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Stephen King

Auteur

Etats-Unis Né(e) le 1947-09-21 ( 76 ans )
19 683 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par angels_1 2011-03-03T13:38:17+01:00

Biographie

Stephen Edwin King, plus connu sous le nom de Stephen King, est un écrivain américain né le 21 septembre 1947 à Portland, dans le Maine (États-Unis).

Il a écrit plus de deux cents textes, dont plus de cinquante romans d'horreur ou fantastiques, qui ont été vendus à plus de 350 millions d'exemplaires[1] de par le monde. Il reçoit en 2003 la médaille de la National Book Foundation pour sa remarquable contribution à la littérature américaine[2] et, en 2007, l'association des auteurs de romans policiers américains Mystery Writers of America lui décerne le titre de « grand master ».

King possède une grande connaissance de la littérature d'horreur, comme on peut le voir dans son essai Anatomie de l'horreur qui retrace plusieurs décennies d'un intérêt prononcé pour l'épouvante à travers la littérature, le cinéma, la télévision et la radio. Il a aussi écrit des ouvrages appartenant à d'autres genres comme les recueils de nouvelles Différentes Saisons, ou Cœurs perdus en Atlantide, et les romans La Ligne verte, Les Yeux du dragon, et son magnum opus, la série La Tour sombre. Dans le passé, Stephen King a écrit sous les noms de Richard Bachman et John Swithen (une seule fois sous ce dernier pseudonyme pour la nouvelle le Cinquième Quart publiée par la suite dans Rêves et Cauchemars).

Jeunesse

Stephen King a deux ans lorsque son père, Donald Edwin King, abandonne le domicile conjugal. Sa mère, Nellie Ruth Pillsbury, élève seule Stephen et son grand frère adopté David, dans des conditions financières souvent très difficiles. La famille s'installe à Durham (Maine), ville d'origine de Ruth, mais passe aussi de courtes périodes à Fort Wayne (Indiana) et Stratford (Connecticut).

Enfant, Stephen King a été témoin d'un accident traumatisant - un de ses amis a été heurté par un train sur une voie ferrée. L'hypothèse a été émise que cet accident ait pu inspirer ses créations sombres et dérangeantes[3], bien que King lui-même ait réfuté cette idée[4].

King est allé à l'école élémentaire de Durham puis au lycée de Lisbon Falls. Jeune garçon, il était un lecteur assidu des bandes dessinées publiées par EC Comics et notamment des Contes de la Crypte qui furent à l'origine de son amour de l'horreur. Son scénario de Creepshow rendra plus tard hommage à ces bandes dessinées. Sa grand-mère, admiratrice d'Agatha Christie, lui inculque une façon très particulière de lire un roman : commencer par la fin. Ce qui lui évitait de lire l'intermédiaire entre l'introduction et la conclusion. C'est de cette méthode qu'il se servira pour écrire ses livres. Il brouille ainsi les pistes, rendant impossible la compréhension à quelqu'un qui essaierait de débuter par la fin.[réf. nécessaire] Il auto-publie ses premières nouvelles en 1962 à l'aide d'une machine à ronéotyper que son frère utilisait pour publier un journal Dave's Rag auquel King contribuait. King vendait ses écrits à des amis mais ses professeurs désapprouvèrent et le forcèrent à rembourser ce qu'il avait gagné.

Il travaille ensuite sur son premier roman, resté inachevé : The Aftermath (1965). La première histoire qu'il publie est In a Half-World of Terror qui paraît dans un fanzine publié par Mike Garrett de Birmingham, Alabama.

De 1966 à 1971, King étudie à l'université du Maine à Orono. Il y écrit des nouvelles dans une rubrique intitulée King's Garbage Truck dans le magazine de l'université Maine Campus, il en écrit trois en 1968 et trois en 1969. Il y rencontre Tabitha Jane Spruce avec qui il se mariera le 2 janvier 1971. Trois enfants naîtront de cette union. Sa vie au campus transparaît de manière évidente dans la deuxième partie de Cœurs perdus en Atlantide, et les boulots particuliers qu'il effectue pour payer ses études, dont un dans une laverie industrielle, inspireront plus tard certains de ses écrits, comme la nouvelle La Presseuse ou Chantier.

Il achève son roman Marche ou crève dès 1967 mais celui-ci ne paraîtra qu'en 1979, sous le pseudonyme de Richard Bachman.

Après avoir obtenu sa Licence en littérature anglaise en 1970, King enseigne l'anglais à l'école secondaire de Hampden (plus ou moins l'équivalent du lycée en France), Maine. Lui et sa famille vivent alors dans une caravane et il écrit des nouvelles fantastiques, qu'il publie principalement dans des magazines masculins. Pour boucler ses fins de mois, il est contraint de retourner travailler à la laverie. Ces problèmes, alliés à ses difficultés à se faire publier, le conduisent à chercher un réconfort dans la boisson, créant une dépendance qui durera plusieurs années.

C'est dans ces conditions difficiles qu'il commence à écrire Carrie. Mais, doutant de son talent, il jette les trois premières pages à la poubelle. Sa femme les trouve et les lit. Enthousiasmée par ce bon début, elle le pousse à achever le roman.

Début de la célébrité

King présente Carrie à un éditeur en janvier 1973. L'éditeur Doubleday programme la publication du roman en 1974 et cède les droits pour l'édition en livre de poche, générant 200 000 dollars de revenus pour Stephen King dès mai 1973. Ce dernier décide alors d'arrêter sa carrière d'enseignant et de se consacrer uniquement à l'écriture. Carrie est finalement publié le 5 avril 1974. Peu après la publication de son livre, sa mère meurt d'un cancer de l'utérus. Sa tante Emrine lui fait la lecture du roman avant qu'elle ne meure. Après la mort de sa mère, King et sa famille déménagent à Boulder, Colorado, avant de revenir s'installer définitivement dans le Maine en 1975.

Dans Écriture : Mémoires d'un métier, King admet qu'à cette époque-là il était souvent ivre ou sous l'emprise de drogues, comme ce fut le cas par exemple lors de l'oraison funèbre de sa mère. Il raconte également que c'est ce qui l'a inspiré pour le personnage du père alcoolique dans Shining, l'enfant lumière même s'il ne l'admettait pas à l'époque, pas même à lui-même[4].

Peu après la sortie de Les Tommyknockers, sa famille et ses amis interviennent pour lui faire prendre conscience de sa dépendance aux drogues en vidant devant lui ses poubelles qui contiennent des canettes de bière, des mégots de cigarettes, de la cocaïne, du Xanax, du Valium, du Nyquil, du dextromethorphan et de la marijuana. Selon ce que King a relaté dans ses mémoires, il a alors cherché de l'aide, a arrêté toute forme de drogue dans la fin des années 1980 et est resté sobre depuis.

King ne dédicacera jamais de photos en personne car à ses yeux c'est quelque chose qui est réservé aux stars de films. Cependant certains de ses fans ont reçu des photos dédicacées rien qu'en le demandant.

En jouant sur les peurs primaires des gens, il enchaîne les romans à succès, dont les plus connus sont Ça, Simetierre, Shining, l'enfant lumière, Le Fléau, Carrie, Christine, Misery et le cycle de la Tour sombre. La plupart de ses écrits appartiennent au registre de l'horreur et du fantastique, souvent intimement mêlés dans son œuvre. Toutefois, il n'hésite pas à s'éloigner à plusieurs reprises du genre qui a fait sa renommée (citons ici Différentes Saisons, Cœurs perdus en Atlantide ainsi que la plupart de ses romans parus sous le pseudonyme de Richard Bachman).

Adaptation :

Sur le modèle de Carrie, Stephen King a inspiré bon nombre de réalisateurs de cinéma, en particulier Brian De Palma (Carrie au bal du diable), Stanley Kubrick (Shining), John Carpenter (Christine), David Cronenberg (Dead Zone), Rob Reiner (Stand by me, Misery), Frank Darabont (Les Évadés, La Ligne verte, The Mist) et George Romero (la Part des ténèbres), étant d'ailleurs ami avec ce dernier. Il a déclaré que ses trois adaptations préférées étaient Stand by me, Les Évadés et The Mist[5]. Le seul qu'il a totalement désavoué est Le Cobaye, allant même jusqu'à intenter un procès pour que son nom soit retiré de l'ensemble du matériel publicitaire, associé au film, lorsqu'une suite fut réalisée.

En 1986, il a dirigé son propre film, Maximum Overdrive, et en 1997 a co-écrit le scénario d'un épisode d'X-Files, la Poupée. Il a aussi produit la minisérie Kingdom Hospital dans laquelle il joue un petit rôle. Il a également souvent interprété de petits rôles dans des films ou des feuilletons adaptés de ses histoires (dans Creepshow, Simetierre, la Tempête du siècle, le Fléau, Shining, les Langoliers, la Nuit déchirée et Rose Red notamment).

Style littéraire :

Stephen King est réputé pour son sens du détail et pour toutes les interactions qu'il a créé entre ses livres où certains faits, certains personnages se croisent (Dolores Claiborne et Jessie sont un exemple flagrant ainsi que le diptyque Désolation et Les Régulateurs). Ses œuvres ont également beaucoup de cadres en commun, la majorité se situant dans le Maine (la ville fictive de Castle Rock en étant l'exemple le plus célèbre). Des histoires semblant souvent n'avoir aucun lien entre elles sont en fait liées par des personnages secondaires récurrents ou des références à des événements s'étant déroulés dans une histoire précédente (par exemple, le personnage de Cynthia reliant Rose Madder à Désolation).

La Tour sombre, constitué de sept volumes, est un cycle qui lui permet de lier tous ces romans à une seule réalité, plutôt que de considérer ses crossover comme anecdotiques. Bon nombre de ses romans font référence au cycle de la Tour sombre ou vice-versa, souvent à travers des détails plus ou moins mineurs mais parfois de façon beaucoup plus essentielle (les connexions avec Insomnie, Cœurs perdus en Atlantide, Salem et Territoires étant les plus flagrantes). L'un des personnages de King qui revient le plus fréquemment est Randall Flagg, qui est une des incarnations du mal dans plusieurs de ses œuvres ; il est ainsi l'homme en noir dans la Tour sombre, le démon dans Territoires, le sorcier maléfique dans les Yeux du dragon ainsi que le principal antagoniste du Fléau.

Les livres de King sont parsemés de références à l'histoire et à la culture américaines, et particulièrement leurs côtés les plus sombres. Elles apparaissent le plus souvent dans les histoires de ses personnages, étant un facteur d'explication de leurs peurs les plus primaires. La violence (en particulier la violence au sein de la cellule familiale), le racisme et la guerre (spécialement celle du Vietnam) sont des thèmes récurrents dans ses œuvres.

Par ailleurs, le style narratif familier de King contraste avec le contenu horrifique d'une grande partie de ses écrits. Il utilise beaucoup les flash-backs, notamment pour illustrer les comportements et le cheminement de pensée de ses personnages principaux. Ceux-ci sont très souvent eux-mêmes des écrivains (Ben Mears dans Salem, Bill Denbrough dans Ça, Paul Sheldon dans Misery, Mike Noonan dans Sac d'os...). L'enfance est également un thème majeur de l'œuvre de King et les enfants jouent fréquemment des rôles essentiels dans ses histoires (Shining, l'enfant lumière, Charlie, Le Talisman, Ça, Désolation...).

Quand on lui demande pourquoi il écrit, Stephen King répond : « la réponse est assez simple - il n'y a rien d'autre que j'étais capable de faire. J'étais fait pour écrire des histoires et j'aime écrire des histoires. C'est pourquoi je le fais. Je ne peux m'imaginer faire quelque chose d'autre comme je ne peux imaginer ne pas faire ce que je fais »[13]. On lui demande aussi souvent pourquoi il écrit des histoires aussi terrifiantes et il répond par une autre question : « Qu'est-ce qui vous fait penser que j'ai le choix ? ».

Il a une formule très simple pour apprendre à bien écrire : « Lisez et écrivez quatre à six heures par jour. Si vous ne pouvez pas trouver le temps pour cela, vous ne pouvez espérer devenir un bon écrivain. » Lui-même s'est fixé un quota journalier de deux mille mots et ne s'arrête pas d'écrire tant qu'il ne l'a pas atteint. Il a également une définition assez particulière de ce qu'est le talent dans l'écriture : « Si vous écrivez quelque chose et que quelqu'un vous envoie un chèque pour cela, si ce chèque n'est pas sans provisions, et que vous pouvez payer la facture d'électricité avec cet argent, je vous considère comme talentueux »[15].

Influences Dans Écriture :

Mémoires d'un métier, Stephen King a appelé Richard Matheson, « l'auteur qui m'a influencé le plus en tant qu'écrivain ». Les deux auteurs, entre autres parallèles stylistiques, intègrent régulièrement les pensées d'un personnage dans une narration à la troisième personne.

Il admire le travail de H. P. Lovecraft et se réfère à lui plusieurs fois dans Anatomie de l'horreur. Son influence se ressent dans le travail de King par l'invention d'anciennes et étranges divinités et l'insertion dans le récit de coupures de presse ou d'autres documents comme instruments de narration. Sa nouvelle Crouch End est un hommage non déguisé au Mythe de Cthulhu. D'autres de ses histoires font des références aux créations lovecraftiennes, notamment la nouvelle Mémé. Cependant, King met l'accent sur les dialogues et la représentation des personnages, deux éléments notablement absents chez Lovecraft. Dans Écriture : Mémoires d'un métier, il critique d'ailleurs ouvertement cette pauvreté des dialogues chez Lovecraft, prenant comme exemples des passages de la Couleur tombée du ciel.

Edgar Allan Poe a exercé lui aussi une influence majeure sur le style de King. Il lui rend hommage dans Shining, l'enfant lumière (avec une référence au Masque de la Mort Rouge) et surtout dans sa nouvelle la Cadillac de Dolan dont l'intrigue reprend celle de la Barrique d'amontillado.

Bram Stoker fait partie des influences de King, particulièrement dans Salem qui est une sorte de vision moderne de Dracula[16].

Il a déclaré son admiration pour Shirley Jackson. Salem s'ouvre sur une citation de son roman Maison Hantée, et une scène décisive de la Tempête du siècle s'inspire de la Loterie.

Il a dédicacé sa nouvelle le Molosse surgi du soleil à John D. MacDonald qui, pour sa part, a écrit la préface de Danse Macabre.

J. R. R. Tolkien, Robert Heinlein, Elmore Leonard, William Golding (Sa Majesté des mouches), James M. Cain (le facteur sonne toujours deux fois) et Peter Straub (avec qui il est ami et a collaboré à déjà deux reprises) font également partie des auteurs favoris de Stephen King.

Il voue également une grande admiration au romancier et scénariste de comics britannique Neil Gaiman, dont il a d'ailleurs préfacé le tome 8 de la série Sandman, Au bout des mondes.

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Livres de Stephen King

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.85/10
Nombre d'évaluations : 20 159

25 Citations 10 169 Commentaires sur ses livres

Alias et noms de plume

  • Richard Bachman

Dernier livre
de Stephen King

Sortie France/Français : 2024-02-28

Sortie Canada/Français : 2024-02-29

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par vallonsourn 2024-04-21T22:55:06+02:00
Brume

la première nouvelle , "Brume" est à lireabsolument

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Commentaire ajouté par Jemima-6 2024-04-23T20:59:50+02:00
Holly

A ne pas lire la nuit. Ça devient vite effrayant. Mais qu'est-ce que j'ai apprécié !!

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Commentaire ajouté par Evva_pearl 2024-04-24T08:21:58+02:00
Salem

J'ai dévoré ce livre, même si à son habitude King nous sort des pavés de description et détails que l'on se permet parfois de sauter. Néanmoins, ce fut mon premier livre de cet auteur, et j'en ai frissonné !

J'ai réellement eu horriblement peur, en pleine hiver seule chez moi en le lisant, je n'ai jamais ressentis cela avec un autre livre. Je recommande :)

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Commentaire ajouté par Evva_pearl 2024-04-24T08:24:34+02:00
Cujo

Au début de ma lecture j'avais du mal à me plonger dedans, me demandant si vraiment King pourrait me faire frissonner avec ce plot.

Et bien..., à ma grande surprise je dois le reconnaitre, plus l'on avance dans la lecture plus l'on est happé ! Au final j'ai eu les frissons que je recherchais.

Je recommande !

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Commentaire ajouté par Evva_pearl 2024-04-24T08:35:20+02:00
Shining

Vraiment j'ai dévoré Shining !

Il fait parti de mes coups de cœur, et je reconnais que l'on est sous tension pendant la lecture. Je recommande fortement de lire le livre avant de voir le film (qui m'a énormément déçu au passage). Car beaucoup d'éléments saute dans le film ou sont totalement changés, n'apparaissant pas dans le bouquin. Le livre vous donnera les frissons souhaités.

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Commentaire ajouté par Omotsmagiques 2024-04-24T17:28:49+02:00
Conte de fées

« 𝓒𝓸𝓷𝓽𝓮 𝓭𝓮 𝓯é𝓮𝓼 » m'a fait vivre un véritable tourbillon d'émotions. Dès les premières pages, j'ai été ému aux larmes par l'histoire poignante de Charlie. Les personnages, particulièrement Radar le chien, sont incroyablement attachants et bien développés. Ce livre nous fait rêver et voyager dans un univers fantastique où l'imagination règne en maître. Stephen King nous offre ici une œuvre fascinante qui mélange habilement réalité et fantastique, nous rappelant pourquoi il est considéré comme un maître du conte moderne. Une véritable pépite que je recommande à tous ceux qui cherchent à s'évader dans un récit riche et captivant.

Préparez-vous à être transporté dans un monde où le fantastique et le réel se rencontrent de la manière la plus magique qui soit !

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Commentaire ajouté par Krkrcoco 2024-04-24T21:59:03+02:00
Dôme, Tome 1

Long… c’est le seul mot qui me vient à l’esprit ! Je me suis obligée à le finir, j’ai pensé plusieurs fois à abandonner ma lecture.

L’histoire est pourtant vraiment bien mais j’ai l’impression que l’auteur essaie de rallonger le livre… beaucoup TROP d’informations futiles de mon point de vue…

Beaucoup de personnages aussi, heureusement qu’il y a une liste récapitulative au début du livre sinon je me serais perdue depuis longtemps !

J’ai bien aimé le fait qu’il y ait une map de la ville c’était un vrai plus.

J’ai bien aimé l’histoire en elle-même, même s’il faut s’accrocher pour finir sa lecture !

!!TW!! viol, description de viol à un moment du livre (je ne sais plus où exactement…)

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Commentaire ajouté par NicolaK 2024-04-25T11:23:02+02:00
Billy Summers

Bien loin du fantastique, du surnaturel et de l'horreur, Stephen King nous offre un thriller plus que prenant, mettant en scène un tueur professionnel, anciennement tireur d'élite ayant servi dans les Marines en Irak.

Billy Summers a décidé que ce serait sa dernière mission avant la retraite.

.

Loin d'être un tueur ordinaire. Billy ne s'en prend qu'aux très méchants.

Ajoutez à ça que la somme promise est plus que conséquente, et l'affaire est conclue.

Notre héros est plus qu'intelligent; On ne roule pas sa bosse dans sa peau pendant des années sans apprendre à déjouer les pièges et flairer les trucs pas nets, pour ne pas dire suspects.

Mais pour tout "employeur", Billy se fait passer pour un neuneu, histoire de noyer la baleine dans un dé à coudre... et ça marche.

Même qu'il lit Thérèse Raquin, c'est dire...

.

Stephen King instille la peur à l'état pur comme très peu d'écrivains savent le faire.

Malgré un rythme relativement lent, la tension monte au fil des pages. C'est intense, c'est prenant, et passée la petite quarantaine de pages qui servent à installer l'intrigue, on est happé et le livre nous est comme greffé à nos mains.

Je pensais être à des années-lumière de ma zone de confort, les tueurs à gages, ce n'est pas mon truc du tout et d'un autre auteur, je n'aurais même pas ouvert le bouquin.

Seulement, c'était Stephen King, alors j'ai voulu essayer quand même.

Pas folle, j'ai embarqué mes copines avec moi... courageuse mais pas téméraire.

On s'attache à ce Billy. Vous voyez ces petits nounours dont sont friandes ma Yaya et ma Sandrinette ? Eh bien Billy c'est ça.

Sous un extérieur un peu croquant, on a de la guimauve onctueuse.

Des tragédies humaines, un combat perpétuel entre le bien et le mal (comme dans tous les romans de Stephen King), une réflexion pointue sur la société, qui lui est coutumière aussi.

Peut-on aimer un tueur ? Plonger dans sa tête et s'y trouver bien ?

Estimer que ce qu'il fait est juste, trembler pour lui, avoir le palpitant qui fonce à tout berzingue ?

Beaucoup ont dit que c'était le meilleur roman de Stephen King, même parmi mes proches.

Je serai plus modérée, j'adore quasiment tous les livres de l'auteur, notamment parce que j'embarque dans un voyage très différent à chaque lecture.

Alors le meilleur, honnêtement je ne saurais dire, mais un excellent roman qui renouvelle le genre, qui nous bouleverse, qui nous fait verser quelques larmes.

Je sais que c'est une expression que j'utilise souvent, mais encore un cocktail d'émotions m'a été servi lors de cette lecture, et y avait même le petit parasol multicolore avec la paille.

Un grand merci à mes amies Yaya, Sandrinette, Petite Chouette et Pépette.

C'est toujours meilleur avec vous.

.

.

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Commentaire ajouté par Entournantlespages 2024-04-25T17:26:48+02:00
Carrie

Entrecoupant son histoire d’extraits de journaux, de témoignages et de livres concernant Carrie et les événements perpétrés le soir du bal, King nous prépare dès le début au pire. En sachant pertinemment que cette histoire va très mal finir, on en vient tout de même à espérer pour Carrie un moindre bonheur au milieu de ce chemin semé d’embûches. Mais si encore l’adolescente devait seulement subir un enfer à l’école…

À la maison, Carrie n’est pas plus heureuse. Élevée par sa mère fanatique et moralisatrice, Carrie a toujours vécu dans la peur de déplaire à sa mère et au Seigneur. Concrètement, Carrie n’avait aucune chance d’être une jeune fille normale. Alors que bientôt, elle se déchaine dans sa ville, la jeune femme peut enfin montrer ce dont elle est capable et ce qu’elle est devenue à cause de la méchanceté et de la véhémence des gens autour d’elle depuis qu’elle est née. Le développement du personnage de Carrie est très intéressant, d’autant qu’il est doublement exploré, dans le présent et dans les coupures de journaux et autres publications.

Certains effets de style ne sont pas encore au point avec ce premier roman mais ce dernier ne manque pas de charme, le lecteur s’attachant rapidement à son héroïne qui est bien plus qu’un animal blessé. L’insistance sur la floraison de l’adolescente peut sembler étrange à certains mais justement, King travaille judicieusement son histoire. Il nous prépare dès le début à l’émancipation de Carrie dans le sang et le pouvoir absolu qu’elle détient depuis toujours en elle et qu’elle décide enfin de déployer.

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Commentaire ajouté par Kascobol 2024-04-25T19:44:50+02:00
Shining

J’ai vu le film plusieurs fois, et je le trouve toujours à chaque fois excellent.

Il est d’ailleurs un peu dur à la lecture, de séparer le visage de J. Nicholson De celui du père de Danny, Jack.

Quoi qu’il en soit, le film même s’il est très bon, ne représente qu’une infime partie du livre, et beaucoup de choses ont été changées.

Je ne spoil rien.

Mais je conseille à tous ceux qui ont adoré le film de lire le livre.

Je ne sais pas ce que ca vaut, mais j’ai lu la dernière traduction de 2023.

Superbe !

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On parle de Stephen King ici :

[Challenge] Les 26 livres (2018)
2018-12-31T16:07:28+01:00

Dédicaces de Stephen King
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

J'ai lu : 183 livres

Albin Michel : 104 livres

LGF - Le Livre de Poche : 83 livres

France Loisirs : 76 livres

Pocket : 25 livres

Librio : 18 livres

Editions de la Seine : 12 livres

Scribner : 11 livres

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