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Liste des extraits

- je t'aime dit il la traction qui s'exercait sur moi se fit douloureuse, mais je parvins quand meme a lui sourire avec douceur

- si je te dis que je le savais, tu te moqueras de moi?

il laissa echapper un petit rire

- espece de becasse!

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- Tu n'es pas un peu jeune pour être un seigneur démon ?

Son sourire s'effaça.

- Ne m'adresse pas la parole sans que je t'y autorise.

- Oh ta gueule, la blondasse, marmonnai-je en me relevant doucement. Y en a des plus coriaces que toi qui ont essayé de me mater.

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-Putin de merde. Tu a intérêt à me revenir. Tu m'entends? T'as intérêt à revenir!

Je tentais de hocher la tête, mais il me tenais trop fermement. Et avec la boule que j'avais dans la gorges, impossible de parler. Cela ne sembla pas le déranger, puisqu'il posa ses lèvres sur les miennes. Ce n'était pas un baiser amical, celui-là, plutôt le genre plein de passion, terriblement affamé, comme si c'était le dernier baiser qu'on échangerait. C'était un baiser qui nous permit de nous dire ce dont nous avions soigneusement évité de parler tout ce temps, plein de ferveur, de peine, de douleur, de joie et de manque. je le serrais contre moi, lui rendant ce baiser avec autant de passion que lui, refusant de le lâcher jusqu'à ce que les tentacules d'énergie m'y contraignent. je le lâchais aussi vite que je le pouvais et le repoussai loin de moi.

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-j'ignore qui tu es, dis-je en luttant pour garder un minimum de dignité, mais il semble que tu ressentes un certain interêt à mon egard, puisque tu essaies de m'invoquer depuis un bon moment.

-cela fait bien plus longtemps que ça que tu m'interesses, repliqua-t-il.

il s'accroupit et contempla d'un air indifférent les dessins gravés dans la pierre.

-j'imagine que tu crois que si tu trouves le moyen de mourir dans cet univers, tu retourneras dans ton monde. ( il leva ses yeux argentés vers moi).Ces transferts deviennent de plus en plus difficiles. il y a beaucoup moins de chances que tu parviennes à traverser le néant une seconde fois.

il dit tout cela sur le ton de la cnversation,comme s'i était en train de me conseiller de prendre un parapluie au cas ou. je sentis mon estomac se serrer. mon seul plan d'évasion venait de tomber à l'eau. je baissais les yeux vers l'objet qu'il tenait à la main.on urait dit un ras de cou joliment ouvragé.

et il etait d'un métal rosé similaire à du cuivre que je reconnus immédiatement.

je détournai le regard, essayant de le river ailleurs, n'importe ou ailleurs que sur le collier.et, pour la première fois . je vis vraiment la piéce ou nous nous trouvions.des parois en marbre anthracite.suffisamment nombreuses pour faire paraître la piéce circulaire. je baissai les yeux, m'attendant presque à voir les debris d'une statue à mes pieds,mai je savais déjà qu'il n'y avait rien dans le cercle.

-quel est cet endroit ? parvins-je à demander en luttant contre la terreur qui menaçait de me faire tomber à genoux.

il entra dans le cercle.

-tu ne le reconnais pas ? s'étonna-t-il en levant le collier.

je ne lui opposai aucune résistance,de toute façon, ça n'aurait servi à ren. je me contentai de secouer la tête en signe de négation.un sourire plein de ruse lui étira les lévres.

-c'est ton ancienne chambre d'invocation.

et il referma le collier autour de mon cou.

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—Vous pensez qu'il s'agit d'une incroyable coïncidence ?

— Putain, non, évidemment, rétorquai-je. Qu'est-ce qu'on dit, déjà ? « Une fois, c'est du hasard, deux fois, une coïncidence, trois fois, c'est une tendance. »

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J'écartai les bras en voyant approcher Roman.

—Oh, pas besoin de me forcer, je vais y aller toute seule.

Mais j'aimerais quand même bien savoir pour quelle raison vous avez essayé de me coller ces meurtres sur le dos. (Je fis la grimace et secouai la tête.) Oh, mais bien sûr, je le sais.

Je pouvais vraiment être longue à la détente, parfois. Je me tournai vers Tracy.

—Vous vouliez avoir une raison d'entrer dans ma chambre d'invocation, n'est-ce pas ? Vous m'avez piégée juste assez pour les pousser à demander un mandat de perquisition.

— Vous avez fait du bon boulot pour effacer vos diagrammes, reconnut-il. Mais, comme tout invocateur qui se respecte, vous les aviez dessinés à l'aide de votre sang. Merde.

— Du luminol. Vous avez vaporisé du luminol sur le sol.

Ça devait avoir brillé comme les décorations de Noël sur ma maison. Et comme la luminescence ne durait pas plus d'une trentaine de secondes, il n'avait eu besoin que de quelques minutes, seul, le temps d'en vaporiser partout et de prendre une photo à exposition lente. Il avait donc pu rentrer chez lui pour copier le diagramme de stockage. Pas étonnant qu'il ait réussi à invoquer deux démons majeurs à la suite.

Je me tournai de nouveau vers Roman.

—OK, je peux comprendre pourquoi Tracy, ou plutôt Raymond, veut se venger de moi. Mais pourquoi tu l'aides ? Qu'est-ce que j'ai bien pu te faire, bon sang ?

Il haussa les épaules.

— Rien du tout. Tu étais juste commode. Tu es la seule invocatrice que je connaisse, et le fait que tu aies plein d'ennemis qui pouvaient nous servir de sacrifices pour relier les portails était un bonus appréciable.

—Tu déconnes ? m'exclamai-je en essayant de garder mon calme. J'étais commode ? Mais quel genre de sociopathe tu es? T'as besoin de te faire soigner, et vite.

J'eus à peine le temps de lever les bras pour me défendre qu'il était déjà sur moi, et me donnait une grande baffe sur le côté de la tête. Je parvins à dévier le plus gros du coup, mais il réussit tout de même à me frapper assez fort pour que je tombe à genoux en voyant trente-six chandelles. Je remerciai intérieurement Eilahn de m'avoir enseigné quelques notions d'autodéfense. Sans ses entraînements incessants, il m'aurait probablement étalée.

—Arrête, Roman, s'écria Tracy. Il faut qu'elle soit vivante et éveillée.

Roman me saisit par le bras et me traîna au centre du diagramme, avant de me projeter au sol.

— Si j'ai financé tout ce projet, c'est parce que, avec un tel portail, moi aussi, je pourrai devenir un invocateur. Et je n'aurai plus besoin de bosser pour ces connards d'ESPN, ni personne d'autre, d'ailleurs.

Il recula à l'extérieur du cercle et croisa les bras. Je laissai échapper un rire amer et regardai Tracy.

— C'est ce que vous lui avez raconté ? Bon sang, c'est hilarant.

Roman plissa les yeux, mais Tracy se contenta de secouer la tête.

— Ne l'écoute pas, Roman. Tu vas bientôt voir ce qui se passe.

Il rangea son arme en levant les bras, les yeux brièvement perdus dans le vague. La nausée m'envahit, et je devinai qu'il venait d'activer le diagramme. Je ne pouvais pas percevoir les flux d'énergie, mais j'étais quasi certaine que ça avait commencé.

Roman me sourit.

—Je ne suis pas invocateur, Kara. Mais j'ai une certaine sensibilité aux arcanes, suffisante pour me permettre de faire fonctionner ce portail. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai été attiré par toi, même si je n'en avais pas conscience à l'époque. Ce n'est que lorsque j'ai rencontré Tracy et que nous sommes devenus amis que j'ai compris. C'est lui qui m'a convaincu que je n'avais pas ma place sur le banc de touche. Et après les meurtres du Tueur au symbole, il savait que tu étais invocatrice. (Il éclata d'un rire désagréable.) Le choix était évident.

Ma nausée s'amplifia légèrement et je vis Tracy, le front plissé par la concentration. Manifestement, il attendait que quelque chose se passe, mais ce n'était pas le cas.

— Mais il avait tort, Roman, fis-je remarquer avec un haussement d'épaules. Je ne suis pas invocatrice. (Je désignai le diagramme sur lequel je me tenais.) Sinon, le portail s'ouvrirait, pas vrai ?

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Pense à quelque chose d'innocent, du style un mur blanc ou une girafe violette.

Mais je n'avais aucune expérience pour éviter qu'on puisse de lire dans mes pensées.

Girafe violette. Girafe violette.

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Jill avait tort : je n'étais pas un aimant à beaux mecs, mais un aimant à mecs qui voulaient foutre ma vie en l'air.

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Je m'appuyai contre l'encadrement de la porte. Ça devait être la plus longue conversation que j'avais jamais eue avec Pellini sans ressentir l'envie de lui envoyer un truc très lourd à la figure.

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— C'est Poupinette, pas vrai ?

Il était si fier de lui. Et comment lui en vouloir ? J'ignorais ce que j'étais censée dire. Après tout, c'était exactement le chat que j'avais décrit. C'était parfaitement ridicule. Combien de coïncidences allaient donc marquer cette journée ? Je ne pouvais qu'espérer que c'était un pur hasard. Mais au fond, peut-être devais-je tout simplement retourner au lit et recommencer cette journée de zéro.

— Oui, m'entendis-je dire, c'est bien Poupinette. (Je souris faiblement.) Ma petite Poupinette. Bonne petite chatte.

Poupinette me décocha un regard qui signifiait « va te faire foutre », assorti d'un sifflement dont le message était clairement « je veux te déchiqueter le visage avec mes griffes ». Je m'empressai de me relever.

— Oh..., elle doit être traumatisée par son séjour dehors.

Formidable, une chatte qui tenait plus de la bête sauvage que du gentil minou. Qu'est-ce que j'allais faire de ce machin ?

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