorsque David et Willa reprirent la route en se tenant par la main. David ne comprenait pas comment cela était possible – ils n’étaient restés que pour les deux premières chansons de la deuxième séquence – mais elle était là, flottant au plus haut du noir piqué d’étoiles. C’était troublant, mais quelque chose d’autre le troublait encore davantage

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